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 Chris J. Attacks

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AuteurMessage
Chris J. Attacks
Chris J. Attacks&&. PK-ien Confirmé !
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Messages : 49
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MessageSujet: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeMer 20 Avr - 21:41

    ••• Dossier d'inscription
    ••• à la Pension Kohime

    Photo d'identité


      • Nom : Attacks, et il devance depuis longtemps les vannes pourraves du genre "CHRIS, ATTAQUE ECLAIR!" et cie o/
      • Prénoms : Chris; Judicaël
      • Âge & Date de Naissance : 23ans, né un 20 avril
      • Nationalité : Franco-Américain.
      • Orientation sexuelle : Peu regardant tant que qu'il est un minimum attiré par la personne qu'il met dans son lit.
      • Profession : Actuellement en école de journalisme et serveur au bar du coin, il ne désespère pas de réussir sa vie en tant que reporter. Un jour.

• Raisons pour lesquelles vous venez habiter à la pension : Chris avait besoin de prendre du recul vis-à-vis de tout un tas de chose, à commencer par sa famille de timbrés. En gros, ses vieux l'ont gentiment jarté de la demeure familiale pour être tranquille avec leur nouveau rejeton. Tseuh. Ingrats.

• Description Physique :

D'un point de vue purement visuel, aller on admire l'auteur autiste, Chris est pas plus désagréable qu'un autre. Plutôt sympa à regarder en fait, même s'il y a mieux. Tout dépendra du point de vue hein. Pour certains et certaines, il sera tel un dieu grec descendu du ciel pour leurs beaux yeux, un délice typique de blondin-foncé-tête-en-épis aux yeux or-gris qu'ils boufferaient volontiers pour leur quatre heure. Pour d'autres, il passera inaperçu. Pas à leur goût, ils n'auront aucune raison de s'attarder sur sa tête de pas réveillé, ses joues un peu creuses accentuant sa mâchoire peut-être pas assez marquée à moins qu'eele ne le soit trop, ses lèvres sèches et abimées et j'en passe. Ceux qui restent le haïront, que ce soit tout bonnement parce qu’ils ne l’aiment pas ou parce que sa gueule les insupporte. En général, quand un regard d'or glacial se vrille sur vous, on apprécie moyennement. Si en plus le dit regard est teinté d'une pointe d'indifférence et d'un soupçon de mépris voire d'ennui, on n'a plus qu'une envie, coller une bonne baffe au visage pâle, histoire de lui donner un peu de couleur. Chris y a déjà eut droit d'ailleurs. Son nez a morflé sévère. Mais il est chanceux, Chris. Ça ne se voit pas trop. Quasiment pas même. Son nez est toujours aussi droit et fin. Non bossu. Normal. Une chance de cocu, ouais. On s'demande d'où lui vient cette bonne étoile et surtout pourquoi elle perd son temps avec cet hurluberlu mal fagoté.

Enfin, mal fagoté. Tout est relatif hein. Chris, c'est le genre de gars qui ne fait pas particulièrement attention à ce qu'il enfile le matin. Mal réveillé, il a pas que ça à foutre de savoir si telle ou telle matière va avec cette couleur, si ces pompes rendent bien avec cette veste et ainsi de suite. Et pourtant, là encore, la chance a décidé de le suivre, marchant dans ses pas. Elle l'a pas gâté niveau vie et caractère, fallait bien qu'elle se rattrape quelque part hein. Donc Chris à ce don offert par le hasard d'avoir l'air toujours habillé avec soins. Enfin, il ne passe pas pour un clown, ne met pas forcément de grandes marques, mais l'assemblage de ses trésors de fond de placard lui donne un style à la fois défait et bien mis. Par exemple, il ne lace jamais ses chaussures. Ça, ça passe pour un manque de savoir vivre ou de connaissance rudimentaire de la vie. A se demander si le mec a été à l'école primaire quoi. Eh bien, sur Chris, ça rendra bien, finalement. Avec ses jeans droit souvent usés, ses écharpes et foulards - il les collectionne par dizaine -, ses vestes ou pull en mode oversize - Chris aime être à l'aise dans ses fringues - ou encore ses débardeurs basiques de chez basiques - il aime aussi beaucoup les débardeurs - l'ensemble fera brouillon, de ce genre d'effet froissé que cherchent à obtenir certaines personnes avec forces techniques. Chris, il a ça au naturel. Il est froissé de nature faut croire. Brouillon et mal dégrossi. 'fin, là encore, tout est relatif.

