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 Une note de trop [Kurosaki Usui ]

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MessageSujet: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeMer 28 Déc - 20:45

♪ Une leçon interrompue ♪


Elle avait trop chaud, vraiment ces salles sont surchauffée, comme si le fait d'être confiné dans un espace clos n'est pas suffisant il avait fallut qu'elle tombe sur le première salle. Elle était rentrée tard la veille des cours et le temps de monter les étages elle avait trouvé la liste de réservation des espaces de musiques tous pris sauf cette salle qu'on n'aimait pas à utiliser. En effet, c'était la seule sur laquelle le chauffage était cassé et où une fournaise régnait hiver comme été. La jeune fille n'en pouvait plus, elle avait déjà retirer tout ce que la décence permettait de ne pas vêtir mais maintenant elle se trouvait juste en jupe et débardeur rayé noir et blanc, ses cheveux relevés sur la tête quelques mèche s'en échappant pour aller se coller sur sa nuque ou la transpiration coulait.
Elle arrêta de jouer un instant, pour passer sa main qui tenait l'archer sur son front essuyant dans le mouvement la sueur avant de soupirer et d'aller prendre la serviette qu'elle avait pris la précaution de prendre, jetant en même temps un coup d'oeil à sa montre dans son sac. Jugeant que malgré l'heure matinal elle se risqua à ouvrir la fenêtre pour aérer un peu la fournaise qui régnait dans la pièce, refermant pourtant après quelques instants ne voulant pas être accusée de dépenser du chauffage inutilement.
Elle recula doucement dans la pièce et alla jusqu'à la porte l'entre ouvrant avant de se replacer face à sa partition, soupirant dans le léger courant d'air qu'elle vient de créer détendant ses épaules avant de replacer l'archer sur le violon, fermant les yeux en reprenant le morceau depuis le début. La musique s'élevant dans les airs doucement, fluidement, elle connaissait les fautes et évitait les endroits où elle savait qu'elle ferait une erreur et s'appliquant pour continuer le morceau jusqu'au bout.

[HS le morceau joué >est là]


Dernière édition par Kahoko Hino le Mer 4 Jan - 23:41, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeJeu 29 Déc - 21:04

Haaaa enfin !! Me voilà arrivé à mon nouveau lieu de vie …étrangement je m’attendais a quelque chose de plus….en mauvais état vu le prix de la location si basse. Enfin, je ne vais pas m’en peindre. Je restais là, les bras sur le volant de ma voiture à observer a travers le pare-brise, la pension Kohime en soupirant. Je décide de sortir de ma « poubelle roulante », ouai, elle a fait son âge la pauvre et moi, je la force a ce déplacé encore tous les jours sans vergogne. Haaaa, elle est plus toute jeune, déjà 21 ans la pauvre, un jour elle va me claquer entre les doigts, enfin sous mes fesses, je suis même étonné qu’elle n’a pas encore perdu de roues en roulant ou que son moteur ne me pète à la gueule…enfin je touche du bois. Je prends les valises dans mon coffre, je ferme ma voiture et je commence mes premier pas vers cette enceinte des plus chaleureuses, sans expression particulière sur mon visage. L’extérieur est plutôt sympa, ça me semble calme … un peu trop calme … ou sont les locataires, surtout les filles ? ! J’aurais aimé me rincer l’œil quelques minutes pour avoir un aperçu de la marchandise... enfin, j’aurais tout le temps pour ça plus tard.

J’entre dans le hall du bâtiment, je me place devant la réception et je lâche mes valises sans retenu, sauf la plus grosse que je pose délicatement. Ouai j’avoue, j’ai un peu blindé mes bagages, et la plus grosse a en son intérieur des choses qui me sont très chère. Bizarrement il n’y a personne pour accueillir les nouveaux venu, j’attends quelques minutes, il n’y a même pas de sonnette pour s’acharner dessus lors de son arrivée. Fait chier bordel… je ne suis pas patient de nature et j’aurais aimé défoncer cette saloperie de sonnette par vengeance. Au moins, une sonnette sera sauvée dans ce monde…

Bref, ma patience a des limites très proches de l’énervement. Je suis impulsif et alors ? Je reprends mes bagages fermement et je décide de trouver quelqu’un pour m’aider à me retrouver dans cet endroit. Je me tourne et la hooo misère, le sort s’acharne sur moi, maintenant que je veux de l’aide, il n’y a plus un seul glandu dans le hall, c’est fait exprès ça !!! Je marche en direction du premier couloir pour m’engouffrer dans…la solitude, c’est aussi vide que le Hall. Ou sont passé les gens ?

J’entends un doux son venant d’une des portes, c’est d’ailleurs la première à ma gauche. Un peu entre ouverte, je jette un coup d’œil et mamamia, est-ce un rêve ?!! Si c’est le cas, je défonce celui qui osera me réveiller ! J’observe cette muse qui joue magnifiquement bien du violon. Enfin magnifiquement je ne sais pas, j’peux pas juger de la performance puisque j’y connais que dalle, mais c’est vraiment sympa à l’oreille, et pour les yeux aussi….Mh j’me demande quelle couleur elle porte en sous-vet… ? Harf, je m’égare, je dois lui demander de l’aide pour trouver ma chambre et visiter les lieux. Je pose mes valises et j’ouvre lentement la porte pour adosser mon bras contre l’arcade du mur. Je ne m’en rends pas forcément compte mais avec cette pause, ces fringues, je ressemble à un mec qui cherche les enmerdes… J’espère que je ne lui ferais pas trop peur quand même. J’ai besoin d’un larb..heu d’un guide. Désolé, je ne le fais pas exprès…

- OY ! J’peux te demander un service ? J’suis perdu et y a pas un seul glandu dans le hall pour mon arrivé. Tu pourrais remplir ce rôle ?

Haaa dans la précipitation j’ai oublié de la saluer et de me présenter correctement.

- Désolé, je suis un peu sur les nerfs…Salut, je suis Kurosaki Usui, nouveau venu et complètement paumé.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeJeu 29 Déc - 22:21

♪ Un étranger très........séduisant


La musique, c'était le seul monde où elle se sent en sécurité tout en ayant pas peur de laisser paraître même un court instant la passionnée qu'elle est, cette passion qui fait vibrer les cordes de son instrument, Elle suit les mouvements qu'elle fait, ne se rendant pas compte qu'un bruit au dehors signale une voiture qui semble pas loin de rendre l'âme concentrée sur sa partition, elle répète en boucle son morceau fermant à présent les yeux pour ne faire courir sur les cordes ses doigts, l'archer glissant avec une apparente facilité alors qu'il n'en ait rien. Elle a acquis cette aisance au prix d'un entrainement acharné et se bat encore et toujours pour s'améliorer même si aujourd'hui elle ne fait plus de compétition.
Elle sentit le courant d'air s'intensifier, une porte du couloir devait s'être ouverte mais elle ne s'inquiéta pas, d'habitude les autres artistes faisaient comme elle dans cette salle, ouvrant ou la porte ou la fenêtre voir les deux. Elle allait reprendre encore une fois le morceau avant de sentir sa nuque se hérissée avec la sensation qu'on l'observait, elle cessa de jouer pour se trouver face à......Restons polie et disons garçon, elle aurait plutôt dit délinquant vu la dégaine mais c'était peut être qu'une impression, ou une attitude qu'il se donnait pour impressionner les autres, elle ne fit attention qu'à une chose il bloquait la seule voie de sortie. Pourtant malgré cette impression de mauvais garçon il était séduisant, rien qu'à la pensée, plus la chaleur de la pièce, sans oublier la gêne d'avoir laissé quelqu'un l'écouter sans son consentement Kaho vira au rouge tomate sur ses joues. Elle laissa ses bras retomber de chaque côté de sa taille en remarquant soudain son geste elle se dirigea aussitôt vers l'étuis ouvert de son violon pour le déposer amoureusement dans son écrin de velours; lui donnant une caresse avant de placer l'archer dans l'autre partie de la boite et de la refermer correctement avant de se retourner pour répondre au jeune homme.

Elle avait répété dans sa tête plusieurs fois le prénom du garçon, trouvant que c'était un très beau nom pour un très beau jeune homme, elle secoua sa tête plusieurs fois pour en sortir les pensées qui n'avaient rien à y faire dedans. Elle devait essayer de parler calmement sans hésiter sur chaque mots. Enfin essayer, elle se trouvait gauche, peu à l'aise dans les conversation elle hésita avant de répondre au jeune homme, d'ailleurs qu'aurait elle pu répondre elle prit sa veste et l'enfila de nouveau pour moins sentir le regard du jeune homme sur elle, essayant de faire face sachant qu'elle ne jouerait pas dans ces conditions et se rappelant qu'on l'avait elle aussi aidée elle se résigna et le regarda de ses yeux dorés. Enfin elle n'étais pas un esclave à sa solde et avait tiqué un peu sur le rôle qu'il voulait lui donner, raclant sa gorge avant de commencer à lui répondre.

- " Alors en effet il y a rarement des *glandus* comme tu les appels dans le hall, à cette heure tout le monde dors ou bien n'est pas encore rentré. J'ai eu le même problème en arrivant mais je peux te montrer où on prend les clés."

Son regard ne restait pas très longtemps sur lui, dérivant en ne montrant pas qu'elle était intimidée mettant sur le compte de la chaleur de la pièce les rougeurs de ses joues. Elle ramassa son étuis après avoir vérifié qu'il était bien fermé, deux précautions valent mieux qu'une et elle prenait tout le temps celles en double pour son instrument adoré. Laissant sa main courir un peu sur le cuir de la boite avant de saisir la poignée et se diriger vers la sortie. Elle resta un instant face à lui qui ne semblait pas vouloir bouger, elle se glissa alors entre l'espace que le jeune homme laissait entre la porte et lui se faufilant sous son bras tendu contre le chambranle de porte le frôlant à peine avant de s’avancer sans regarder derrière elle jusqu'au milieu du couloir Se retournant pour le regarder de nouveau.


- " Tu veux bien fermer la porte s'il te plait, ensuite je te guiderais pour te montrer au moins ce que je sais......Je ne suis pas arrivée il y a longtemps moi non plus........"

Elle le regardait le trouvant grand, peut être trop grand de son point de vue mais sa taille avait toujours été un complexe pour elle, se trouvant toujours trop petite ou bien se comparant à ses camardes qui étaient toutes plus grandes et mieux formées qu'elle son tour de poitrine n'était pas si important que ça et c'était un autre de ses complexe d'ailleurs. En fait seul ses cheveux et ses yeux avaient son approbation, puisque les gens détournent en général le regard géné par l'éclat doré de ses pupilles ou bien soupire en voyant la chevelure rousse ou le rouge est exagéré. Elle rougit en se rendant compte qu'elle l'avait fixé en étant perdue dans ses pensées et qu'elle non plus dans sa gêne ne s'était pas présentée. Elle posa ses deux mains sur sa poignée de son étuis et s'inclina cérémonieusement face au jeune homme.


- " Je suis désolée moi aussi de ne pas m'être présentée de suite, je m'appelle Kahoko, Hino Kahoko enchantée de te rencontrer Kurosaki. Si tu veux bien me suivre je vais te montrer le chemin à présent."

