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 Concours d'écriture : venez voter !

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Lal Cryers
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Syriane Seishin
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Haley Anderson
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AuteurMessage
Syriane Seishin
Syriane SeishinLonely queen of a lost kingdom.

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Camp dans la Bataille : Yuriste.

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Mes Relations :
Concours d'écriture : venez voter ! Vide
MessageSujet: Concours d'écriture : venez voter !   Concours d'écriture : venez voter ! Icon_minitimeMer 1 Juin - 20:17

Voici les textes du concours d'écriture. Je remercie les participants ♥. J'ai trouvé qu'ils avaient fais preuve de pas mal d'inventivité, pour un sujet pourtant pas si enclin à l'inspiration !

Lal Cryers :

Etranges Symptômes


Décidemment, il l'a trouvait bizarre ces temps-ci. Pourtant depuis leur mariage, tout allait bien. Ils avaient maintenant une jolie petite maison dans un quartier résidentiel de la ville, il avait trouvé un emploi stable de comptable, rien d'extraordinaire mais suffisant pour vivre correctement avec sa femme.

Ils s'étaient rencontrés à la fac. Au départ, il ne l'avait pas remarqué, discrète comme elle était. Mais un jour, il du préparer un exposé avec elle, et ce fut le coups de foudre. Elle était si gentille, belle, spontanée et n'hésitait pas à l'engueuler, alors qu'il était sans contexte le plus populaire de la classe. Elle n'avait pas peur du regard des autres et était une artiste accomplie. Il l'admirait, profondément. Et surtout, il l'aimait plus que tout au monde. Juste après leur exposé, il avait fait sa déclaration. Un mois plus tard, ils décidaient de leur mariage.

Leurs parents étaient plutôt réticents qu'ils prennent une telle décision aussi vite. Mais eux, ils s'aimaient, et c'est tout ce qui comptait à leurs yeux. Ils s'étaient donc mariés, et avaient eu un mignon petit chat prénommé Jean-Jacques, en référence à Jean-Jacques Goldman, le chanteur préféré de sa tendre épouse. Mais lui, il l'appelait Boule de Poil. Jean-Jacques (ou Boule de Poil, comme vous voulez) avait pour compagnon Maurice et Bubulle, les poissons rouges mangeurs de chocosuisses. Ils vivaient tous ensemble dans un appartement au début, mais avec le temps, et ce depuis un an maintenant, ils avaient emménagé dans la jolie maison qu'ils habitaient maintenant.

Mais voilà, depuis quelques temps, elle était bizarre. Pour commencer, elle semblait malade du soir au matin. Elle avait des sautes d'humeurs pas possible, passant du rire aux larmes en un quart de seconde. Ses seins avaient un peu grossis et il la surprenait parfois en train de se caresser tendrement le ventre. Et encore, le pire, c'était que soit elle vomissait, soit elle se goinfrait !

Un jour, où justement elle avalait tout ce qui lui passait sous le nez, il s'exclama:

- Mais t'es deux en toi, ou quoi ?!

Elle lui sourit malicieusement et lui fit un clin d'oeil.

- Oui. Nous sommes deux, "Papa"...


Akio Shinpi :

Quelle serait ma vie sans toi ? Un simple enchainement de hoquet successif … Aucun sens. Mais, avec-toi, en a-t-elle un ? Qui sait …


Démon de mon être, démon de mon âme …

Errance infinie. Douceur. Chaleur. Cela me submerge. Cœur étrangement léger. L'impression d'être le plus fort du monde. Pouvoir méconnu. Sentiment d'être capable de tout. Terrible poudre blanche. Substitue du bonheur. Faible rempart face à toi. Mur si friable. Un simple coup de vent et tout reviens. Tempête de sentiment. Ouragan de douleur. Toi, qui rôde toujours près de moi, tu reviendras ... Toujours. Où que je sois, tu es là. Que ce soit au fin fond de mon lit, sous ma douche ou lorsque j'achète du pain. Toujours là. Presque rien ne nous sépare. Terrible amertume. Tu parcours incessamment mon corps. Mitraille mon âme et dévore mes désirs. Tu t'empares de moi pour mieux me détruire. Esclave de tes pensées, de mes pensées, de nos pensées.

Un faux pas.

