Shizuka Miyazaki

Invité

••• Dossier d'inscription
••• à la Pension Kohime

• Nom :

• Prénoms :

• Âge & Date de Naissance :

• Nationalité :

• Orientation sexuelle :

• Profession :

• Raisons pour lesquelles vous venez habiter à la pension :

Shizuka est venu dans la pension en espérant retrouver une personne qui compte énormément pour elle. Elle n'a pas vraiment de but précis sur sa venue dans la pension à part y être loger le temps de ces études et de ces recherches.

• Description Physique :

Physiquement, je passe plutôt inaperçue. Sans être une beauté phénoménale, je suis loin d’être une « butch » comme certains prendraient plaisir à dire. Je suis merveilleusement banale et je m’y plais. Tout d’abord, commençons par mes cheveux. Je vais vous épater en vous apprenant qu’ils sont… noirs. Un noir d’ébène comme Blanche-Neige. Hélas, je n’ai ni son teint, ni ses lèvres, ni ses yeux, ni sa taille. Je n’ai en commun avec cette princesse que le noir de mes cheveux. Plutôt longs, je leur laisse le soin de choisir eux même comment retomber et encadrer mon visage, soit en de légères vagues naturelles. Ma chevelure n’ayant maintenant pas plus de secret pour vous, je vous dirais que mon visage n’en comporte pas bien plus. Mes traits sont harmonieux, aucune… Déformations quelconque n’enlaidit mon visage mais rien ne le fait rayonner de mille feux non plus. Cela dit, on dit que j’ai un regard chaleureux avec mes yeux d’un brun si profond qu’ils paraissent noirs, avec mes longs cils qui les ornent. Mes lèvres sont fines, arborant principalement ce sourire dont je ne semble jamais me séparer. Ce même sourire qui trace d’ailleurs deux faussettes de chaque côté de mon visage. On dit également que cela me donne un air assez jeune. Dommage pour l’instant, mais sûrement tant mieux pour plus tard. J’ai également de petites pommettes qui s’amusent fréquemment à prendre une teinte rosée. Il n’en faut pas beaucoup d’ailleurs pour que cette teinte rosée vire au rouge, étant facilement intimidée.

En ce qui concerne le reste de mon corps, je me vois mal le décrire. Je me vois mal dire que je suis énorme et bien en chaire, ce serait faut. Mais je ne me vois pas plus avouer que j’ai un corps désirable. Je me contenterai donc de vous dire que sans être de la taille d’un mannequin, je ne suis pas non plus si petite. Que je ne suis pas grosse, mais pas non plus une taille de guêpe anorexique. Cela devrait donner une idée fortement suffisante de ce que je représente. Je ne vois pas l’intérêt de vous dire ma taille de bonnet ou mon tour de hanches. Pardonnez-moi. En ce qui concerne mes vêtements, je ne suis pas difficile. Plutôt féminine, je ne suis toutefois pas fan des grandes marques d’ensemble qui s’accordent bien pour faire un joli petit kit à la Berverly Hills. Je ne n’irai pas qu’ils sont bien souvent griffés, mais ils sont loin de faire « petite princesse ». Cela me parait également amplement suffisant. Pour le reste, ce n’est que superficialité dont je, personnellement, n’ai pas de temps à perdre à décrire…

• Description Morale :

La douceur incarnée ? En quelque sorte. Je sais ce que je suis. Que ça vous paraisse prétentieux ou pas, je n’en ai cure. Je connais mon propre fond, sans malice, sans prétention, sans la moindre parcelle de méchanceté. Pureté ? Non. Simplement… Douce. J’ai une espèce de bonté naturelle qui me pousse à vouloir aider les gens ou simplement être gentille et bonne avec les autres. Je suis loin d’être une mère Theresa car j’arrive tout de même à penser à moi. Je veux dire, j’aime bien me chouchouter et me faire plaisir. C’est d’ailleurs quelque chose que je semble plus ou moins dégager; une indépendance qui fait que je n’ai pas peur ni honte de ma quasi-permanente solitude. Je me fous de ce que l’on peut dire sur mon passage, moi qui n’ai pas vraiment de cercle d’amis. De toute façon, je suis certaine que les gens ont autre chose à faire que de débattre sur mon propre statut social.

Je me considère également comme une jeune fille allumée. Je ne suis pas la future nouvelle Einstein, mais je ne suis pas non plus une poule sans tête qui se tortille sous n’importe quel prétexte tel… une idole ou tout simplement un membre de la gente masculine. Je dois également être parmi les dernières jeunes filles de ma génération à avoir encore un certain respect pour elle-même. Oui, ça fait assez énorme dit de cette façon mais n’est-ce donc pas le cas ? Que ce soit dans l’habillement, l’attitude et tout le reste, les filles se perdent dans l’image idéalisée que les hommes s’en font. Pathétique. Moi, je ne veux pas. Moi, je préfère mourir seule entouré de mille et un furets ( mes allergies aux chats et chiens m’empêchant de réaliser le fameux cliché de vieille fille complètement faussé ).

Si l’on se fit aux autres, je suis probablement une future… sœur. Une petite sainte peut-être ? Il est vrai que je ne me fâche jamais, que je suis bonne envers les autres et que l’on ne m’a jamais vu au bras d’un garçon malgré mes dix-neuf ans. Et alors ? Je ne me considère pas comme une petite sainte pour autant. Si je ne me fâche pas, c’est que je suis de nature calme et que je m’imagine mal élevé le ton. Dans ma famille on ne crit jamais. Si je suis sympa avec les autres, c’est que je ne vois pas pourquoi je ne le serai pas, d’autant plus qu’il me semble que ce soit un minimum… Vivre dans l’égocentricité ne peut que nous nuire. Et si l’on ne m’a jamais vu accompagné d’un garçon, il faut le leur demandé à eux. Cela dit, je sais pertinemment que ma timidité doit facilement en rebuter plus d’un. Je n’y peux rien si je ne suis pas extravertie, super… intéressante, intrigante et tout ça… Je ne jalouse pas ce genre de filles, mais je les admire je dois l’avouer. Qui sait si je n’aurai pas un jour le petit coup de pouce dont j’ai besoin pour sortir de ma coquille ?