Elle se sentait gauche et mal à l'aise, essayant pourtant de se détendre en tutoyant le jeune homme mais rien à faire, les conversation c'est pas son truc, elle soupira en espérant ne pas l'avoir vexé et se redressa pour faire face à la fin du couloir cherchant le chemin le plus rapide pour rejoindre le secrétariat avant de se rendre compte qu'elle avait oublié de lui demander si il avait déjà sa clé ou pas. Elle pencha la tête en le regardant tout en lui posant la question.


- " Tu as reçus le courrier d'entrée ou pas ? Et si oui as tu eu une clé avec ?"


Dernière édition par Kahoko Hino le Sam 31 Déc - 15:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeVen 30 Déc - 21:38

Ben dis donc quelle scène !! Voila que la jeune femme devant moi ce tape un phare. Je ne peux pas dire la raison exact d’un tel phénomène, car faut avouer qu’il fait vraiment chaud dans cette pièce, mais j’’ose espérer que c’est ma venu qui la rende comme ça. Je la regarde sans laisser sortir un son, ses bras tombant le long de son corps. Je me demande si je l’aurais pas un peu surprise en faite…Je la regarde ce diriger vers un étui. Non mais elle m’ignore là, non ? Je vous jure, les jeunes de nos jours ! Enfin je préfère attendre avant de m’emporter encore, vu mon état de nervosité, il valait mieux que je me gère afin d’éviter un tremblement de terre. Mais que vois-je ? Elle caresse son instrument de musique…ho mon dieux, transformez moi en violon juste l’espace d’un instant !
Elle se tourne alors vers moi, je la sens hésitante, timide. Elle était vraiment mignonne avec cette aire gênée sur le visage. Je la regarde enfiler sa veste puis me fixe de ses magnifiques yeux doré. Rha c’est troublant, je n’ai jamais vu de tels yeux dans mon passé. Et là miracle, elle décide enfin de m’adresser la parole. Certes, je m’attendais un peux a ce genre de réponse mais elle accepte de m’aider, j’ai tout bon pour le moment.

Son regard ne soutient pas longtemps le mien, je l’intimide ? Ou peut-être que je lui plais ? …mh…non je ne laisse pas mes émotions personnelle prendre le dessus. Je la regarde prendre son étui avec délicatesse et elle finit par venir ce tenir devant moi. Elle croit quoi, que je vais bouger ? Ce que je veux c’est un guide et pour le moment elle semble plutôt vouloir tailler. Je n’ai pas le temps de réagir que la naine se faufile déjà sous mon bras pour atteindre le couloir extérieur. Je tourne la tête pour suivre son déplacement, elle ne semble pas vouloir me fuir puisqu’elle reste planter au milieu de l’allée à me fixer. Elle me dit alors vouloir me montrer ce qu’elle connaît, d’après ce qu’elle raconte, elle est nouvelle elle aussi. Donc ces connaissance de ses lieux sont encore un peu restreint, enfin ça sera toujours moins que moi.

Hino, voilà comment se nomme cette jolie demoiselle devant moi. Elle me siée de la suivre, décidant ainsi de me montrer le chemin. Sa tête ce penche légèrement tout en me regardant. Et là, la question fatale. Si j’ai eu le courrier d’entré et des clés ? Bien sûr que je les ai eus... Mais je les ai oubliés !!!! Rha je suis un boulet ! Je lâche le chambranle de porte pour faire face à Ino. Je m’avance vers elle, puis me penche un peu pour être à sa hauteur, visage a environs 20 cm du sien.

- Tu as des yeux étrange…je n’ai jamais vu de tel pupilles par le passé. En ce qui concerne les clées et le courrier je les ai bien eu….sauf que…je les ai oublié…chez ma mère…pour dire, c’est à plus de 3h de route d’ici…

Je me redresse, voyant que ma position semble gêner un peu ou porterais à confusion.

- J’espère qu’on pourra trouver une solution. Enfin pour le moment, je te suis, je voudrais trouver le secrétariat pour avoir justement des clés et déposer mes bagages. Après quoi, je serais …ravie de visiter l’endroit en ta compagnie, demoiselle !
Je ferme alors la porte de la salle de musique puis empoigna mes bagages.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeJeu 5 Jan - 17:41

♪ Silence doux silence ♪


Reculer, elle n’avait que cette envie à ce moment précis, envie de rejoindre sa chambre et de s’y enfermer pour ne plus en sortir et rester à l’abri des autres. Pourquoi avait-il donc voulut regarder ses pupilles de plus près c’était vraiment indécent cette manière de s’approcher de quelqu’un et surtout de se pencher ainsi. Elle ressemblait maintenant à une tomate qu’on aurait trop laissée au soleil ou bien à un coquelicot qui aurait pris les plus belles couleurs que la nature ait pu lui offrir. Ses joues étaient maintenant couleur carmin, aussi rouge et chaude qu’en cas de très forte fièvre quand vous ne savez plus comment faire pour descendre votre température à des degrés plus supportable. Enfin il recula et elle souffla doucement avant de reculer pour s’éloigner, frémissant doucement d’indignation avant de se mesurer, peut-être est-ce que c’était une coutume qu’elle ne connaissait pas, peut-être que c’était une façon de saluer les gens qu’elle n’avait pas eu le temps de connaître.

Elle le regarda de ses yeux dorés et brillant, elle se posait de multiples questions dont aucune n’avaient vraiment d’importance mais elle aurait bien voulu connaître plusieurs réponses pour au moins savoir à quoi s’attendre de la part du jeune homme. Il était plus grand et sans aucuns doutes plus vieux qu’elle, du moins il ne paraissait pas juste sortit de l’enfance comme elle qui avait encore un comportement d’enfant souvent. Comme en ce moment précis, n’avait-elle pas envie de fuir lâchement pour retrouver un semi environnement familier, ou bien au moins se retrouver seule, c’était ce qui lui manquait le plus, un comportement naturel et facile d’approche, se protégeant toujours de tout le monde, sa " fuite " de chez elle ne semblait pas lui permettre d’acquérir la faculté de se fondre parmi la foule comme elle l’avait espérer.

Elle respira mieux quand il se redressa, au moins il n’avait pas l’air d’avoir de mauvaises intentions et elle l’écouta parler en prenant garde de bien s’intéresser à tous ce qu’il disait. Il avait l’air de pouvoir s’intégrer parfaitement à un environnement contrairement à elle qui fuyait un peu tout le monde pour se réfugier dans son monde de musique. Solitaire, elle avait toujours préférée se débrouiller seule le plus souvent possible, n’aimant pas devoir quelque chose aux autres, et repoussant si elle le pouvait les mains tendues, les autres prenaient trop souvent ces prétextes pour vous demander des choses parfois en dehors de vos capacités. Elle l’observât ramasser ses valises, les deux mains jointes sur son étuis se rassurant par la présence de son instrument et son regard devint froid. Elle avait failli oublier que seul son violon pouvait lui apporter le bonheur et que l’on vit seul, même si on est entouré on prend seul ses décisions et on les vit seul. Elle se demanda si il attendait une réponse à son affirmation, en fait ses yeux avaient toujours cette couleur particulière et jamais les gens n’avaient soutenu son regard suffisamment longtemps pour remarques l’éclat que prenait ses prunelles parfois.

-- " Je ne pense pas que ne pas avoir tes documents les gêne il te suffira de montrer ta carte d’identité....En principe...."


Elle commençât à marcher dans le couloir, lâchant d’une main son étuis pour ouvrir la porte et la tenir au garçon chargé de ses bagages, lui laissant assez de place pour rejoindre le hall et reprit sa route en cherchant comment répondre à sa question, sans pour autant entrer dans des détails dont il n’aurait que faire, cela ne l’intéressait sans doute pas de savoir que ses yeux ont toujours eu cet éclat particulier. Elle pensa un instant à sa mère qui avait les mêmes yeux, elle devait être bien plus belle qu’elle ne l’était et aurait tant voulu la connaître au moins autrement qu’en photo. Elle passa sa main sur son front en soupirant encore une fois, repoussant les pensées qui la dérangeait loin dans sa mémoire et dans ses envies, seul l’écho de leur pas était audible dans les couloirs pour l’instant vides. Elle poussa pris la direction du secrétariat en prenant enfin la parole pour lui répondre.

-- " J’ai toujours eu les yeux de cette couleur, c’est vrai que c’est assez rare. Ma mère avait les même, et je tiens cela d’elle…."

Elle essaya de ne pas penser à son père, chose difficile quand on a autant de haine que d’amour pour son seul parent en vie et se demanda s’il ressentait son absence ou pas. Son regard se faisait lointain, posé dans le vide devant eux sans réellement regarder quelque chose, s’absorbant dans son silence avant de remarquer le panneau du secrétariat se dirigeant dans la bonne direction elle guida le jeune homme jusqu’à l’espèce de bureau se tournant vers lui en désignant l’endroit.

-- " C’est là ……..Tu veux que je t’attende pour te faire visiter un peu ? …."
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeJeu 5 Jan - 19:43

  • Empoignant mes bagages, j’observe ce petit bout de femme qui semblait vraiment gêné…en faite, non, elle semble surtout coincée !! Ça existe encore des gens comme ça de nos jours ? La société est plutôt libertine et pourtant on trouve encore des individus aussi…enfin voilà quoi. D’un sens c’est intéressant, c’est toujours délirat de les mettre dans des situations embarrassantes, c’est trop drôle de voir leur tête quand ils captent qu’ils sont coincé. Je vais peut-être pouvoir m’amuser un peu. Elle va surement me fuir ou au pire, me flanquer une claque mais je prends le risque.

    Le faite que je me redresse semble l’avoir libéré d’un poids puisqu’elle décida de me répondre. Ma carte d’identité hein ?…mmh est ce que je l’ai sur moi ? Je pose rapidement mes bagages et touche mes poches à l’arrière de mon pantalon. Portefeuille à sa place, si portefeuille dans la poche, carte d’identité aussi. Bien, au moins je pourrais récupérer les clés sans problème. Je reprends mes bagages pour suivre Hino à travers les couloirs. Je ne la voyais que de dos à cet instant, voyant sa main frotter son front..mh…a quoi pouvait-elle bien penser ? Moi par contre…j’avais une vue terrible ! Ma tête chavirant de droite à gauche, au rythme des pas de la jeune femme.. Pfouaaa, si j’avais les mains libres, j’aurais bien touché ce popotin aguicheur ! Il semblait me dire « Youhouuu regarde-moi, je suis tout doux et tout innocent » Torture pour un mec comme moi qui connais les joies du corps et des étreintes charnelles. L’arrêt soudain et la disparition du popotin m’oblige à sortir de mes délires, l’observant maintenant de face. On était déjà arrivé ? Il semblerait ! Voilà qu’elle me parle de ses yeux. Sa mère aurait elle aussi cette même couleur étrange, j’essayais de m’imaginer une femme mur, bien faite, même yeux…ha je vois Hino dans quelques années…sympa…enfin mon esprit crée plus des femmes qu’on ne voit que dans les livres, hein ! Elle me dit alors que la porte juste devant nous est le secrétariat.

    - Je te laisse mes bagages le temps que je récupère les clés, fait gaffe a la grosse valise, si elle tombe…je pète un plomb hein !