Force obscure et sabbat de minuit sont ceux qui dictent ma vie. Ô tarentule onirique, tu vis dans ma chaire, doucement, mais surement, tu y tisses ta toile, deviendrais-tu mon maître ? Esclave de tes fils. Marionnette de peau et de sang. Instrumentalisé. Devenu simple jouet. Je ne puis être deux. Je suis moi. Tu es le seul maître et moi je ne suis que le cadavre vivant. Folie. Chaine illusoire. Kabbale de comptoir. Méphisto me domine. Tu es mon hôte. Oxygène putride, de toi, une simple bouffé, s'est nous emmener vers la voie lactée.

Terrible virus qui ronge mon âme … Sombrons dans les abysses de mon être …

Tu m'épuises, me fatigues. Tu aspires ce qui me reste de vie, mais plus que tout, tu me brises, petit à petit. Tu y prends tant de plaisir. Tu jubiles de me mener à ma perte. Toi, le virus qui loge dans les profondeurs abyssale de mon être, toi qui fais que je suis moi, mais surtout que je ne le suis pas. Je t'exècre. Tu es la cause même de ma décadence, tu es celui qui éclaire et guide mes pas sur le chemin de ma propre destruction. Fais-moi donc tomber en enfer. Virus malfaisant, de longue année, je t'ai gardé, voir même chéri. Stupidité. Maintenant je te hais. Je te renie ! Tantôt tu as su me donner force et panache, maintenant tu n'es plus que faiblesse. Tu écorches mon âme, tu la tailles à coup de couteau... Je te hais d'un amour sardonique.

Commençons notre propre inquisition, l’un de nous deux en mourra et ça se fera dans la joie.

Dualité extrême. Toi et moi. Un déséquilibre presque harmonieux. Nous voltigeons dans un ciel de feu. On s'élance vers ces terres arides où si niche le fléau. Fléau de mon âme. Il m'attaque. Tu m'attaques, comme toujours. Toi qui traverse mes veines, qui m'explore de toute part ... Rien n'y fais. Tu vis en moi. Quittons le monde tangible et saisissons nous d'illusion. Abandonner la douleur pour retrouver la douceur. Quitter la substance pour ne vivre que dans l'essence. Notre même et unique essence. Tel des papillons d'argents. Ephémère.

Terreur lâche sa prise ! Terreur lâche ta prise ! Terreur lâche là ! Terreur vas-tu me lâcher ?

Une bombe à retardement, la peur de l'inconnu. La peur de vivre. Parce qu'après la vie vient la mort. Mais pour moi, pour nous, dans la mort vient la vie. Faible pensé. Vie décharnée. Notre monde n'est plus. Il n'a même jamais été. Chimère onirique. Mon existence n'a guère de valeur. Une demi-vie. Et, ne te moque pas de moi, il en va de même pour toi. Nous ne sommes riens. Il nous faut être deux pour devenir un. Ridicule. Devenons un. Possède-moi. Prends-moi. Dévore-moi. Et alors là, nous ne serions qu'un et plus que tout, nous serions presque humains.

Phantasme ésotérique.


Impuissance. Nous sommes un tout. Un est un tout. Toi sans moi ou moi sans toi, ça n'existe pas. Toujours tu resteras en moi. Parasite. Même si je hais ça, c'est seulement dans tes bras que je suis chez moi. Néanmoins, ma place me fait mal. A jamais pion de tes sombres volontés. Mon âme se nécrose, petit à petit tu l'as ronge. Nous courons à notre perte. Au lieu de freiner, on accélère. Tu me pousses. Tu te pousses. Nous tombons. Suicide.
Mais toi, qui es-tu ?



Syriane Seishin :