Chris n'a de flou et mal luné que l'apparence. Ouais, l'auteur sait que ça ne veut absolument rien dire de continuer sur autre chose vu qu'on décrit son apparence également dans le paragraphe qui suit et est sûr que z'avez rien capté à cette digression stupide. Bah crotte. Disais-je donc, Chris n'a que l'aspect flou et négligé. Examiné de prêt, on voit qu'il s'entretient un minimum. Ses bras sont musclés, normal pour un voyou un brin sportif, sans pour autant être trop marqués. Se shooter à la musculation c'est pas son truc. Il n'a rien de ses mecs hypra fins et ultra secs, rien non plus des gars drogués aux amphétamines. Un type normalement constitué quoi, sachant garder ce qu'il faut là où il faut. Comme tout voyou qui se respecte, il a une forme d'athlète. Plus ou moins. Ouais, parce que la clope, les rails et les pétards ça aide pas vos poumons à mieux supporter votre corps en cas de fuite. Bref, forme d'athlète quand même. Ventre plat, abdos en bétons, ça, c'est l'une des rares choses dont il est fier. Comme tout mec ayant un minimum d'ego qui se respecte. Son corps, contrairement à son esprit, il l'aime bien. Un peu de justice dans ce monde pourri. Alors il se tient droit, il marche d'un pas assuré, un brin lassé cependant par tous les chemins qu'il a parcouru jusqu'à aujourd'hui. Un bon bout de chemin. Des sentiers, des bords de falaises, des autoroutes, les aléas de la vie et leurs misères, les joies de l'existence et la jouissance qu'elles apportent. Ça, hormis les épaules un peu voûtées lors de ses méditations lunatiques, il en reste aussi des traces sur sa peau, littéralement parlant.

Par exemple, sur son flanc, une longue estafilade, pâle et irrégulière : passage d'un couteau de cuisine. Accrocs et cicatrices de tailles diverses sur l'omoplate gauche : éclats de verre. Traces sombres sur la clavicule droite : brûlures de clopes. Doit encore y avoir deux trois autres trucs du genre à énumérer, surement plus en fait, mais on s'en tape. Tout ça pour dire que la vie suit son cours, marque les moins chanceux - contradictoire hein ? - et puis s'en va. Sinon, il a aussi un tatouage au creux de poignet. C'est une simple date. Mystère et boule de gomme les amis, vous saurez le pourquoi du comment bien assez tôt, ou non. En somme, Chris sait passer inaperçu dans la foule, saura s'en démarquer s'il le souhaite. Il n'a rien de vraiment remarquable, ne fait pas parti de cette classe de gens qui attirent l'œil naturellement, ne cherche pas à le devenir. Un citoyen lambda, devenu âme anonyme dans cette pension en perpétuel mouvement faut croire.



• Description Morale :

De prime abord, Chris est froid. Glacial même. Genre, pire que le vide intersidéral quoi. Si vous l'approchez, il vous regardera de haut en bas, plantera son regard dans le votre quelques instants avant de se désintéresser totalement de votre petite personne. Bien sûr, ce n'est que la première phase de sociabilité, ce n'est pas voulu. C'est juste la première impression qu'il vous balance à la gueule et ça aide pas des masses quand on veut l'approcher, sans compter, en plus, son arrogance naturellement très élevée pour rien. Sans vraiment le dire, il laisse une opportunité aux plus curieux, aux plus audacieux, de s'aventurer un peu sur son terrain. Il leur permettra peut-être de rester à ses côtés. Peut-être. Et vous verrez, une fois approché, il est complètement différent. De loin, il dresse une barrière de glace mais la glace, ça fond. Et Chris est bon vivant. Il aime la jovialité. Il ne l'exprime que peu en présence d'inconnus ou de nouvelles connaissances. Pas assez confiant pour se laisser aller. Trop méfiant. Puis il se laisse emporter, reprend une attitude plus humaine. Il rira volontiers, sourira fréquemment, bref, une jeune adulte parfaitement normal. Plus ou moins.