    J’entre dans le secrétariat sans toqué, je sais, je suis mal poli et sans gêne mais j’assume. J’entre donc sans refermer la porte derrière moi. J’approche le bureau du secrétariat ou une dame semble soudainement s’intéresser à ma présence. Je viens poser ma main sur le bureau, courber légèrement le dos et regarder la jeune dame dans les yeux.

    - Kurosaki Usui, je viens pour ma chambre…J’ai zappé mes clés chez moi, donc je viens voir s’il y a une solution pour que je puisse récupérer des doubles.

    Voilà qu’elle me regarde en faisant de grand yeux de hibou puis un regard plutôt contrarier.

    - Bonjour, Monsieur. Puis-je prendre votre carte d’identité ?

    Ha oui, forcément j’ai oublié de dire « bonjour ». Je fouille la poche de mon pantalon, je sors mon portefeuille et prend ma carte d’identité que je lui tends gentiment. Elle la prend en souriant et en me remerciant. Après quelques minutes d’attente, elle me donne enfin les clés. Je tape légèrement sur le bureau en la remerciant, lui tournant le dos pour retourner dans le couloir. Hino est toujours là, je la regarde, lui montre les clés.

    - Chambre sept, mademoiselle ! Je te laisse me guider par ce que je ne sais pas du tout par où aller.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeVen 6 Jan - 0:07

♪ Un ordre, une curiosité et une excuse ♪



Super vraiment, maintenant la voila qu'il la prend pour la gardienne de bagages de services, vraiment les garçons, elle n'avait jamais chercher à les comprendre et n'allait pas commencer maintenant c'était une perte de temps d'essayer de savoir pourquoi ils agissaient ainsi. Elle s'accouda au mur en regardant les valises surtout la grosse qu'il avait désigné, pourquoi aurait il été aussi contrarié de la voir par terre ou bien bousculée. Elle réfléchit en regardant les grande proportion du bagages ne voyant pas quel genre d'instrument pourrait tenir dedans, même en cherchant bien elle ne voyait pas. En fait il avait du la confondre avec une employée, pourtant elle n'avait pas contre dis quand il avait demander de garder ses affaires. Elle soupira en regardant la valise imposante se décollant du mur pour se mettre à côté au cas où quelqu'un passerait en courant et la renverserait, ne voulant pas vraiment savoir ce qu'il voulait dire par péter un plomb. En fait c'était presque plus dangereux de garder cette valise que d’affronter les autre locataires de la pension, même si cela voulait dire supporter le bruit et ne pas pouvoir dire un mot quand tout le monde vous saute dessus pour vous poser tout un tas de questions idiotes..

Elle se sentait gauche et stupide debout à côté des bagages, ses mains serrant la poignée de son étuis, se demandant si elle devait rester pour obéir à l'ordre ou bien purement et simplement tourner les talons et laisser ses bagages là. La réponse fut simple, même si elle n’aimait pas vraiment ses procédés, elle devait bien se dire qu'elle ne pouvait pas faire autrement que rester. Elle n'aurait pas voulut qu'on ne l'aide pas lors de son arrivée. Ou peut être que si mais elle ne pouvait pas laisser les sacs tous seuls. Elle se retourna en l'entendant revenir regardant la clé et le passe avant de se baisser pour prendre un de ses sacs à lui pour l'aider, se retrouvant finalement à la place de larbin en souriant difficilement.

Et bien au moins elle était rassurée, il était loin de sa chambre à elle, enfin ce serait toujours possible de le croiser dans le couloir mais elle pourrait aisément contourner de plusieurs façon les endroits qu'elle jugeait trop dangereux. Non pas que des travaux soient à envisager mais plus dans les rencontres qu'on pouvait faire dans la pension. Plusieurs fois elle avait changé de chemin se rallongeant pour pouvoir contourner des groupes d'élèves qui barraient un chemin, enfin il devait attendre une réponse et elle attendit qu'il ait ramassé le reste de ses affaires pour prendre la direction du dortoir.

-- " Tu n'as pas eu trop de difficulté ? Enfon bon le plus important et que tu ait ta clé, vient c'est par là.."

En fait même cela ne l'avais pas choqué de voir des garçons mélangés avec des filles dans les chambre. Heureusement pour elle elle n'avait pas de colocataire pour le moment et le vivait très bien. Au moins elle était tranquille et personne ne l'ennuyait. Elle avançait calmement dans les couloirs, l'échos de leur pas étouffés dans la couloir, prenant le plus long chemin pour se rendre aux chambres par habitude. Le temps qu'elle se rende compte de son erreur et la moitié du chemin était faite aussi elle continua l'air de rien, après tout c'était un peu plus long et un peu plus calme et personne ne le bousculerait lui et sa précieuse valise.

Elle sourit pour elle même en se disant que si il avait loué ses services en temps que guide touristiques c'était vraiment une visite qu'il allait regretter, elle ne parlait pas beaucoup et surtout ne parlait pas vraiment quand elle n'avait rien à dire. Pourtant elle était curieuse, curieuse de savoir ce qu'il pouvait posséder de si fragile dans sa valise pour ne pas vouloir qu'elle tombe. Peut être du verre ou bien un objet précieux et fragile, elle ne faisait que s’interroger pour essayer de voir ce qui pourrait bien être le contenu du bagage. Elle se mordilla la lèvre avant de se tourner vers lui sans s'arrêter de marcher, le regardant avant de lui demander.


-- " Tu as quoi de si précieux dans ta valise ? Pourquoi ne pas vouloir qu'elle tombe ?...."

Elle se re-mordilla les lèvres en détournant le regard ses joues reprenant quelques couleurs devant sa curiosité, ne se rappelant plus si elle voulait qu'il réponde ou pas, ne comprenant plus elle même pourquoi elle avait posé cette question qui lui apparaissait si stupide maintenant...
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeVen 6 Jan - 13:45

Je la regarde prendre un de mes bagages avec son petit sourire forcé. Ben quoi, Si tu ne voulais pas le faire t’avais cas pas le prendre ! Pourquoi elle ce force ? Elle me fait perdre la joie de lui demander ce service. Je voulais la voir accepté, gêné ou frustré de ma demande sans oser refuser….bref…

Je la suis en silence, observant son comportement asocial…ouai, c’est bien le mot, elle semblait contourner tous les obstacles « humains » au lieu de les affronter. Comment pouvait-on être aussi…coincé ? Moi qui suis tout le contraire, j’ai du mal à comprendre son mal être. Je me demandais si je devais l’aider à surmonter son stresse…en même temps ce n’est pas mon problème, mais je suis comme ça, j’aide les gens quand cela m’apporte quelque chose et là, je suis sûr que je pourrais m’amuser.

Le chemin menant aux dortoirs me parait vraiment long…elle fou quoi la donzelle ? Elle cherche à prolonger notre petit tête à tête ? Si c’est ce qu’elle veut, elle pourrait être plus direct… Bien que marcher en sa compagnie, derrière elle, c’est pas plus mal, la vue est sympa.

Elle se tourne soudainement vers moi, elle qui était tellement silencieuse semble vouloir demander quelque chose. Elle continue de marcher à reculons, en me fixant. Ho la petite curieuse ! Voilà qu’elle semble s’intéresser à mes bagages. Je la fixe toujours en marchant, laissant s’installer un petit moment de silence avant de me décider à lui répondre. Je lui lance un petit sourire sadique, celui qui s’aperçoit au coin des lèvres et qui dit « méfiez-vous ». Je la vois ce mordiller la lèvre, ses joue prenant une petite couleur rosé. Ho que c’est mignon ! Est-ce qu’elle regrette ? Ho je pense qu’elle va fortement el regretter, je suis plutôt direct, entreprenant et j’aime enmerder les gens au point de leur coller la honte de leur vie. J’ai fortement envie d’embarrasser cette pauvre demoiselle.

J’accélère le pas, colle violement mon bras libre contre le mur pour stopper l’avancé d’Hino. Usui Shock ! Le bruit de l’impact de ma main sur le mur résonne en écho dans ce couloir vide. Et ouai, ce n’est pas toujours le meilleur chemin que de prendre celui où il n’y a personne. Pas de témoins, c’est parfois plus délicat dans ce genre d’endroit si quelque chose devait arriver. Je pose délicatement ma précieuse valise au sol, puis pause la main à côté de la tête de la demoiselle, la coinçant ainsi entre moi et le mur. Aucune échappatoire, mes jambes bloquant l’accès par el bas. Je la regarde, je suis vraiment près d’elle, ses yeux sont vraiment troublant, sur le coup, je ne sortis pas de suite ma réplique, un peu trop concentré sur ce beau visage puis je reprends mes esprits.

- La curiosité est un vilain défaut, n’est ce pas ? …………… Ce qu’il y a la dedans est juste fragile et j’ai pas assez de tunes pour en racheter si ça pète. Sinon petit conseil…J’ai bien comprit que tu évites la foule. Pourtant dans cette situation, tu serais bien plus enmerdé que de passer a travers les petits groupe de jeunes. A trop vouloir te protéger, tu te mets toute seule en danger…ma pauvre.

Je me redresse un peu mais ne lâche pas mes mains du mur.

- Tu as l’air d’avoir peu d’expérience…Quel âge tu as ?
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeVen 6 Jan - 15:23

♪ Une peur sans nom... ♪

Elle l'entendit accélérer et baissa la tête en détournant le regard, elle devait avoir le don de gêner les autres car il ne répondit pas, elle devrait vraiment rester dans son coin et ne plus parler à personne, au moins elle n'aurait pas le remord de les voir reculer face à elle ou bien l'ignorer purement et simplement. Elle poussa un nouveau soupir silencieux avant de le voir la dépasser, il devait vraiment vouloir la fuir ou bien il trouvait que le chemin était trop long, enfin dans tout les cas elle n'avait encore une fois pas fait ce qu'il fallait. Elle leva la tête prête à lui rendre son sac alors qu'il frappait le mur de sa main, produisant un son qui se répercuta dans le couloir vide, elle se dit qu'elle avait du le fâcher en pus de le vexer et qu'il allait sans doute lui ordonner de lui rendre ses affaires, sa main se serrant sur la poignet de son sac contenant son violon. Elle ne devait pas être faite pour être en contact avec les autres c'était sans doute pour ça qu'elle se sentait si bien loin du monde, en créant sa sphère à elle seule quand elle jouait s'isolant de tous les parasites humains qui pouvaient peupler cette terre.

Elle fixa le bras qui lui bloquait le chemin et le regarda avant d'amorcer un mouvement pour faire demi tour ne comprenant pas comment en quelques secondes elle se retrouva coincée contre le mur. *Il ....Il faisait quoi là ??!!!! C'était.....Mais Il n'a pas le droit >< * Elle se sentit comme pris au piège, un papillon dans une toile d’araignée, un lapin acculé dans son trou par un renard C'était fou quand même de penser qu'on ne pouvait pas rendre service à quelqu'un sans se retrouver dans des situations ....D'ailleurs c'était quoi comme situation, harcèlement, draguerie...Elle piqua un fard en devenant aussi rouge qu'une tomate, rejoignant presque la couleur de ses cheveux, ses yeux dorés laissant apparaître sa gêne et ...Sa peur....Voila qu'elle revenait au galop cette peur.....Peur des autres, du mal qu'ils peuvent faire, des remarques qui peuvent blesser, mais non elle se l'était promis plus jamais elle ne se laisserait faire, faisant un énorme effort sur elle même pour faire refluer sa gêne et toisa le jeune homme le regard posé dans le sien sans ciller.