• Votre histoire :

C’était il y a de cela presque vingt ans déjà. Inspire. Expire. Inspire. Expire. Contractions, douleur. Douleur, torture. Et puis finalement, une petite pousse pointa le bout de son nez. Shizuka. Quelle joie pour Mme. Miyazaki que de voir tous ses efforts et toutes ses peines et joies réunies dans ce petit être qui somnolait dans ses bras. Un si beau bébé, le plus beau bébé du monde ! Son bébé à elle. Pourtant je suis un bébé comme une autre. Et maintenant, une fille comme une autre. J’aimerais bien avoir quelque chose de palpitant à raconter. Quelque chose qui vous tiendrait en haleine mais que puis-je vous dire à part que je suis loin d’être l’héroïne d’un drama ou d’un comics. J’aimerais bien avoir de supers pouvoirs et être la nouvelle Wonder Woman nouvelle génération qui sauverait notre planète de tout ! Hélas, je me contenterai pour le moment d’être une Wonder Woman des… microbes. Ou presque.

Cette passion a toujours été bien ancrée en moi. Déjà, petite, avec ma mère et mes amis voisins, nous jouions à l’hôpital. Le principe était simple; tout le monde était des patients, et moi j’étais le docteur ! Je soignais tous les maux, toutes les blessures ! Bien vite, le jeu tourna au cauchemar et ma mère tomba réellement malade. Un de ces maux que je ne savais pas encore guérir… Après ma petite enfance tranquille décorée d’un père absent, d’une mère aimante, de beaucoup de sous et de quelques amis, je plongeais dans un abysse qui ne semblait pas trouver de fin. Et si… Et si je devenais comme ces pauvres petites filles qui n’ont plus de maman ? Voir même plus de papa puisque le mien ne compte pas. Je ne veux pas ! Je ne veux pas du tout du tout. On me disait pourtant que je devais me préparer. Me préparer parce que je n’aurais peut-être plus de maman. Cela a d’ailleurs beaucoup affecté ma vie scolaire. L’état dans lequel se trouvait ma très chère mère était critique. On la disait incurable. Et j’en voulais tant à mon père de ne pas prendre plus de temps pour venir lui rendre visite plutôt que d’aller à des conférences à droite et à gauche ! Quel idiot…

Heureusement, l’état de maman est maintenant stable. Je ne sais pas jusqu’à quand, mais cela me permit tout de même de bien rattraper le retard que j’avais accumulé dans mes études. J’arrivai bien vite aussi à développer un semblant de vie sociale en m’impliquant dans des activités parascolaires. Pour une seule et unique fois, puisque ce fût un désastre. Déléguée de classe. La seule fille voulant prendre ce poste. Cela impliquait aussi de collaborer avec ces créatures inatteignables, vous savez, les fidèle riches, les mecs prétentieux. Ils étaient… partout et nulle part à la fois. La majorité des filles les voyaient dans leurs soupes, mais ils restaient presque intouchables. Moi, je les ai vus de près. Du moins, un en particulier et pour ne pas me faire remarquer, je le surnommerais : Mister E. Un… Im… non je ne peux même pas le dire, je risquerais de me faire lapider même dans mes propres pensés. Vous pouvez tout de même en déduire que je ne porte pas cet idole masculin dans mon cœur, bien que je ne sois pas du genre rancunière.

Maintenant à l’université, cela semble loin dans mon passé. De l’histoire ancienne. Ma maman est toujours dans un état stable, heureusement. Je voulais devenir médecin pour la guérir mais avec mon retard scolaire, cette option ne m’était plus disponible. Je me consacre donc maintenant à devenir infirmière. Mais pas une simple infirmière. La meilleure ! Quand j’aurai terminé mes études, je serai la nouvelle infirmière de maman et la guérirai. En attendant, un petit quelque chose, ou plutôt un petit quelqu’un me donne pour la première fois de toute ma vie des papillons dans le ventre. Moi qui avais pourtant mise les riches prétentieux tous dans le même sac, je dois avouer que cet Eth... Mister E.… Encore là si je termine ma pensée je sens que je me ferai bien vite lapider sur place à nouveau. Je me contenterai donc de dire que maladroitement, très certainement, je pense vivre mes premières…pulsions amoureuses ? C’est bête. Non. Je suis bête. Il faut tout effacer, barbouiller, déchirer, détruire, piétiner. Les faux espoirs, c’est le pire Shizuka. Je rectifierai donc le dernier paragraphe par cette simple phrase; Je veux guérir ma maman en devenant son infirmière et je pense avoir trouver un futur médecin plutôt charmant pour me donner un coup de main.

Non.

Aujourd'hui, je pars vers mon nouveau lieux de réisdence. Une pension. C'est le seul moyen de ne pas trop dépenser de sous et le tout, cela me permet de suivre mes études. En bref, je dois rencontrer quelqu'un aujourd'hui pour me faire visité les lieux. J'espère que tout ira bien et peux être que je le verais... Mister E.

• Selon vous, quel groupe vous conviendrait le mieux ? :
[ Be Famous ]

• Code du réglement o/ :

Hi, Shizuka ! Ta fiche est impeccable. & le code est bon :D. Tu es validée, bon jeu parmi nous !