S'il était parfaitement normal, Chris ne serait pas ici. Ses pseudo parents n'auraient pas jugé bon de l'éloigner, il réussirait ses études, se trouverait une copine pas trop timide et un peu grande gueule ou un copain franc et excentrique, ne louerait pas une simple chambre et aurait son propre appart'. C'est beau le rêve, hein mec ? Chris a déconné, il le sait. Il sait aussi qu'il pourrait lui arriver de recommencer. Parfois un soupir, une absence, un regard qui vous traverse sans vous voir, autant de signes discrets de cette part de lui qui l'effraie un peu pour tout dire. Certains parviennent à vivre avec, d'autre la cache avec brio. Il y en a qui n'arrive jamais à s'en débarrasser, qui ne peuvent s'empêcher d'y penser. Chris est au milieu. L'être difforme qu'il fut l'espace d'un court instant, il le cache, ou le protège, comme vous voulez. Avec plus ou moins d'adresse mais jamais parfaitement. Il ne le laissera pas non plus prendre le dessus. Manquerait plus que ça tient. Là, si vous lui posiez une question en rapport avec cette partie de lui qui le répugne, il aurait un sourire cruel. Ce côté vulnérable, s’il pouvait le déchiqueter de ses propres ongles, il le ferait sans hésiter. Car il n’aime pas se sentir faible. Donc il compense en machiavélisme psychologique. M'comprenez ? En gros, c’est un connard quand il s’y met.

Car Chris est cruel, c'est un fait. Avec vous, envers lui même. Sa cruauté est fine, délicate et soignée. Des paroles bien choisies, tranchantes, un regard méprisant, un sourire moqueur, railleur juste ce qu'il faut pour vous appuyer là où ça fait mal, vous rendre fou de rage, vous forcer à voir ce que vous ne supportez pas qu'on vous montre. Autant de petites touches de cruauté raffinée envers vous, misérables humains que vous êtes. Il parait qu'être cruel revient souvent à être sadique. C'est peut-être vrai. Aimer voir souffrir les autres, les faire souffrir, cruauté, sadisme, c'est kif-kif. Mais la cruauté, c'est aussi de la rigueur, de la dureté. Quelque chose à la fois amer, féroce et intolérable que l’on peut éprouver pour son reflet dans le putain de miroir. Une quelconque épreuve, pénible et douloureuse, qu'on peut s'infliger à soit même, qu’on doit s’infliger, parce que mine rien, on pourrait en crever de manque si on ne se tordait pas les doigts soit même de temps en temps. Il ne le fait pas de bonté de cœur mais parfois ça lui arrive. Il n'est pas maso, loin de là. C'est juste une façon de ne pas oublier, d'éviter de vivre dans l'oisiveté paisible que confère l'amnésie volontaire, le déni, toutes ces conneries pour vous persuader que vous êtes un saint. Ben voyons. Et cette pastèque, là, c’est Superman.

Alors on fait avec, on ment. On se crée un soit paisible et poli, contraste violent avec votre vraie nature, celle que vous observez de loin sans réellement faire attention ; elle est là, elle agit pour vous et c'est tout. Chris aime à se donner l'illusion qu'il peut être autre chose qu'un névrosé cynique en manque d'extériorisation de colère permanente. Qu'il peut aussi être un gars sympathique. Il l'était enfant, pourquoi ne plus l'être aujourd'hui ? Alors il cultive cet aspect de son caractère. Il s'ouvre peu à peu au monde, permet à ses proches d'entrer dans son cercle, leur accorde parfois sa confiance, essaie d'obtenir la leur. Il se fait curieux, essaie d'arrêter de clouer les gens sur place en faisant demi tour avant même qu'ils n'aient dit un mot. Il cherchera à s'intéresser aux autres, même s'il n'en a pas envie. Et il est assez maladroit dans cet exercice. Son boulot de serveur lui sert pas mal de ce côté là. Rencontrer des gens tous les jours, tous avec une gueule différente, un timbre de voix qui saura se faire entendre ou non de lui. Ça aide à lutter contre l'indifférence naturelle. Sisi. Puis, il serait injuste de dire que Chris n'est, au final, qu'un asocial. Franchement, faire la fête, il adore par exemple. C'est juste que tous ces gens là, il n'a pas envie de retenir leurs prénoms, leurs petites vies, leurs soucis. En même temps, il est limite autiste le gars, en société. Non, soyons juste, il était limite autiste. Maintenant ça va mieux, regardez, il rit. AHAHAH ! Hrm.