D'ailleurs il semblait perturbé parce qu'il la regardait sans rien dire, elle soutint son regard sans prononcer un seul mot, ses deux mains prises par un des sacs du jeune homme d'un côté et son violon de l'autre elle le regardait sans plus rougir, la colère brillant dans ses yeux dorés. Jamais personne n'avait agit ainsi avec elle et jamais personne ne le ferait sans qu'elle se défende. Elle lâcha le sac du garçon avant de poser sa main sur son torse pour le repousser, le fusillant du regard sans montrer trace de peur. Bon c'est peu être suicidaire mais elle ne comptait pas le laisser faire comme ça, ses yeux lançant des éclairs à son adversaire, frémissante d'indignation et de fureur, son visage montrant toutes les réactions qu'elle avait face à l'intrusion de son espace privé, se mettant à parler feulant presque sur le jeune homme.

- " Tu n'étais pas obligé de me répondre, et tu n'es pas obligé de me coller, quand à mon âge cela ne te regarde pas tout comme l'expérience que je peux avoir !"

Rien que dans ses paroles toute son aversion pour ce genre de procédés se sentait, elle n'aimait pas du tout être prise pour une poupée ou seulement pour un objet. Elle était révolue cette époque ou elle laissait tout le monde lui dicter sa conduite et surtout où elle ne disait rien contre les autres. Sa voix était ferme et assurée, peut être une peu tremblante de colère contenue. Elle eut pourtant une idée pour faire reculer le jeune homme cessant la pression sur son torse vu que de toute façon il n'avait pas semblé sentir qu'elle essaie de le repousser.

- " Enfin la curiosité est naturelle non, après tout qui n'aimerait pas en savoir plus sur son prochain, humm ? Pour répondre à ta question je pratique le violon depuis dix ans maintenant."

Si l'attitude était provocante le sourire ironique démentait ses propos, se moquant doucement du jeune homme en restant subtile, elle ne voulait pas le voir trop près, elle ne voulait pas qu'il s'approche ainsi et en plus semblait s'amuser de sa gêne, elle ne comptait pas rester sans réagir face à cette intrusion. Son regard était froid, posé dans le sien en le défiant, ne baissant pas les yeux et gardant un visage ferme et décidé, avant de sourire encore plus ironiquement en lançant une nouvelle pique.

- " Ne crois pas que je ne saches pas ce que je fais, qui te dis que ce n'est pas toi qui te trouves dans une situation que tu ne maîtrise pas ? "

Elle lui fit un sourire sadique et releva une jambe la reculant pour cogner contre le mur prenant de l'élan pour ensuite projeter son pied vers sa valise si fragile, voulant provoquer un réflexe de défense si il y tenait tant que ça et surtout l'éloigner d'elle le temps qu'elle puisse trouver un moyen de se défendre.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeVen 6 Jan - 16:42

Je l’observe, elle pose mon sac au sol pour essayer de me pousser en mettant une pression sur mon torse. A vrai dire c’est peine perdu, la différence de force est largement trop grande. Haha vas-y pousse de toutes tes forces, moi ça m’excite !! Bordel ! Qu’est-ce que j’raconte encore ?! Voilà que je m’égare dans mes pensées les plus perverses ! Faut vraiment que j’me calme…mmh depuis quand je ne l’ai pas fait ? Haaa je ne dois plus y penser, pas à ça maintenant…
Vu la façon dont elle me regarde, elle semble terriblement en colère. Que c’est mignon. Bon ça façon de me parler voulait bien dire que j’aurais dû me taire.

- Le rôle d’une question n’ai-t-il pas d’avoir une réponse ? Si tu ne veux pas de réponse, alors ne pose pas de questions.

Je parlais calmement, plutôt décontracté. Elle était vraiment en colère la donzelle ! J’essaye de calmer le jeu, bien que pour elle, ça ne semble pas vraiment amusant. Sa main ce décolle de mon torse, probablement qu’elle c’est rendu compte que cela ne servait à rien. Voilà qu’elle continue sur sa lancé, ai-je actionné le bouton « ON » de la tentative autonome de protection ? Elle est plutôt étrange, timide mais semble répondre aux attaques extérieurs. Juste, peut – être qu’elle devrait s’y prendre autrement…En plus elle semble avoir compris ma question de travers…je ne lui demande pas son expérience sur la musique mais plutôt de la vie. L’expérience de différentes situations pouvant entrainer embarras, haine, joie ou pleurs… D'ou le faite que je veux son âge...

Ca dernière phrase est plutôt étrange. Moi dans une situation que je ne maitrise pas ? Je maîtrise toujours mes actes, enfin c’est ce que je croyais jusqu’à maintenant par ce que hooooo myyyyy goooood !!! Ma VALISE !!!! Je vois ce pied répercuter sur mon bien le plus précieux, je vois, ma valise commencer sa chute mortel vers le sol. Je lâche le mur pour sauter sur ma valise, me mettant bien en dessous afin d’éviter le choc du sol pouvant entrainer la destruction de ce qui se trouve à l’intérieur. Par chance j’ai réagi assez vite, me retrouvant par terre comme un con avec ma valise sur la gueule. Je souffle de soulagement puis regarde la folle devant moi, toujours assis par terre à tenir mon bien. Ouai on voyait que ma tête sortir de l’autre côté de la valise, j’avais l’air super comme ça hein.

- Mais t’es malade !!! Je te jure que si elle serait tombé, que tout ce qui se trouvait dedans était péter, je t’aurais buté sur place !! C’est tout mon passé al dedans ! Je n’ai pas le droit d’où…bli…é….

Qu’est-ce que je raconte-moi…pourquoi je lui raconte ça ? Ce n’est pas ses affaires ! Je lâche ma valise et m’ébouriffe les cheveux violement en grognant. J’ai vraiment eu les boules là !!! Je me relève, redresse ma valise précieusement pour enfin fixer ce bout de femme. J’ai trop stressé, j’ai besoin d’air. Je sors un paquet de clope de ma poche, en sort une cigarette que j’allume sans ménagement. J’ouvre une fenêtre du couloir pour ne pas enfumer et empester tout l’intérieur. Et ça me fait du bien, de l’air frais. Je reste là, à regarder dehors.

- Mouai…désolé j’me suis emporté… je ne suis pas méchant hein, je gueule plus que j’ne mords.

Je me mets à rire, probablement un rire nerveux. Je fini ma cigarette, écrase le mégot contre la poubelle à côté de moi et le jette. Je me tourne vers elle, récupère ma grosse valise.

- Bon j’vais pas te gêner plus longtemps…j’vais me débrouiller.

Je pose ma main sur sa tête, comme on remercie une enfant parce que oui, ça se voit qu’on a une tranche d’âge différente, elle semble jeune. Bien que je ne sois pas vieux hein, loin de là, juste que j’ai un corps avancé…musclé…sexy…ouai faut me voir a poils pour ça !

Je récupère mon autre valise au passage, j’avance dans le couloir jusqu’à l’intersection.

- ……………….

Je me tourne de nouveau vers elle.

- …heu…c’est par où ?

J’ai pas l’air con…
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeVen 6 Jan - 23:53

♪ Rira bien qui rira le dernier ♪


Elle avait visée juste et le lourd bagage tombait vers le sol, elle sourit ironiquement en le voyant plongé pour retenir sa valise et lui éviter une chute fatale, se mettant à rire en s'amusant d'un coup beaucoup plus que lui. Il l'avait cherché après tout c'est vrai, il n'avait qu'à pas la serrer contre le mur, elle faillit s'étouffer de rire en le voyant en dessous du bagage comme l'enlaçant avec amour. C'était vraiment une image qu'elle aurait voulut graver dans sa mémoire de voir le grand dragueur allongé par terre écroulée sous une valise, regrettant de ne pas avoir d’appareil photo ou de portable pour immortaliser ce moment. L'arroseur arrosé, elle aimait vraiment retourner les situations, forçant les autres à devoir reconsidérer leur position.

Au moins elle pu respirer de nouveau plus calmement avec les distances retrouvées, lui lançant un sourire ironique à ses menaces qu'il fait en restant assis par terre à serrer sa valise contre lui. Il n'avait qu'à pas l'avoir serrer de si près , elle utilisait toujours ce que les autres disaient pour les retourner contre eux et serra sa poignets en joignant les deux mains dessus. Il pouvait hurler tout ce qu'il voulait la première faute était la sienne et il n'avait qu'à pas la défier ainsi, elle n'avait aucuns remords à avoir fait et faillit renverser son précieux bagages. Son passé à lui tenait donc dans une valise aussi grosse, le sien devait donc être moindre vu qu'il tenait dans une boite plus petite qu'elle avait aussi à la main. Son violon, c'était son passé et son présent même peut être son avenir mais rien n'était joué, elle soupira avant de le regarder se calmer en fumant une cigarette en lui tournant le dos. Elle ne voulait pas s'excuser, elle avait juste utilisée un moyen de self défense et s'était protégée, certes en manquant de lui faire du tord mais la valise n'avait rien donc il était inutile qu'il lui fasse une colère pareille.

Et oublier, peut être lui aussi avait il besoin d'oublier quelque chose, elle était persuadée qu'elle avait besoin d'air aussi et savoura le courant d'air frais dans le couloir. Elle s'éloigna du sac qu'elle laissa par terre, décidée à ne plus lui servir de porteur ou de guide après son geste elle commença à faire quelques pas en s'avançant, ne le quittant pas du regard au cas où il lui prendrait une envie comme la précédente. Elle s'arrêta quand il commença à parler, le toisant toujours sans montrer qu'elle l'avait entendu ou pas, n'ayant rien à répondre qu'elle ne cherchait pas la compagnie des autres. C'était lui qui était venu la chercher et pas l'inverse, c'était lui qui avait besoin d'aide et pas elle, pourtant elle se sentait un peu fautive de lui avoir presque cassé ses trésors. Elle était pourtant bien placée pour savoir combien un petit rien peu vous être important. Elle ne l'avait pas trouvé méchant, juste un peu trop entreprenant et avec un sens des distances réduit...Elle s'en voulut quand il commença à récupérer ses affaires et dis se débrouiller seul maintenant, trouvant qu'elle n'avait pas été gentille sur ce coup là et soupirant avant de grogner quand il posa sa main sur sa tête, une vague de colère la prenant de nouveau. Elle le laissa s'éloigner s'apprêtant elle à faire demi tour avant de s'arrêter en entendant de nouveau sa voix et fit demi tour pour le rejoindre en prenant à droite et lui montrant le chemin.

-" C'est par là, tu n'as qu'à continuer tout droit et après il faut tourner à droite puis à gauche et......."

Elle poussa un autre soupir avant de le regarder franchement ses yeux dorés posés dans les siens sans défis ni autre chose que de la lassitude. Elle soupira avant de prendre le chemin et de lui montrer sachant que ses explications ne seraient pas claires, et après tout elle avait commencée à lui montrer le chemin autant finir cette tâche et lui montrer celui que tout les autres utilisaient.