Concours d'écriture : venez voter ! Trangere
Je suis face à la glace. Celle-ci, comme les flots marins, me renvoie une image déformée et brouillée. Que suis-je venue chercher ici, si ce n’est la confirmation de tous mes doutes ? Je voudrais savoir qui je suis. Je voudrais savoir si une question sans réponse reste une question, et si ne pas y répondre peut détruire une vie. Je voudrais me débarrasser des doutes mais ils sont devenus mon horrible quotidien, mon leitmotiv insupportable. Je suis une étrangère. J’ai perdu la notion du temps et la notion du changement. Je me suis perdue de vue. Ce visage qui est mon reflet ne me ressemble plus. Le front contre la glace, mes yeux fouillent mon image à la recherche d’une vérité aussi immatérielle que la brise d’automne. Les mots résonnent en moi. « Tu n’es rien. » Celui qui les a prononcé aurait pu se contenter de dire « tu es ridicule » ou encore « tu es misérable ». Pourtant, il a choisi ces mots comme on choisit une arme. Il a tendu son arc et sa flèche s’est fichée dans mon cœur vulnérable. Je suis devenue l’Étrangère. Les mots résonnent en moi. Irrésistiblement. Ils m’attirent à eux dans une étreinte glaciale et me rongent lentement. Tu n’es rien.
Je défaille et vacille auprès du gouffre. Dans un geste de désespérance, mon regard s’accroche à mon reflet. Je rencontre à nouveau, de plein fouet, le terrible décalage entre sa vérité et la mienne. Son visage et le mien. Cet affrontement me tire davantage vers le fond. Poussée à bout, je change brusquement ma tactique. Enfin. Il a fallu en arriver là pour que j’accepte cette autre. Cette étrangère. J’étudie chacun de ses traits. La courbe de sa mâchoire me fascine, ses yeux turquoise me donnent le vertige... Est-ce moi ou est-ce une autre ? Suis-je capable de prendre cette expression taquine ? Ces lèvres qui se plissent et se frottent vivement, pourquoi n’ai-je jamais réalisé combien leur mouvement était envoûtant ? Lentement, sûrement, j’accepte d’être quelqu’un d’autre. Je suis cette étrangère. Cette créature humaine soudain libérée de sa prison de mots. Il est temps de ne plus avoir peur. La vie n’attendra pas éternellement celle que je dois devenir.


Chrome Dokuro :

Rapport Asile St. Kohime.
Sujet n°22. Syndrome Schizophrénie
Test n°78. Observation sociale.

Chamallow Scarlet. AndersonConcours d'écriture : venez voter ! 2i0b5n5_th

Une peau aussi blanche que la neige, les cheveux aussi rouge que le sang, et un air méchant mais qui provoque un air noble en elle, c'est Chamallow.
Nous n'avons jamais su pourquoi elle s'appelait ainsi.
Son nom particulier, resonne aux oreilles des gens et crée des conflits.
Chamallow est mi japonaise mi chinoise, même si cela se voit très peu sur son visage.
Son prénom " Chamallow " venait du fait que le Professeur Ashford et le le professeur Seishin, n'avaient pas eu l'idée de l'appeler autrement. Son deuxième prénom " Scarlet " vient de sa couleur de cheveux qui est d'une couleur rouge écarlate. Anderson, nom, nous n'avons jamais sût d'où il venait. Nous n'avons jamais rencontrés ses parents, nous ne savons pas non plus pourquoi elle est devenue si vite schizophrène. Est-ce-que la schizophrénie de Chammalow est venue à la naissance? Ou encore une chose pendant sa naissance à provoquée cela? Mais, elle fût notre "cobaye" après qu'elle ait eu 5 ans.
Chamallow est plutôt du genre à vite s'intégrer mais arrive mal à dissimuler sa deuxième partie qui elle est plus violente que celle qui est peut-être l'original.
Nous les avons appelées Chamallow Pink et Chamallow White.
Comme vous avez du le comprendre, Chamallow Pink, est celle qui ne contrôle aucune de ses émotions, expressive, cette Chamallow, est souvent rejetée et montre sa rage au monde entier.
La Chammalow White est celle que l'on voit souvent dans les rues, gentille, calme, mais pas trop froide, légèrement sensée sur ses mots, polie mais parfois maladroite. Très dans la lune et parfois très timide comme elle peux être franche.
Nous l'avons libérée sous peu de son séjour, dont la durée était de 17 ans, à l'Asile Kohime, mais cela reste sa " maison " comme elle le dit souvent.
Nous pensons qu'elle s'est vite intégrée avec les différentes personne folle de cet endroit.
Ce syndrome à même atteint le Professeur Ashford, otaku, geek et schizophrène qui se prend pour un prince à l'apparence de Hibari Kyoya. Même le professeur Seishin est atteint. Se prenant pour une prêtresse du Yuri, à l'apparence de Hakurei Reimu et utilisatrice d'électroménager Tefal.
Mais revenons à Chamallow.
Nous avons, il y a quelques jours, envoyé Chamallow retrouver la vie normale après avoir été emmenée dans un centre de cure pour lui montrer la vie en société. Ce fût très dur mais elle à réussit à y sortir.
Nous observons donc, ses moindres fait et geste. Elle est accompagnée d'une guide de l'Asile. Elle n'est pas très fiable mais elle s'appelle Lal Cryers.

Concours d'écriture : venez voter ! J6n0ygChamallow S. Anderson.