Et derrière ce rire qui sonne faux, Chris, il y a quoi ? Un enfant qui a peur du noir. Un gamin qui panique totalement dès que ses yeux deviennent inutiles, qui est terrorisé à l'idée de ne pas voir. Tu sais Chris', ne pas voir parfois, ça fait du bien. Mais ça, tu t'en fous. Tu veux tout voir, ne rien louper, ne pas être surpris, ne pas être pris au dépourvu, ne pas rater une miette d'horreur. Traumatisme qu'ils disaient les psy'. M'enfin, on aurait pu penser que cette phobie te passerait, en grandissant. 'fin, t'as passé la vingtaine vieux, c'est pas hyper mature de dormir avec, sous son oreiller, une enveloppe en papier pour taillader des fantômes pervers et vicieux qui viennent te réveiller dans l'obscure clarté de ta piaule. Déjà que tu dors pas beaucoup et que t'es plus tendu qu'un arc, c'est pas ces périodes de crises d'insomnies qui vont arranger ton humeur. Et tes cernes. Tu sais qu'elles sont horribles ces cernes, hein ? Ca t'fait une mine de cadavre ambulant, très pratique pour faire fuir tout contact humain. Affreux quoi. Tss. Reprends toi Chris, tu vaux mieux que ça. Enfin j'espère.

Chris, c'est un peu un maelström de contradiction. Mieux, une contradiction ambulante. On pourrait faire simple et concis, mais nan, faisons dans la longueur pour le décrire grossièrement, du genre : parfois peu sûr de lui mais arrogant comme un lion, solitaire et pourtant à la recherche des autres, maladroit donc sympathique, hypocrite en chef et toujours demandeur d'attentions mine de rien, égoïste et jaloux comme un chien, parfois naïf devenant menteur virtuose et persuasif en un tour de main, joueur et mauvais perdant, attirant et destructeur, cynique et attachant, insolent, curieux et violent... On pourrait continuer encore longtemps mais c'est déjà assez chiant de décrire sa foutue basique de personnalité sans qu'en plus on vous endorme avec des banalités, hein ? Après tout, c'est pas le plus bizarre des gars ni l'plus original. Y a du niveau avec vous, il se bat comme il peut.

• Votre histoire :