-" C'est moi qui m'excuse, je n'ai pas l'habitude des conversations....Je viens d'avoir seize ans, et à part le milieu de la musique je n'ai presque rien connu. C'est en partit la raison de ma présence ici...Voila tu sais tout, ou du moins le principal, si ton passé tiens dans cette valise, le mien tiens dans mon étui..."

Elle se tut après avoir parlée au moins elle lui avait répondu et après tout après son entrainement dans cette pièce étouffante elle aurait peut être besoin de se détendre, si elle avait le temps avant d'aller en cours elle se prendrait bien une douche. Enfin il fallait arriver au dortoir avant, en général elle aimait flâner dans les couloirs vide, trouvant parfois des endroits que personne ne visitaient car trop éloignés du coeur de la résidence. Elle aimait ce silence où seul les pas résonnaient en échos répétés sur les murs, c'était reposant même si elle n'était pas seule cette fois -ci.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeDim 8 Jan - 20:21

J’ai quitté ma partenaire pour finir le chemin tout seul mais en réalité j’étais encore plus paumé qu’au début. J’ai rien capté à tous ses gauche-droite qu’on a faits jusqu’à présent. J’étais donc a l’intersection à regarder bêtement le couloir. J’ai bien été obligé de redemander mon chemin a Hino… j’espère juste qu’elle m’enverra pas chier. Je la regarde venir vers moi en prenant à droite. Elle commence alors des explications des plus farfelus. Je la regarde avec de grands yeux ronds de hibou, signe qu’elle m’embrouillait complètement avec ses explications. Je l’écoute soupirer…ha désolé d’être un boulet qui ne trouve pas son chemin…Je la regarde me tourner le dos et avancer, je la suis en silence je ne voulais pas la contrarier à nouveau, je n’avais pas vraiment envie de rester planté, paumé au milieu de ces couloirs. Je l’écoute s’excuser, sympa puis j’apprends son âge. *** elle est jeune effectivement. 16 ans et elle dit ne rien connaître a par la musique. Bordel, bouge tes fesses ma petite, découvre la vie, les joies de la jeunesse, le cul et…le cul quoi ! Ha j’aimerais bien lui apprendre tiens…mais je vais m’abstenir de lui dire, oui il vaut mieux.

J’observe son étui a violon, cette petite chose serait donc l’équivalent de ma grosse valise. Nous avons donc en commun le faite de tenir a quelque chose en particulier. Bien que moi, les souvenirs dans ma valise sont là pour que je n’oublie pas ma lâcheté envers mes amis, que je n’oublie pas l’homme horrible que j’ai été pour la société. Enfin…je dois être sadique envers moi-même je suppose.
Nous arrivons enfin devant ma chambre, ouf, c’est un véritable labyrinthe cette pension. Je regarde la porte puis me tourne vers elle.

- Je pose mes affaires, tu peux poser ton violon si tu veux. Je prends une douche et si tu es ok, tu pourrais me montrer tout le bâtiment ?

J’ouvre la porte de ma chambre et entre pour enfin voir l’intérieur. Au vu des affaires à l’intérieur, j’avais déjà un coloc, bien qu’il ou elle ne soit pas là pour le moment. Je pose ma valise si importante sous le lit, de façon à ce que rien ne puisse lui arriver. Je regarde ou se trouve la salle de bain, puis m’y dirige tranquillement. Je ferme la porte derrière moi et je me prends une douche rapide histoire de sentir un peu plus le propre que l’animal. Je sors de la douche quand je me rends compte que j’ai oublié de prendre une serviette. Je suis un boulet… Je ne suis pas blond pour rien hein. Je regarde autour de moi et je vois une serviette…miniature, super. Je la met autour de la taille, je ressemble a tarzan avec ce truc ridiculement petit. Bref je n’ai pas trop le choix, j’espère ne pas effrayer la pauvre Hino. Je sors de la salle de bain avec donc pour seul « habille » cette mini serviette cachant mon intimité.

- Désolé j’ai oublié ma serviette et mes fringues de rechange.

Je prends ma valise la pause sur mon lit et l’ouvre pour prendre les fringues de rechange. Bon il faut avouer que je suis assez sans gêne, qu’on voit mes calçons, slip enfin tous ces truc qu’on a tendance à cacher d’ordinaire, moi je m’en tape. Je prends donc mes affaires et retourne dans la salle de bain pour me changer. Une fois changer, je sors de la salle de bain et je rejoins la jeune femme.

- Voilà, je suis prêt à te suivre.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeMar 10 Jan - 10:05

♪ Y'en a qui connaisse pas la pudeur.....r ♪

Avancer dans le couloir vide, ne pas penser à ce qu'il a dit, ne pas penser à ce qui vient de se passer, ne pas revenir sur le passé, jamais, c'est une des première règles pour pouvoir ne pas perdre la tête. Elle releva la tête et après un dernier virage le voici enfin, le couloir du dortoir, elle se rappel son numéro ce doit être dans les premières chambres. Elle poussa un soupir discret qui passa inaperçu et s'arrêta en même temps que lui pour le laisser prendre possession de sa chambre reculant pour rejoindre la sienne s'arrêtant pour l'écouter parler. il lui propose de poser son violon dans sa chambre ou bien d'aller le poser dans la sienne, elle n'eut pas le temps de lui demander qu'il a déjà disparu dans la salle de bain. Difficile dilemme, que devait elle faire, si elle rejoignait sa chambre ,tout au bout du couloir elle savait qu'elle perdrait facilement vingt minute à vérifier où cacher son violon et il la chercherait peut être partout, surtout que si elle y allait elle aurait certainement cédé à l'envie de prendre une douche elle aussi. Elle finit par poser son violon sur le lit pour détendre un peu sa main qui était crispée sur la poignée depuis tout à l'heure, puis fit quelques pas en attendant et écoutant le bruit de l'eau.

*Attendez une seconde......Il.....Il est sous sa douche ???!!!!!! Et......Il......Il n'a pas honte de le dire comme ça ????!!!!! Kahoko commença à devenir aussi rouge qu'une pivoine en se rendant compte de ce qu'elle avait fait. A trop penser et à ne pas choisir quoi faire la voila dans la chambre d'un garçon lequel se trouve nu sous sa douche, bien sur qu'il est nu il va pas se laver habillé. Elle devait arrêter de penser à ça et quitter cette chambre au plus vite, c'est quand même fou qu'elle se trouve dans de pareilles situations. Elle marcha décidée vers la porte de la chambre avant de se retourner vers le lit, elle en oubliait son violon dans son envie de fuir la pièce. Elle se figea la poignée sur la porte et fit demi tour au moment où la porte de la salle de bain s'ouvrait. Si vous n'avez jamais vu de coquelicot qui a les plus belles teintes pourpres, vous ne pouvez pas comprendre ni imaginer la couleur des joues de Kaho à ce moment précis. Il venait de sortir de la salle de bain encore en partit mouillé, les gouttes d'eau glissant sur son corps et avec pour seul habit un gant de toilette. C'est ce qu'elle cru voir avant de se tourner vers le mur pour ne pas avoir cette vision plus longtemps et tacher de garder un minimum de calme et de self contrôle.

Il parla mais elle ne fit pas attention à ce qu'il disait, trop occupée à calmer les battements de son coeur qui semblait vouloir quitter sa poitrine pour aller battre ailleurs. La vision du corps dénudé hantant son esprit elle se demanda comment elle allait pouvoir faire pour récupérer son violon et fuir, les bruits qu'il faisait ne la renseignant pas du tout sur ce qu'il était en train de chercher. Elle essaya de se calmer en entendant à nouveau la porte de la salle de bain se refermer, ses jambes la lâchant à ce moment précis, elle se retrouva à genoux les bras tendus qui la supportaient à peine en tremblant. Tout son corps exprimant par des tremblements le choc qu'elle vient d'éprouver, rien que le fait de savoir qu'il était en train d'essuyer son corps la faisait encore rougir. Après quelques minutes passées à essayer de se calmer elle se releva et se retourna pour aller chercher son instrument, redevenant couleur carmin en voyant la valise ouverte et les sous vêtements qui se baladaient dedans. Elle se retourna de nouveau pour fixer la porte, comment fuir sans son violon, jamais elle ne pourrait le faire mais regarder encore une fois la valise c'était comme regarder l'intimité du garçon, bien au dessus de ses forces.

Elle prit son reste de courage à deux mains et marcha à reculons vers le lit, le touchant des genoux pour tendre la main sans regarder pour chercher son violon, sa main touchant la valise et son intérieur rosissant en retirant sa main comme si elle s'était brûler, et se décala pour tenter de mettre la main sur son étui, se tournant vers la valise en regardant le plafond pour tenter de mieux viser se retrouvant les deux mains dedans quand il ouvrit la porte de la salle de bain. Elle sursauta comme si elle était en faute et releva ses mains qui s'étaient crispées sur le premier vêtement du dessus de la pile se retrouvant devant lui aussi rouge qu'une tomate à balbutier des explications toutes plus incohérentes les unes que les autres.

-" C'est ......C'est pas ce que tu crois !!!!! .....Je .....je cherchais mon violon.......Pas dans ta valise......mais.......Il est à coté.......Et je......Je.......Je suis désolée........."

Elle balança le boxer dans les airs avant de tourner les talons pour abandonner le garçon son violon et la chambre derrière elle, claquant la porte avant de s’effondrer contre le mur s'agenouillant face à celui-ci en se mettant à taper du poing contre le mur, se traitant d'idiote et de tous les noms possible et imaginables qu'elle pouvait trouver pour qualifier sa conduite. Elle n'était vraiment pas faite pour vivre avec les autres, elle devrait vraiment s'isoler mieux que cela, voire disparaître dans un trou de souris s'il sortait maintenant que pourrait elle bien lui dire. En plus elle avait abandonné son violon, elle avait abandonné une partie de son âme derrière elle, un acte d'une telle cruauté doit être punit. Des larmes coulaient le long de ses joues évacuant le trop pleins d'émotions emmagasinées, sachant qu'elle s'était engagée à lui faire visiter la pension elle devait au moins reprendre un minimum de contrôle et tenir sa parole.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeMar 10 Jan - 17:36

Je ne sais pas comment vous dire ça mais, la devant mes yeux, je vois quelque chose complètement irréelle ou plutôt je croyais ça impossible. Hino, devant mes yeux tiens…mon boxer entre ses mains. Whaaa le choc ! Sur le coup, je suis resté bêtement à la regarder avec de grands yeux étonnés mais mes idées tordues ont vite fait surface. Ha la cachotière !! En faite c’est une vrai cochonne refoulé celle-là ! Elle fait croire qu’elle est timide et fini par fouiller ma valise pour savoir le genre de sous vêtement que je mets ? Ha j’ai envie de lui dire que je peux lui montrer autre chose si elle veut, bien plus intéressant et qu’elle peut jouer autant qu’elle le voudra avec. Tous mes espoirs ce sont pourtant si vite envolé en fumé quand elle se mit à balbutier des trucs comme quoi elle cherchait son violon. Merde quoi, j’y ai cru un instant !! Et vu sa couleur tomate bien mur elle ne mentait pas.

Je regarde mon boxer voler dans les airs comme s’il lui avait pris des envies de liberté, puis je la regarde filer à toute vitesse dans le couloir, la porte claquant derrière elle. Rhaaa la pauvre…elle doit ce maudire-là. Elle doit être bien gênée pour en oublier son violon sur mon lit. Que vais-je bien pouvoir faire ? Je pourrais faire mon connard et garder son violon pour la forcer à faire plein de choses, un larbin c’est vraiment géniale. Ou alors, je vais la voir pour lui rendre son bien. Cruel dilemme.