Aujourd'hui, nous somme le Mardi 24 mai. Première journée pour, Chamallow et Lal, de faire du shopping. Espérons que sa schizophrénie ne prenne pas le dessus.
Elles ont une liste de choses à faire dans une journée et à faire quotidiennement. Bizarrement, les quelques médecins qui m'accompagnaient, tel que le Professeur Mion Lodestar, le Professeur Marine N. Lavigne, le Professeur Azayaka Natsuki et le Professeur Sidney L. Taylor, ont disparus de la circulation, alors je me retrouve donc seule. Mais revenons à notre sujet n° 22.
En se moment même, elle s'apprête à sortir de son appartement, acheter il n'y a pas longtemps par l'Asile Kohime pour pouvoir abritée les deux jeune femme.
Chamallow et Lal se préparent, veste sur le dos et argent en poche à aller faire du shopping, je crois. C'est la première chose qu'elles doivent faire.
Les deux jeune femme arrivent au super-marché:

- C'est ici? Demande la schizophrène.
- Oui, répond la guide.

Elles entrent et chaque personne qui passe à côté de Chamallow, elle lui adresse un sourire et un petit bonjour qui lui est d'ailleurs très bien rendus.
Mais après avoir dépasser toutes ces personnes, Chamallow Pink apparais pour les insulter un à un d'un ton réellement discret.
Lal la frappe légèrement sur la tête et réveille la Chamalow White qui la regarde innocente-ment.
La Guide lui prend la main et l'emmène d'abord dans le rayon des légumes pour lui expliquer les différent légumes qu'elles pourraient préparer pour le dîner.
Chamallow White, l'écoute attentivement quand j'aperçois le Professeur Sidney L. Taylor qui veut parler aux deux jeuen femme.
Je pense qu'il à effrayé les deux jeune femme avec ses bombes de lac de couleurs pour cheveux.
Elles continuent leurs chemin mais Chamallow Pink à prit le dessus.
Elles sortent du magasin sans encombres mais avec des sacs remplies de légumes et de viandes.
Arrivées chez elles, une forte odeur de dîner sort de l'appartement, surement un ragout, ou encore une soupe, l'odeur ne vérifie rien.
Un vendeur sonne à leurs porte mais ce n'est autre que le Professeur Mion Lodestar, venus pour enquêter chez elles.
Les deux jeunes femme le regardent puis lui ferme la porte aux nez. Il ne m'envoie même pas un signe pour moi.

Après des heures silencieuses, parfois baigner par des fou rires, ou encore des cris d'horreur ou de douleurs, la vie est bien mouvementée en ce premier jour dans cet appartement.

Rapport de Chrome Dokuro



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Sujet n°23. Syndrome Paranoïa.
Test n° 90. Observation à l'Asile.
Concours d'écriture : venez voter ! 2aak8dv_thChocolate White. Karasü.


Chocolate est une enfant, folle, née dans l'Asile lui-même. Ce fût même à cause de sa naissance à l'Asile qu'elle fût folle.
Son syndrome est la Paranoïa.
Chocolate est Française et Italienne.
Nous avons découvert sa Paranoïa très vite quand elle regardais les patients d'un air bizarre elle était toujours dans son coin, prête à courir, à s'enfuir et pleurer aux moindre gestes ou à la moindre personne qui l'approchait.
L'examiner fût assez dure et l'approcher encore plus difficile, elle était toujours armée d'un petit couteau en argent qu'elle gardait près d'elle.
Chocolate est devenue très vite amie avec quelques uns des patients de l'Asile Kohimien.
Chocolate, a un prenom qui est dans le même cas que Chamallow, les Professeurs Ashford et Seisin, n'ont vraiment aucune notions des prénoms.
White vient aussi des Professeurs, ils ont choisit " White " à cause de ses cheveux blancs.
Karasü veux dire Corbeaux en japonais. Son nom désigne bien son regard de corbeaux qui vous observe au moindre mouvement que vous pouvez faire.
Chocolate est une albinos et attire particulièrement les groupies de l'Asile.
Notre albinos est souvent habillée en maid par les différentes infirmière avec qui elle à pu se lier malgré sa paranoïa.
Elle est très lier avec tout le monde mais reste toujours enfermée dans sa chambre.
D'une peau aussi blanche que la sienne, il n'y en a pas dans l'Asile.
Chocolate est la Geisha de l'Asile, souvent traitée comme l'une des plus jolies elles restent pourtant l'un des cobaye de l'Asile.
Chocolate passe ses journées dans la Cantine principale avec un regard effrayés.
Chocolate est souvent mélangée entre les schizophrène et les Paranoïaques qui se regroupent à plusieurs.
Plus les Paranoïaque du même genre que Chocolate deviennent fou, plus ils jouent à des jeux encore plus bizarre qu'eux-même. Cache-Cache, Chat, Balle aux prisonnier..
L'Asile Kohime, pour les plus fou des Paranoïaque, c'est une cour de récréation.