Observer des bulles de gaz luttant avec aisance contre un liquide pour remonter à la surface, mine de rien, c’est hyper captivant. Toujours plus captivant que de devoir écouter une dispute. Plus captivant encore lorsque vous êtes le cœur même de la querelle. Vous trouvez pas ? Moi si. Tout plutôt que de voir mes vieux s’engueuler à coups de…
_ Bordel mais c’est ton gosse, pas le mien !
_ Ah ouais ? Parce que j’l’ai fait toute seule peut-être ?! Tu m’prends pour quoi ?! Un putain de gastéropode ?!
_ Ah commence pas avec ta science hein ! C’est pas toi qui va m’apprendre comment on fait des mômes, et encore moins ce qu’on doit en faire quand ils deviennent à ce point ingérables !
_ Bah alors pourquoi tu m’fais chier avec ça ! Et puis…
Et blablabla. Ils s’engueulaient souvent à cause de moi. Sauf que là, pour une fois, c’était pas ma faute. Enfin pas complètement. Un peu. Disons que j’avais pas arrangé les choses quoi. Mais bon, c’est pas mon problème si ce quartier est pourri. C’est pas mon problème si mes relations familiales sont pourries. Pas mon problème si je suis pourri. Pour faire clair, j’en n’ai pas grand-chose à cirer. Mais s’il y a bien une chose qui me fout hors de moi, c’est qu’on ose me menacer. De une, parce que ça présuppose qu’on veut me faire peur, ce qui est débile en soit, de deux, parce que ça suppose aussi que la personne avance qu’elle est capable de me faire la peau, ce qui me fait mourir de rire. Et, de fait, une menace me fait souvent partir au quart de tour. Mauvais, ça.
Le môme en question dans le dialogue supra intellectuel des deux autres, là, c’est moi. Un môme de vingt et une piges, comptant à son actif plus de bastons que de cheveux sur le crâne. Nan, faut pas pousser. Mais bien plus que la moyenne légale, normale et autorisée pour un type de mon âge. Si tant est que ce soit autorisé d’avoir un gang et tout ce bordel de nos jours, même si là encore, tout n’est que concours de circonstances inéluctables et foireuses qui me retombent sur le dos régulièrement et sans me demander mon avis en plus, les vilaines.
Mais là, je commence par la fin. Laissez moi vous initier à mon bref passage sur cette foutue planète.

Je n’ai jamais aimé New York. C’est le genre de ville trop grande, trop peuplée, trop lumineuse, trop tout. Un mélange qui n’en finissait jamais de se mélanger et qui vous foutait la nausée au bout de trois jours. Chez moi en tout cas, c’est comme ça. Une étrange sensation de mal de mer et d’oppression, un peu comme si j’étais une moule tétraplégique ballottée de courant en vague sans pouvoir m’accrocher à un rocher. Foutue tétraplégie. New York, donc. Ville monde où j’ai du séjourner l’année de mes quinze ans. Parce que voyez-vous, comme bon nombres d’enfants, mes vieux sont séparés. Etaient. ‘fin vous finirez par comprendre. Les quinze premières années de ma vie, je les ai passées à Paris, avec ma mère. Une jeune mère m’ayant eu à dix-sept ans, engrossée par un touriste américain. Coup de foudre, ville lumière, pays de l’amour, il n’en fallait pas beaucoup plus. Elle m’a souvent dit que ça lui importait peu, que de toute manière, volages comme ils étaient, ça n’aurait pas duré longtemps même en se forçant. N’empêche, moi, j’aurais bien aimé avoir un père qui change pas de face toutes les trois semaines. Comme le cycle de fécondation chez la femme il me semble. A croire qu’elle choisissait son timing exprès.

Mais, ô joie, le père biologique est revenu dans nos vies tranquilles. Il a débarqué à notre appartement un beau jour. Avec des fleurs, des excuses à deux balles et un accent français à me faire saigner les oreilles. Les oreilles de ma mère n’y ont vu que du feu par contre. Une semaine plus tard, après un squattage dans les règles, il a proposé à ma mère d’aller vivre à New York avec lui. Parce qu’il la voulait de nouveau mais que son boulot l’en empêchait ou une connerie du genre. Nous sommes partis à New York. J’ai regretté les pères de trois semaines.