Je soupir, m’assied sur mon lit en refermant ma valise. Je regarde l’étui de son violon. Je me demande toujours comment on peut jouer à ce truc. Ça a l’air supe compliqué, je préfère nettement al guitare électrique, bien plus masculin et ça crie bien dans l’oreille. Bref, je me lève pour approcher la porte de sortit, j’entends des coups dans le mur…Ben dis donc, elle est en colère ? J’y vais ou je n’y vais pas ?

Je me décide enfin à sortir, ne faisant aucun bruit en ouvrant la porte, je m’accroupie à côté d’elle, la laissant dans son délire. Je la regarde, elle ne m’a pas capté je crois. Je la regarde, ses larme coulant sur ses joue, je suis tout prêt pourtant elle ne me sent pas. Elle est mal au point de pleurer ? Ma pauvre fille….

Je décide de lui montrer ma présence, mais je veux m’amuser un peu. Je souffle sur son cou afin qu’elle tourne son jolie minois vers moi. Nos visages sont maintenant à moins de 10cm l’un de l’autre.

- Ta oublié ton violon dans ma chambre. Je te le rendrais après notre petite visite, ok ? Enfin peut-être…j’y ai pas encore réellement réfléchit en faite. Ça dépendra de mon humeur.

Je me relève, histoire d’éviter un coup de quelque chose, c’est le genre de filles qui ont des réactions vives et violente quand elles sont dans des situations embarrassantes. Je m’éloigne un peu. Comment va-t-elle réagir à mes dires ? Je ne tiens pas à lui rendre son violon, je tiens les clés de ma chambre dans la poche avant de mon pantalon, si elle le veut va falloir qu’elle les cherche elle-même. Je suis sadique, j’avoue et j’assume. Je sens que je vais vraiment bien rigoler.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeJeu 12 Jan - 0:29

♪ Une erreur.....Pas deux ! ♪

Elle n'entendit pas la porte qui venait de s'ouvrir, trop concentrée à se frapper elle même et à s'injurier elle ne prêtait pas attention aux autres, se disant combien elle avait été bête, il lui aurait suffit de refermer la valise, et de saisir son violon. Qu'est ce qu'elle pouvait être stupide quand même, même avoir une attitude normale en apparence c'était impossible pour elle à croire que son insertion dans une foule ne se ferait pas sans mal, elle soupira doucement en arrêtant de frapper le mur, un souffle dans sa nuque la gêna un peu. Elle tourna la tête et se retrouva a à peine un souffle du jeune homme qui exposait ses affaires et qui était encore plus près que précédemment, et cette fois pas de valise à frapper pour détourner l'attention...

Elle se mit à retenir son souffle pour ne pas le mélanger au sien en plissant les yeux en attendant qu'il se recule, parce qu'il ne pouvait que reculer de toute façon le moindre mouvement pour se rapprocher ce serait un coup de boule suivit d'un coup de poing bien placé. Elle cligna des yeux quand il parla de son instrument, elle savait très bien qu'elle l'avait oublié dans sa chambre mais qu'il l'oblige à l'accompagner alors qu'elle avait engagé sa parole elle n'aimait pas ça. Il voulait exercé un moyens de pression il serait déçu, elle savait reprendre ses affaires par la force s'il le fallait mais ne comptait pas l'utiliser de suite, il ne semblait pas encore décidé sur ce qu'il allait faire. Et bien qu'il essaye de la séparer de son violon et il verrait de quel bois elle se chauffait, parce qu'il semblait croire qu'il lui faisait peur, c'était en partie vrai mais pas pour les raisons qu'il s'imaginait. Il était de toute façon hors de question qu'il garde son violon, elle en avait besoin en cours et se présenter au cours de musique sans son instrument n'était pas toléré, donc à moins qu'il ne veuille la faire renvoyer il ...... La faire renvoyer ??? Est ce que c’était son but ? La concurrence est rude dans le milieu de la musique et son arrivée dans cette école n'avait pas été appréciée, les violonistes, sont jaloux de leur arts et n'aiment pas en général partager la vedette même si ce n'était pas son cas à elle elle savait que certains allaient très loin pour défaire la concurrence.

Elle se releva lentement en prenant ses distances, son regard doré devenant glacé, si tel était son but il serait déçu, car même si elle n'était pas à supprimer ceux qui la gênait avec des pratiques illégales elle savait se défendre. Elle avait peut être une allure de douce jeune fille elle n'ignorait pas comment repousser les autres et surtout les remettre à leur place. Et après tout elle s'était engagée à lui faire visiter la pension, ce serait la première et dernière fois qu'elle aidait quelqu'un. Voila ce qui arrivait à enfreindre un principe, des ennuis et en cascades, c'en était même désespérant elle devait absolument se défaire de ce genre de réactions. Aider les autres n'apportait rien, ne lui avait jamais rien apporter d'autre que des embêtements, elle détourna son regard doré pour qu'il ne voit pas la colère qui brûlait dans ses prunelles. Elle redressa les épaules comme un boxeur se redresse avant un match, prête à engager la guerre avec le jeune homme si c'était ce qu'il cherchait, elle chassa de ses yeux toutes émotions et posa son regard glacé et vide de nouveau dans le sien.

-" Je t'avais dit que je te ferais visiter, je tiens ma parole, la cuisine c'est par là."

le ton était sec peu enclin à la discussion, elle se fermait complètement commençant à marcher sans se préoccuper s'il la suivait ou non, serrant son poing lentement, sentant qu'elle s'était blesser mais décidée à ne pas le laisser paraître dans son attitude ou dans ses mots. Il voulait visiter elle allait lui montrer tout ce qu'elle savait et attendrait qu'il lui rende son violon que ce soit gentiment ou par la force. Elle traversait les couloirs en jetant un coup d'oeil aux intersections pour ne pas rentrer dans les gens, avançant rapidement en s'arrêtant devant la porte de la cuisine commune et en ouvrant la porte pour le laisser entrer.

-" Ici tu as tout ce qu'il faut, si tu as besoin de stocker de la nourriture étiquette là et met là dans les frigo, il n'y a pas de vol, du moins je n'en ai pas encore souffert."

Elle le laissa regarder et prendre ses marques s'il le désirait , patientant avec un calme réfrigérant autant que les frigo qu'il ait finit de regarder pour lui montrer la suite de ce qu'elle connaissait de la pension. Elle ferma ses yeux brièvement, restant appuyer contre le mur en attendant qu'il ait finit, s'intéressant plus au mur en face d'elle qu'aux remarques qu'il pourrait faire.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeJeu 12 Jan - 20:37

Je la regarde tout prêt de mon visage, elle recule, ses trait faciaux deviennent dur et sévère. Ouai je crois que je l’ai fâché et pas qu’un peu. Elle se redresse face à moi, droite comme un i. J’ai surtout l’impression qu’elle me défit. Ha ça peut être intéressant, sortons le loup de sa tanière, voyons ce qu’elle a dans le ventre cette petite. Elle me fixe d’un regard froid, elle est vraiment différente. C’est tellement frappant que ça en deviens flippant….

-" Je t'avais dit que je te ferais visiter, je tiens ma parole, la cuisine c'est par là."

L’aurais-je vexé ? Il semblerait qu’elle est mal prit le faite que je la force à me montrer la pension alors qu’elle avait déjà dit oui. Trop facile de la provoquer, elle tombe la tête première dans mes sarcasmes. C’est carrément bandant. Je vais pouvoir la manipuler à ma guise pour passer un peu le temps aujourd’hui.

Je la suis lentement, fixant sa nuque, son déhanché, sa façon de se déplacer était maintenant totalement différent d’avant. Son corps entier me dit qu’elle est en stresse, vénère la nana quoi. C’est trop kiffant, je ne pensais pas qu’elle réagirait aussi fortement à mes petits piques. A la base ce n’est que des blagues, enfin peut-être, mais je vais continuer si elle régit comme ça. Je continue de la suivre en regardant un peu autour de moi, enregistrant dans ma tête le chemin pour la prochaine fois. Elle s’arrête soudainement devant une porte, qu’elle ouvre en m’intiment d’entrer.

" Ici tu as tout ce qu'il faut, si tu as besoin de stocker de la nourriture étiquette là et met là dans les frigos, il n'y a pas de vol, du moins je n'en ai pas encore souffert."

J’entre donc dans la pièce pour observer l’endroit. Il y a plusieurs frigos effectivement. Ça pourrait me servir un jour ou l’autre, bien que je ne mangerais probablement que les week end ici. Mon taf me prend toutes mes journées, de 8h à 18h le soir. Je soupir, plongé dans mes pensé un petit moment, en imaginant mes futur journée. Ce taf je ne l’ai pas choisi mais comme je suis un ancien taulard, je suis en liberté surveillé depuis peu, j’ai les flics au cul dès que je vais quelque part. C’est d’ailleurs eux qui m’ont forcé a ce travail, donc pas le choix. Pour le moment je n’ai qu’ici ou je ne les ai pas encore vu….croisons les doigts pour que ça dure.

Je me tourne vers Hino, me met contre le mur en face d’elle, la fixe. Je suis ainsi dans son champs de vision.

- Dis-moi, t’aurais-je vexé ?

Question bête mais je voulais trop voir comment cette petite miss allait réagir. Je m’approche d’elle pour passer mes mains à côté de sa tête, me retrouvant ainsi très proche d’elle.

- Ne me prend pas au sérieux… je suis juste un vilain garçon qui s’ennuie mais qui ai content de pouvoir à nouveau vivre dehors. On continue la visite ?

Je la regarde dans les yeux, nos corps sont relativement proche, si je lorgne vers le bas, en plus j'ai une belle vue. Que demander de plus...a si, puis-je toucher? Je pense que je vais m'abstenir, je vais vraiment être dans la merde si je commence ce genre de chose et je pense qu'elle va réagir au quart de tour. Je me redresse, laissant Hino sans entraves avec mes bras et me dirige vers le couloir. Je me tourne vers elle et la questionne du regard.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeVen 13 Jan - 1:40

♪ Il fallait réfléchir avant ♪

Patience, calme et pondération, elle les possède mais uniquement face à une partition ou avec son violon, sinon si c'est pour des humains ou des relations avec les autres elle avait remarquée qu'elle devenait très vite froide. Là dans le couloir on pouvait presque sentir un vent sibérien qui flottait autour d'elle, son regard glacé et vide se posa sur le jeune homme qui venait de sortir de la cuisine sans fermer la porte bien entendu, son regard étincelant un instant avant de le toiser à nouveau. Vexer, il faudrait pour ça qu'elle accorde quelques crédits à ses propos, son visage s'étirant pour faire un sourire ironique en toisant le jeune homme face à elle, si il croyait qu'elle allait lui répondre, sa question ne valait même pas la peine qu'elle y réponde.