Concours d'écriture : venez voter ! 29cl174_thChocolate White. Karasü

Les jeux sont divers avec Chocolate.
Le Cache-Cache est vite fait, le premier Paranoïaque qui crie car il a vue quelqu'un apparaitre dans une allées fait que tout les autres réagissent, alertant les schizophrène qui débarquent et à tour de rôle retrouvent tout les Paranoïaques.
Ce jeux amusent beaucoup les trisomiques qui adhèrent à rigoler à chaque fois qu'ils jouent à cela.
Chocolate, joue aussi souvent à Chat.
Chat est souvent un jeux, où l'ont retrouve des blesser ici.
Le bût du jeux et de courir après quelqu'un et de le toucher pour qu'il deviennent le Chat.
A l'Asile Kohime, le but du jeux, chez les Paranoïaque est de ne pas mourir par les mains des plus dangeureux Paranoïaques.
Chocolate est toujours armée de son couteaux fétiche et avec ses amis les schizophrènes elle traque les Paranoïaques.
Ce qui est marrant, c'est qu'ils sont faciles à trouver, comme dirait Chocolate.
Ils sont tellement Paranoïaque que même quand il n'y a personne, ils crient, courent dans tout les sens pour échapper à leur agresseur, presque irréel et tombent enfin sur leurs ennemis réels: Les Chats.
Très rarement, ceux qui ont acceptée ce jeux, en ressortent vivant.
" Un peu comme Doubt " Rajoute, le Professeur Ashford.
La Balle aux Prisonnier est pire que ce que l'ont pensai, chez les docteurs.
C'est presque une mise à mort dans l'Asile.
Les ballons fusent entre Chocolate, championne des Paranoïaque et Chamallow, championnes des Schizophrène.
Ce n'est plus un jeux de " Ballon aux prisonnier ", mais un match de volley ball, sans le filet.
Chocolate a un caractère assez fort. Bien plus évoluer que les Paranoïaque de l'Asile.
Presque comme-ci elle était le Boss d'un jeux vidéo.
Mais ça, nous en parlerons dans un prochain dossier.
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T'es en deux où quoi?



Haley Anderson :

Nous étions notre Passé, nous avons été notre Présent, et tu seras notre Futur.

Tu as toujours vécu avec ce poids sur tes épaules. Depuis ta plus tendre enfance, tu savais qu’un jour il faiblirait, te rendant plus vulnérable, et qu’il finirait aussi par s’arrêter, par t’arrêter. Mais tu as toujours su faire avec. Tu étais plus forte que lui. Tu n’avais pas le choix, mais tu as eu le courage de vivre chaque jour, malgré la peur d’une soudaine faiblesse. J’ai toujours admiré ce courage, je t’ai toujours admirée.
Tu as souvent vécu dans la différence, car au fond de toi se cachait cette grande et dangereuse faiblesse. Tu temontrais forte, comme tout le monde, alors que d’autres n’auraient pas hésité à montrer cette faiblesse pour gagner un soupçon d’attention. Tu as toujours fais comme si tout allait bien. Tu as toujours fais comme si tu n’avais rien. Tu as toujours fais comme si ton cœur n’allait pas te tuer demain.
Tout le monde le savait pourtant. Moi aussi. Mais ça ne nous a pas empêché de vivre avec ce sourire aux lèvres. Tu y tenais tant. Comme j’étais heureuse avec toi, et tu avais l’air de l’être aussi avec moi. J’étais la force et l’endurance que tu n’avais pas, tu étais la sagesse et la tolérance qu’il me manquait. On dérangeait, l’amour féminin n’étant pas bien vu de tous, et alors que je me révoltais contre cette injustice et cette fermeture d’esprit, tu m’apaisais, chacune de tes paroles m’intimant la paix. Tu étais la seule personne à me contrôler ainsi. La seule qui pouvait me faire entendre raison, la seule qui calmait mes moindres révoltes. On vivait notre vie, sans autres limites que celles que nous nous fixions nous-mêmes. Ta faiblesse était oubliée, nous n’en parlions jamais. Nous avions nos projets d’avenir, fous et raisonnables. Nous avions aussi nos rêves, tu voulais être mère, je voulais nous trouver un paradis, nous voulions vivre heureuses, et ensemble.