Une année complète a erré dans cette foutue ville, ce fut bien trop. Mes parents vivaient de nouveau l’idylle et moi je n’arrivais à m’habituer au rêve américain. J’étais plutôt dans un cauchemar. Tout m’exaspérait ici. Surtout les types de mon âge et les élèves que je devais côtoyer au lycée du quartier. Tous des putains de mômes élevés à l’orgueil. On dit les français prétentieux ? Ah ! Venez donc voir les parfaits petits soldats de la fierté des USA. A Paris, j’étais déjà le genre d’élève qu’on évitait d’énerver par prudence. Mais là, personne ne s’était rendu compte que « le petit frenchy » était juste une bombe à retardement. Alors ils me faisaient chier et je les tabassais. Que je gagne ou perde, peu importait, je fonçais dans le tas. C’était aussi simple que ça. Puis ça me plaisait de les remettre à leur place. Ca me plaisait de faire chier mes parents avec les convoc’ à répétition. Bref, tout pour plaire à un ado quoi. Sauf que mon comportement m’a valu une notoriété soudaine et bien indépendante de ma volonté. J’étais devenu une sorte d’idéal pour tous les martyrisés du lycée. Et les martyrs ont commencés à se rassembler sous une bannière censée être la mienne. Serviables, prévenants, ils arrivaient en courant pour se plaindre et désigner du doigt leur agresseur. Des tarlouzes sans rien entre les jambes qui attendaient juste un champion à balancer dans la fosse au lion. Parce que c’est ce que j’étais. De la chair à canon. A quinze piges, on a beau y mettre toute la meilleure volonté du monde, contre cinq types de dix-huit ans, on ne vaut pas grand-chose. Quelle idée d’avoir des grands frères aussi. Mon année là-bas est passée lentement. Beaucoup trop. On est revenu en France parce que ça menaçait de dégénérer. En six mois, j’avais la moitié des jeunes du quartier sur le dos, l’autre cachée derrière le dit dos. En douze mois, j’avais lancé une guerre silencieuse et dévastatrice parmi les quatorze-dix huit. Comme la première guerre mondiale, mais y a que moi que ça a fait marrer quand je l’ai signalé à mes vieux. Eux, ils me maudissaient plutôt. Dire qu’ils se retrouvaient enfin et que je faisais planter leurs rêves sur la comète.

De retour en France donc. Trois années peinardes. Ma réputation chez les ricains m’avait suivie ici donc on me foutait plus ou moins la paix. Mes connaissances du moment comptaient sur moi pour régler leurs comptes à ceux qui les faisaient chier et, serviable et bastonneur que je suis, j’y allais volontiers. Stupide et fier de l’être. C’était un mauvais mélange. J’avais été stupide aux US. C’est des timbrés là bas. Pas des petites frappes françaises qui se couchent à vos pieds après s’être faits dominés. Non, les ricains ils ont la niaque. Et ils sont venus me relancer jusqu’à ce que je pète un câble.

A dix-huit ans, après le BAC, on assume les lourdes soirées, les plans d’un soir et la libération du lycée. On assume aussi les relations plus longues, les attaches et un train de vie pépère. Je sortais avec une fille quand ca a dégénéré. Je pensais qu’à part les quelques emmerdes qui me tombaient sur le coin de la figure et les bastons en bonne et due forme entre ceux qui se plaisaient à penser faire parti de mon ‘gang’ et d’autres groupes que j’avais du énerver à un moment ou à un autre, la vie ne serait pas très animée. Haha. Du foutage de gueule, ça oui. Les ricains sont revenus. Ils ont réussi à chopper mon adresse via mon paternel, qui pensait simplement être utile à, je cite « des amis à toi du temps où on était à New York, ils viennent à Paris pour l’été et se disaient que ce serait sympa de passer te voir. Et viens pas me dire que t’en à rien à foutre ou que tu veux pas. Sociabilise toi un peu merde. » Merci, père à la manque, tu viens de ruiner ma vie tranquille.

Je ne pense pas avoir eu peur. Pas pour moi en tout cas. Bien plus pour les quelques amis que j’avais et qui risquaient de prendre très cher si on apprenait qu’ils me connaissaient. Je savais les Ricains lâches. J’étais loin d’imaginer à quel point. Quand j’ai reçu un appel de ma copine du moment me demandant d’aller la chercher à sa fac de psy’, j’y suis allé. Pourquoi me méfier ? Qui savait que j’étais casé ? Certes, on m’avait déjà vu en bonne compagnie lors de soirée, que ce soit des homes ou des femmes mais ça, c’était pas pareil. Entre faire la fête et finir au lit avec une personne plaisante et avoir une relation sérieuse, il y a des années lumières. Pour cause, quasiment personne ne le savait et je m’en portais fort bien. Je n’avais aucune raison de ne pas aller la voir ou de me méfier. Ah, ça, la méfiance. J’ai appris depuis. On me reproche souvent d’être hypocrite. C’est faux, je me méfie juste. Les autres ne sont bons qu’à trahir, pourquoi perdre du temps à leur accorder un semblant de confiance ? Mais bon, là je m’égare. Je me suis pointé à sa fac. Elle était devant les grilles, encadrée par deux types avec de sales gueules, que j’avais espéré ne jamais revoir. Je n’ai pas voulu les suivre lorsqu’ils me l’ont ordonné. Ils l’ont frappée, j’ai rendu les armes. Bon dieu c’que j’ai pu être con.