Et voila qu'il se rapproche encore, seulement cette fois elle ne bougea pas et ne rougit pas affrontant son regard de ses pupilles dorées sans faire un seul mouvement. Elle le laissa s'appuyer au mur en la coinçant contre encore une fois seulement cette fois ci elle défiait son regard tout en restant immobile. Elle s'intéressa à ses paroles, réfléchissant rapidement à ce qu'elles signifiaient. Si il était content d'être dehors il y avait plusieurs explications, c'était parce qu'il avait vécu cloitré chez lui par sa famille, cependant le profil ne collait pas, donc c'était parce qu'il avait été enfermé. Que ce soit en maison de redressement ou en prison c'était la même chose, il devait être dangereux et son violon il ne voulait pas lui rendre car il voulait le revendre ! Enfin, de ça elle n'en était pas encore sure, son regard se faisait vague et inexpressif, le regardant sans le voir, négligeant ce qu'il regardait, et son indifférence paya plus que ses sautes d'humeur et du l'ennuyer car il se décala peut après avoir parlé, reculant de lui même alors qu'elle n'avait pas bougée, revenant à l'instant présent quand il se redressa. Il commençait à s'éloigner alors qu'elle se repoussait du mur, allant dans la cuisine et refermant la porte avant de lui emboîter le pas, le rejoignant en commençant à marcher à la même allure que lui sans le regarder gardant les lèvres fermées, déterminée à ne plus dire un mot.

Elle l'entraîna vers le salon, montrant les divers fauteuils et canapés mis à la disposition de tous, et regarda autour d'elle, elle savait où se trouvait les pièces mais n'y entrait jamais, il faut avoir le temps pour ça et elle en général ne faisait que des allés retour de sa chambre à la salle de musique. Elle avait bien fait le tour de la bibliothèque plus loin mais s'absorbait sans doute trop dans son monde pour prendre le temps de connaître et comprendre les autres. Que pourraient ils lui apporter de toute façon, à part des ennuis qui semblaient la poursuivre dès qu'elle faisait un pas vers les autres. Après le salon qu'il a regardé elle le mène à la bibliothèque le précédent cette fois ci en posant sa main sur les ouvrage de cuir reliés, lisant les titre en le laissant faire ce qu'il a envie. Elle s’arrêtât en tombant sur des livres de musique, en prenant un pour l'ouvrir dans ses main, souriant avec chaleur à l'ouvrage qui décrivait comment écrire des mélodie en accord avec son instrument, ses yeux courant sur le texte en oubliant complètement le jeune homme et sa visite à peine commencée. Il pouvait presque d'ailleurs se trouver derrière elle ou bien devant elle ne l'aurait pas vu absorbée dans l'ouvrage comme elle l'était, lisant le texte en murmurant ce qu'elle lisait en même temps. Elle se dirigea machinalement vers un fauteuil et s'assit sur un accoudoir pour lire plus confortablement le livre sans plus se préoccuper de sa tâche qu'elle était en train d'abandonner au profils d'écrits sur des feuilles en papier.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeVen 13 Jan - 21:35

  • Hino est venu me rejoindre, prenant le même pas que moi. Le silence qui s’est installé est plutôt désolant. J’aurais aimé qu’elle réagisse mais bon, on ne peut pas réussir à tous les coups. Elle finit par me dépasser pour me guider vers le salon en me présentant les différents coins de repos. Des fauteuils et encore des fauteuils. Voilà un endroit sympa mais sans plus, elle me guide ensuite vers la bibliothèque. C’est pas vraiment le genre d’endroit où j’aime poser mes pieds mais faut avouer que de temps en temps un bon livre ça fait du bien. Je m’éloigne d’elle pour chercher des informations sur les codes binaires. Je suis déjà assez doué en la matière, voir trop doué en faite, d’où le souci que j’ai eu il y a quelques années. Mais j’aime toujours autant le monde de l’informatique. Il y a de nouveaux codes, de nouveaux moyens de transgresser la toile toutes les semaines et moi je kiffe ça, j’aime trouver les failles dans ses codes pour les détruire et montrer aux concepteurs qu’on peut trouver plus malin. Ha ! Y a rien de plus jouissant que d’utiliser les technologies de communication actuelles pour s’introduire dans des systèmes protégés afin de détruire leur contenue ou d’en posséder les données. Plus c’est dur, plus je me sens d’attaque…Y a peut-être un peu plus intéressant que l’informatique…les femmes…enfin ce n’est pas vraiment comparable. L’informatique c’est facile…pas les nanas.

    A force de marcher dans les allés rempli de bouquin, je tombe sur un livre plutôt ancien, cette bibliothèque possède de bien étrange documents. Celui entre mes mains parle de hacker, capacité de hachage des systèmes informatiques de haute sécurité. Mh J’aime, bien qu’il ne me soit d’aucune utilité, mes capacités sont probablement bien supérieures à ce livre. Je me demande si je pourrais hacker le système de la défense nationale ? Mh non, non, j’ai assez prit ces dernière années, reprend toi Kurosaki Usui, Bordel ! Les embrouilles avec les flics c’est du passé…DU PASSE !...enfin…j’essaie ….

    Je lève les yeux du livre entre mes mains pour les poser sur Hino assise sur un accoudoir de fauteuil. Je m’approche derrière elle lentement, mais vu comme elle est absorbée par son livre, elle ne me voit pas. Je regarde l’intérieur de son bouquin. Bordel c’est quoi ça ? Elle vient de quelle planète pour réussir à lire un truc pareil ? Pour moi c’est juste des petits dessins qu’on ferait en maternel sans significations. Je fais alors le tour du fauteuil, observant les alentour. Il n’y a absolument personne. Enfin si, juste 2 mecs à lunettes style intello dans les allées de la bibliothèque à fouiller dans les étages. Je m’assois lourdement dans le fauteuil ou elle se trouve, jambes écarté comme un bad boy, passant mon bras autour de sa taille pour la tirer d’un coup vers moi. La pauvre, elle chute sur mes genoux, enfin ses fesses entre en contact avec mes cuisses et mon bas du corps. Je peux sentir son odeur, ses cheveux qui me chatouillent le visage. C’est certain elle va criser ! J’attrape ses mains qui maintiennent le livre et l’approche de mon visage. Elle a vraiment de petites mains fine et douce…

    - Ben dis donc…tu lis de drôles de choses. C’est quoi exactement ? Ce n’est pas des codes informatiques en tout cas…Sinon je pourrai déchiffrer.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeSam 14 Jan - 0:45

♪ Oublier les loups, c'est dangereux, se laisser piéger encore plus ♪

Une symphonie, pour les néophyte c'est juste agréable à regarder, pour un musicien c'est une osmose entre une vingtaine d'instrument qui s'offre des questions et réponse ou bien chantent en harmonie. C'est un ballet ou bien encore une chorégraphie où les notes tiennent la place la plus importante. C'est vraiment incroyable tout ce qui doit être pensé pour obtenir que la musique au final soit parfaite et transporte les coeur et l'âme de chaque artiste qui ne deviennent plus qu'un qu'un au sein de ce qui peut être qualifié d'Harmonie. A trop s'intéresser à ce qui l'intéressait elle négligeait son environnement et les autres encore une fois, vite oubliée la visite qu'elle devait faire pour un inconnu. Au moment où elle relevait la tête pour le chercher du regard elle sentit quelqu'un s'affaler dans le fauteuil derrière elle, son premier réflexe fut d'essayer de se lever, oui je dis essayer par qu'une main avait fait le tour de sa taille pour la ceinturer et l'attirer en arrière. Elle tomba dans les bras de la personne serrant le livre contre elle poru ne pas qu'il tombe n'ayant pas crier car dans une bibliothèque le silence est demandé, c'est la seule chose qui la retint de pousser un cri.

Elle tourna son visage furieux face à celui de la personne qui l'avait attirer dans ce piège, pinçant les lèvres pour lui montrer son mécontentement si ses yeux qui le fusillait n'étaient pas suffisant. A croire qu'il voulait la pousser à bout, personne ne s'était jamais comporter comme ça avec elle, et encore moins un garçon, pourquoi prenait il un malin plaisir à la mettre dans l'embarras, c'en était presque fatiguant voir énervant. Enfin pour une fois c'est après le livre qu'il en a, lui tenant les poignets pour regarder le texte avec la partition symphonique, elle cligna des yeux en voyant ses mains, se rappelant qu'il venait de sortir de quelque part, se sentant encore plus mal à l'aise que les première fois. Et si c'était pour maltraitance et pour abus de personne qu'il avait été enfermé, enfin ça ce serait un manque de chance tellement grand qu'elle ne voulait même pas l'imaginer, surtout qu'elle n'avait pas, contrairement à ses camarades de classe, fait un seul pas vers les garçons en général de toute sa vie. D'après son père cela aurait entraîné une baisse de concentration dans ses entraînements et des dépenses pour sortir et s'habiller inconsidérées. Donc elle n'avait même pas échangé un baiser avec quelqu'un c'était perturbant de le voir si tactile alors que d'habitude son visage soit timide soit indifférent décourageait les autres.

Elle cligna des yeux pour essayer de s'intéresser à ce qu'il disait, ou plutôt lui demandait, regardant le livre ouvert encore sur elle, elle se mit à rougir comme une tomate de la position dans laquelle elle se trouvait. Allongée à moitié sur les genoux et les jambes du jeune homme qui avait une attitude de bad boy en la tenant toujours par les poignets. Mon dieu ses mains, elle devait faire deux fois la taille des siennes ou peut être pas autant mais les siennes semblaient avoir été éprouvées par la vie. Elle se figea encore en se rappelant qu'il avait peut être été envoyé pour l'empêcher de jouer et donc lui briser ses poignets, rien qu'à l'idée elle se mit à pâlir, car des fractures pareilles sont difficile à guérir et on récupère rarement toute sa dextérité passée. Elle porta son regard sur la partition et les explications liées aux différents accords avant de reporter son attention sur son tortionnaire du jour, déglutissant avec difficulté pour essayer de récupérer ses poignets, tirant doucement dessus en essayant de ne pas craquer dans un lieu de savoir et de silence. Il devait lui bien s'amuser de la voir ainsi se débattre en silence, elle finit par ne plus bouger, si ses yeux avaient été des armes, il serait mort fusiller depuis longtemps, elle soupira avant de lui répondre sur un ton ou la colère se mêlait à la frustration de ne pas le voir tomber raide mort.

- " C'est une symphonie, ils expliquent comment faire en sorte que chaque instrument trouve sa place celon l'effet que l'on recherche. C'est en effet pas un code informatique, mais quelque chose de plus dur à comprendre, c'est comme une fusion des instrument entre eux, ils montrent des exemples où cette osmose à été atteinte par exemple attend ...."

Elle était inconsciente toujours quand elle parlait de sa passion, ne prêtant plus attention à la position qu'ils avaient mais plus à son ouvrage dans lequel elle cherchait le passage qu'elle voulait lui montrer et qui expliquerait ce qu'elle voulait dire. Elle se redressa en cherchant toujours et descendit ses jambes de l'accoudoir sur lequel elles étaient toujours, s'installant sur ses genoux confortablement comme on s'installerait sur un coussin, tout en continuant de chercher le mouvement du premier opus. Une fois le passage trouvée elle s'appuya sur lui pour lui montrer sur la page comment les notes malgré leurs différences permettait cette communion entre différents instruments tout en gardant l'intégrité d'une même partition.