Ensemble.
Mais malgré tous nos efforts pour l’oublier, ta faiblesse était toujours là. Elle s’était tu, se dissimulant, se faisant discrètement oublier. Jusqu’au jour où elle t’a brusquement fait tomber.
Elle t’a peu à peu trainée vers un coma profond, alors que je sombrais aussi peu à peu dans un gouffre de désespoir de même ampleur. Tu ne vivais plus seule, ces machines vivaient pour toi. Et moi, je ne vivais plus sans toi. Je passais mes journées accoudée à ton lit d’hôpital, mes nuits à prier chaque entité pour ton rétablissement. Chaque jour je te voyais maigrir, chaque jour je te sentais dépérir. Mon monde s’était écroulé, notre monde partait en fumée. Tu ne te réveillais pas, et je ne pouvais rien face à ça.
Après plus d’un mois de ce calvaire, un médecin est venu me trouver, avec cet air sévère qui ne présage jamais rien de bon. Il m’a apprit ce que je redoutais le plus d’entendre : ton état ne s’arrangeait guère, bien au contraire. Tu n’en avais plus pour très longtemps. J’ai haïs cet homme. Lui qui ne m’avait rien fait. Tu n’étais pas là pour me calmer, et lui, m’annonçait que je te perdais. Je ne pouvais que le haïr, le maudire. Alors que je savais bien que lui aussi souhaitait ton rétablissement… Mais je devais passer ma colère contre quelqu’un, et il avait été la proie parfaite. Jusqu’à ce qu’il ne m’apprenne.

Ta seule chance de survie était une greffe. Impossible.

Mais cette annonce suffit à me faire retrouver un semblant d’espoir. Je le harcelais de questions, afin de tout savoir sur une potentielle greffe. Il fallait te trouver un cœur dans les trois jours suivants, c’était impossible.

Quelques semaines plus tard, tu t’es finalement réveillée. On avait réussi à te trouver une greffe correspondante à temps. Tu étais sauvée. C’était magique, tout simplement magique. Un miracle de la science, un de plus.
Après plusieurs jours de repos et d’examens, tu as pu sortir de cet hôpital. La première chose que tu as fait, c’est de venir me voir. Comme j’étais absente, tu es entrée, comme à ton habitude, décidée à attendre mon retour. Sur la table était posée une lettre, à ton nom. Prenant place sur une chaise, tu l’ouvrais doucement, les mains légèrement tremblantes. Respirant lentement, tu commençais à lire... :

« Mon Amour, si tu lis cette lettre, c’est que ton opération s’est soldée par un succès. Quel soulagement pour moi. Si tu savais à quel point te voir alitée blanche comme la mort, m’a fait souffrir. Si tu savais à quel point les paroles de ce médecin m’annonçant ta fin m’ont fait mal. Je ne pouvais me résoudre à une vie sans toi, et mettre fin à mes jours pour toi n’était pas aussi douloureux que le reste. Tu es tout ce que j’avais de plus cher en ce monde, et j’espère qu’un jour tu sauras me pardonner. J’ai agit consciemment, pour toi, afin que tu puisses un jour réaliser ce rêve qui te tenait tellement à cœur : celui d’être mère. Je t’en prie, reconstruit ta vie et sois heureuse, pour moi. Je ne te demande pas de m’oublier, juste de vivre en ma mémoire. Je t’ai souvent dit que je donnerais ma vie pour toi, en voilà la preuve. Je ne t’abandonnerais jamais, car une partie de moi vit désormais en toi. Mon cœur bat maintenant à la place du tien. Je t’ai donné mon cœur, ma force et tout mon amour, à toi, ma Vie. »

Ces mots écris et signés de ma main furent les derniers. C’était court et, pressée par le temps, je n’avais que résumé tout ce que j’avais à te dire. Mon cœur aurait put se déchirer alors que j’écrivais. Mais je devais rester forte, le conserver pour toi, pour te l’offrir, en ultime cadeau.

Tu fondais en larmes et je n’étais plus là pour te consoler.

Enfin, je restais là, en toi, et toi et moi, nous étions unies. Unies pour Ta vie.
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