J’ai morflé ce jour là. La cicatrice au couteau sur le flanc vient de là. Les brûlures de clopes aussi. Les bouts de verres, c’était pour plus tard. Bref. Ils m’ont remis à ma place à l’américaine, avec battes de baseball, arme blanche et poing en métal. Une horreur. Mais le pire, je pense que ça a été quand j’ai vu celle pour qui je me retrouvais dans cet état entré dans l’espèce d’usine désaffectée où on était. Elle est entrée et les a tranquillement regardés me lyncher en souriant. Salope. Au bout d’un moment, ils se sont barrés, j’ai sauté sur l’occasion. Pas comme dans les films en fonçant vers une sortie, remis sur pied comme de par magie. Nan, nan. J’ai rampé, j’ai pleuré de douleur, j’ai failli appeler ma mère. Mais j’me suis dit que ça, ça servirait pas à grand chose. Je me suis planqué, j’ai attendu. J’avais froid, je saignais, j’étais enragé. Puis j’ai avisé des bidons d’essence. Je me suis dit pourquoi pas. Alors j’ai renversé les bidons, le gazole c’est répandu sur le sol de l’usine. Je les avais entendus revenir. Ils étaient là, ils ne savaient pas que je m’étais esquivé. Ils allaient crever. J’ai sorti mon briquet, j’ai allumé la mèche et je me suis barré comme j’ai pu avant que ça explose.

Bien sûr, cette version, personne ne la connait. Personne sauf moi. La salope y est restée. Deux des dix types venus des States aussi. D’autres ont été brûlés, d’autres ont eut de la chance. Ils ont du se douter de quelque chose. Mais ils devaient également penser que j’étais dans un tel état qu’il m’aurait été impossible de bouger, que j’avais dû cramer moi aussi, un truc du genre. L’hôpital où j’ai été ensuite est resté discret sur les origines de mes blessures – cassé la gueule en moto dans un tas de ferraille que j’leur avais dit. Mes parents n’ont rien trouvé de mieux à faire que de m’engueuler pour mon imprudence. Puis surement parce que je n’avais même pas réussi à crever correctement. Joyeuse famille n’est-il pas ? La police a conclu à un accident, les USA n’ont pas cherché à comprendre ce que foutaient des pseudos criminelles à Paname, l’affaire était classée. J’avais juste tué trois personnes. Cool. Mais tellement dément que je réussissais à me foutre la gerbe tout seul.

Pour en revenir à la dispute du début, celle-ci cause de mon comportement complètement irresponsable envers mon petit frère. Car ouais, dernière nouvelle, ils ont de nouveau enfanté et prévoient de l’élever ensemble celui-là. Pauvre gosse, je le plains vraiment. Puis je n’étais irresponsable envers lui. Il voulait juste voir les oiseaux, alors je l’ai amené sur le toit de l’immeuble et je l’ai fait monter sur le rebord, le faisant s’asseoir et le tenant bien en place. Je l’aime bien mon petit frère, faut pas croire. Surement plus que nos vieux même. Mais bon. Grand-frère irresponsable, fils irresponsable, adulte irresponsable, nous ne voulons plus de toi dans cet appartement du bonheur familiale. Tu voulais faire des études de journalisme ? Par-fait ! Ton père a des contacts au Japon, t’es intégré à l’Université Internationale de journalisme de je sais plus quelle ville, sympa non ? En plus y a une pension pas trop chère et pas trop loin. Tu vas voir Chris, elle va te plaire ta nouvelle vie.

Sûr qu’il aurait été difficile de faire pire de toute manière, vous ne pensez pas ? Me voici donc un an plus tard. Chris, vingt-deux ans, étudiant en journalisme et serveur au bar du coin, ne pouvant toujours pas aligner trois phrases de japonais sans me planter, ne comprenant toujours rien aux coutumes de ce pays et réussissant encore à se foutre des les pires situations sans même essayer d'le faire exprès. Don't worry, be happy, qu'ils disaient ? Okay, on va la jouer comme ça alors. Ne vous inquiétez pas. Vous ne serez jamais moins heureux que moi.


• Selon vous, quel groupe vous conviendrait le mieux ? :
[ Fuck off ] - Le nom de groupe qui m'a fait adhérer direct au forum quoi... - ou [ I don't care ], comkek'vous voulez. o/


Dernière édition par Chris J. Attacks le Mar 14 Aoû - 23:16, édité 14 fois
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Kyoran Ashford
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeSam 23 Avr - 23:26

  • "CHRIS, ATTAQUE ECLAIR!"
    Je t'aime xDD. Bienvenue et bon courage pour la suite :3.
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeDim 24 Avr - 3:32

Merci. o/
Et moi aussi je m'aime. :B


Dernière édition par Chris J. Attacks le Sam 11 Fév - 11:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeDim 24 Avr - 12:57

Oh.... encore un fuck off.... Bah, t'es beau quand même, les gens te pardonnerons.
Et puis t'écris bien aussi, j'aime beaucoup ta description physique *bave*

Bref, bienvenue parmi nous, amuse-toi bien et bonne validation !
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Chris J. Attacks
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeDim 24 Avr - 17:10

Merci beaucoup. :B

Nan mais moi et les groupes... Franchement, Chris pourrait aller un peu partout quasiment. Juste que Fuck Off c'est mon crédo dans la vie donc j'me sens obligé d'y intégrer mon personnage quoi. 8D
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Aleksandra Romansky
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeDim 24 Avr - 19:26

C'est vrai que Princess Glamour lui irait comme un gant ♥

Bienvenue, joli vava.
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Frédéric Berkeley
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeDim 24 Avr - 19:30

  • J'ai pas eu l'occasion de te souhaiter la Bienvenue! o_o' (maintenant c'est xD #SBARF!#) Bref'! Peut-être une prochaine partie de poker?! 8D (ah! et.. j'aime bien ton vava aussi xDD)
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeLun 25 Avr - 11:23

Aleksandra » Arrête, c'est peut-être un travelo, kesst'en sais, pwehehe... Chris, Princesse Glamour. Ca claque nan ? x')

Frédéric » On se refait une partie quand tu veux ! o/

Et je vous remercie de la part de l'avatar, il est très flatté d'être ainsi accueilli. ~
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Uffie
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeLun 25 Avr - 19:52

    Finis ta fiche, le Puceau. et rapidement. ♥
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeLun 25 Avr - 20:00

Putain. J'ai eu droit à un coeur de la grognasse. C'est bon, j'peux crever en paix. \o/
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeMer 27 Avr - 13:50

Bienvenue ! Jolie fiche ! (:
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeMer 27 Avr - 14:34

Merci Esteban. o/
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeMer 4 Mai - 9:06

Allez Enflure ( Oui, je t'aime x'D ♥) Finis ta fiche °O°
Vite vite vite °° ♥
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeLun 16 Mai - 23:13

...

Fiche terminée.

L'histoire est trop pas crédible et trop résumée. Mais osef, parce que depuis quand une histoire se doit d'être crédible hein ? Puis trop détaillé, ça aurait été encore plus chiant, que ce soit à lire ou à écrire.
Bref.

Voilà. 8D
*Tellement fier d'avoir fini quoi.*
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Kyoran Ashford
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitimeMar 17 Mai - 16:24

  • J'ai déjà posté dans ta fiche haha. Je maintiens que je t'aime, que j'aime ta façon d'écrire même si c'est LOOOONG. Crédible ou pas, on s'en fout, validé et bon rp /o/. ( Et bonne CB aussi ... ).
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MessageSujet: Re: Chris J. Attacks   Chris J. Attacks Icon_minitime

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