- " En fait c'est très simple, il faut juste trouver le point de communion entre les instruments et garder la même clé entre les instruments semblables entre eux. Une partition presque commune pour les instruments à vent d'un côté qu'on mari entre eux d'abord, chaque famille ayant une même partition ou presque, puis on mari les famille entre elles..."

Elle se retourna à moitié pour voir s'il avait suivit ou pas ses explications ou bien si comme les autres cela le soûlait de voir que seul des petites marques noires sur un morceau de papier avaient son intérêt.

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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeDim 15 Jan - 16:37

  • Je la sens ce tendre sous mes mains, son corps devenu maintenant dur et rigide, elle semble pas du tout apprécier la situation. Elle tente même de ce détacher de mes mains mais c’est peine perdu, quand je tiens, on ne me fait pas lâcher facilement. Je le regarde, ses yeux me fusillant du regard. Je peux vous dire que à cet instant, je remerciais dieux qu’elle n’ait pas de pistolet à la place de ses pupilles, j’aurais rejoint mes ancêtre en quelques seconde dans une marre de sang…

    J’avoue que sur le coup, j’étais véritablement intéressé par ce qu’il y avait de marqué dans ce livre, mais qu’est-ce que j’avais en tête ? Je suis définitivement débile et trop spontané. Si j’avais su je ne l’aurais pas demandé. La voilà partit dans des explications que je n’arrive pas à suivre. Des mots, des moyens de mettre en place des instruments ? Plus dur que l’informatique ? Mh pas si sûr, je vais peut-être lui montrer ce que c’est la vrai informatique, enfin, ce n’est pas ce dont je m’inquiète pour le moment mais belle et bien de la folie passagère qui possède maintenant Hino. Je le regarde avec des gros yeux de hiboux, ne sachant pas comment arrêter cette machine infernale qui déblatèrent des mots complètement incohérents pour moi. Bon il est où le bouton off ? Il doit y avoir une erreur de fabrication, je vais aller me plaindre chez le concepteur…Enfin, voilà, en simplifié ça donne quoi demoiselle ? Tu parles a un inculte du monde musicale là !

    Toutefois, je la sentis prendre ses aises. Ben voyons, te gêne pas, mais viens pas te peindre après si je fais pareil hein … Elle semble complètement sortit de la réalité, parlant avec passion de son arts et de son savoir. C’est un peu comme moi quand je parle de code informatique, de forcing des systèmes de défense de la toile. Quand on aime, on a tendance à partir dans un mode que les autres ne peuvent comprendre ni même suivre, donc je peu plus ou moins savoir où elle part toute seule sans pouvoir la tracer.

    Elle me regarde enfin, surement qu’elle veut voir si je la suis dans ses explications. Son regard n’ai plus mauvais, ni agressif, j’étais content et en même temps déçu. Je fais la moue en la fixant, gardant toujours mes mains bien accroché aux siennes. Je ferme soudainement le livre, lâche ma prise puis la tiens enlacé par la taille pour mettre mon visage à côté de son oreille, mes mains sur son ventre.

    - Tu devrais parler plus simplement avec les gens autour de toi. Là, ce que tu m’explique ce n’est pas très cohérant dans ma tête. Ne te laisse pas submergé par tes sentiments pour finir par parler dans le vent….Et puis tu dis que l’informatique serait plus simple que la musique ? Je pense surtout que c’est deux mondes différents qui ne sont pas comparable. Devrais-je te montrer ce qu’est la vraie informatique ?

    Je peux sentir son corps contre le miens, un corps sveltes et délicat, son parfum embaume mes narines et me transporte dans mes rêves interdit les plus fou. Pfiou, vais-je résister ? Il le faut, Kurosaki calme toi ! Tu ne vas pas laisser tes pulsions masculine prendre le dessus hein ? Mais à mon avis, de toute façon, je vais vite me faire remballer, j’ai peut être pris trop mes aises, moi….J’ai vraiment une terrible envie de déposer un baiser dans ce délicat cou féminin et doux.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeMar 17 Jan - 17:46

♪ Une action pour en cacher une autre ♪

Encore un qu’elle a dû soûler ou énerver, à voir sa tête faire la moue elle avait encore soit du parler trop vite, soit parler avec des mots que l’on apprend en classe de musique et qui ne sont pas courant dans le langage des néophytes en matière de musique. Elle était vraiment irrécupérable, son regard se teintant un peu de déception encore une fois elle n’en avait fait qu’à sa tête et il lui en voulait, en revenant un peu dans le monde qui l’entourait elle reprenait conscience de la proximité du jeune homme contre elle et de ses poignets retenus. Un claquement sec retentit, le bruit sembla se répercuter à l’infini dans la pièce en la faisant se tendre contre lui, baissant le regard sur ses mains qui avaient fermés le livre sous la pression qu’il avait exercé sur les siennes, se sentant maintenant de nouveau de plus en plus mal à l’aise. Elle aurait presque soupiré de soulagement de sentir la pression se relâcher sur ses poignets s’il n’avait pas posé ses mains sur son ventre, faisant rougir la jeune fille qui se raidit de nouveau comme un piquet, cherchant comment se sortir du pétrin dans laquelle elle s’était mise encore une fois. Elle n’apprenait donc jamais, dès qu’on lui parlait de musique elle oubliait tout, c’était presque comme une malédiction, elle perdait tout sens des réalités et se mettait dans les pires situations possibles.

Elle sentait le souffle du jeune homme sur son oreille, son cerveau tentant avec frénésie de trouver une échappatoire, elle n’aimait pas ce genre de proximité, ne l’avait jamais aimé car tout simplement la personne censée lui apprendre à se faire câliner ne l’avait jamais fait, aussi elle refusait en bloc toutes les tentatives de rapprochements des autres, ne voulant pas être blessée en s’attachant, elle érigeait des barrières entre elle et tous ceux qui l’approchait de près ou de loin. Elle fronça les sourcils en essayant de se focaliser sur ses paroles, essayant de détacher les mains de son ventre en même temps, trouvant dans ses mots une solution partielle à son problème, elle essaya de se souvenir de ce que faisaient les filles de sa classe pour obtenir quelque chose des autres. Elle réprima un mouvement de recul avant de fermer brièvement les yeux et de crisper ses mains sur les siennes, s’obligeant à les détendre avant de se tourner partiellement vers lui. Son visage près du sien elle le regarda, elle n’aimait pas ce qu’elle allait faire mais n’avait pas le choix, elle sourit donc joyeusement en battant des cils, regardant avec adoration le jeune homme.

- "Je parle peu souvent aux autres tu sais, je ne suis pas très bavarde, et c’est vrai qu’en informatique je n’y connais pas grand-chose mais dis-moi…C’est quoi la « vrai » informatique ? Tu veux bien me montrer ? "

Elle sourit doucement au jeune homme alors qu’en vrai elle avait envie de mourir sur place, mais elle ne se rappelait que de ça quand ses camarades voulaient obtenir quelque chose. Ce qu’elle se sentait mal de faire ce genre de chose, n’étant pas du tout à l’aise dans ce rôle elle força pourtant son corps à se détendre, lâchant les mains sur son ventre pour se laisser aller un peu, tout son corps tremblant de colère elle essayait pourtant de n’en rien montrer, ou alors de faire passer ça pour quelque chose d’autre. Elle se sentait mal à tromper ainsi le jeune homme et doutait d’être convaincante se reportant quelque peu de son poids sur lui, elle sourit et détourna le visage pour regarder la bibliothèque priant pour qu'il accède à sa demande sans se faire prier, lancer quelqu'un sur sa passion peu peut être lui faire oublier les gestes qu'il avait, elle ferma les yeux attendant en silence sa réponse...
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeMar 17 Jan - 20:06

Et ben, quel tension, elle semble vraiment frigide cette nana. Quel âge qu’elle disait ? 16 ans c’est ça ? Moi a cette âge je connaissais déjà le plaisir charnel, le contact, les…heu …pfiou le bon vieux temps quoi…après c’était la taule, j’ai rien foutu pendant cette période….Ha ! Suis-je frustré en faite ? C’est peut-être ça qui me fait avoir toutes ses pensées déplacé..ouai ça doit être ça…Enfin…. je sens ses mains tenter d’enlever les mienne de son ventre. Je suis sûr qu’intérieurement elle doit vraiment être à bout. Je devrais peut-être m’arrêter là ? Si je continue, elle va vraiment me haïr.

Je reporte mon attention sur elle et, ho mon dieux elle me fait quoi là ? Elle doit vraiment être au pied du mur pour me sortir le « papillonnage de paupière » des nanas débiles et gamines. Faut vraiment être un ado pour croire ce genre de chose…Elle me prend pour qui ? J’ai 22 ans, suis plus un môme, je connais toutes les astuces féminines les plus extravagant qui existe. Je l’observe stoïquement en train de jouer son rôle à la perfection, me parlant de son envie de connaitre les joies de l’informatique. Mais bien sur ma chérie, je te crois dur comme fer. Ce n’est pas à moi que tu vas apprendre le rudiment du bon petit menteur. Toutefois je vais pouvoir jouer là-dessus. Voyons jusqu’à ou elle va s’enfoncer…

Je lève une de mes mains, lâchant son ventre pour lui balancer une pichenette sur le front. Celui qui claque bien et qui frite quand tu te le prends entre les yeux. Je la regarde un peu perplexe.

- Tu me fais quoi là ? Tu devrais te réorienter vers le cinéma, t’es bonne comédienne. Sauf que je n’ai pas 16 ans hein ? Alors ton truc de « pouf pouf girl » tu peux le rengainer…

Je l’attrape entièrement par la taille, la soulève pour la mettre sur ses pieds. Je la suis dans le mouvement, me levant à côté d’elle, la toisant de toute ma hauteur.

- Si ta stupide interprétation de tentative de séduction avait marché, tu sais dans quelle situation tu serais ici même ? T’es trop naïve….La vie c’est pas tout rose…On n’est pas dans une de tes partition qu’il suffit de réinterpréter après une erreur…Le retour arrière n’existe pas.

Je marche dans l’allé de la bibliothèque pour rejoindre le coin « bureautique ». J’y range mon bouquin soigneusement, oui je ne suis pas si rustre, je sais faire attention à ce que je touche…puis je reviens vers Hino. Je la regarde en soupirant.

- Bon, je ne sais pas si t’était sincère sur ta motivation d’apprendre sur l’informatique mais, de toute façon faut retourner vers ma chambre si tu veux récupérer ton violon.

La me viens une super idée…ouai je ne peux pas m’en empêcher c’est plus fort que moi. Je regarde autour de moi, il n’y a plus personne, je peux bien la taquiner encore un peu. Elle et moi, seul, cool !

- Ho par contre, si tu veux récupérer ton instrument, voilà un petit gage. Tu dois trouver la clé de ma chambre qui se trouve dans l’une de mes poches.

Je souris en écartant les bras, l’invitant au jeu. J’ai six poches, deux dans la veste, et quatre sur le pantalon. La clé ce trouvant dans ma poche avant droite de mon jeans. Osera-t-elle y mettre les mains ? C’est jamais évident de fouiller à cette endroit, on peut y rencontrer une chose gênante…surtout quand on est encore au stade de l’apprentissage de ces choses-là…

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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeMer 18 Jan - 11:30

♪ Piégée et au pieds du mur....♪

Ridicule, à ne pas être soi-même c’est ce qu’elle devait être, surtout qu’elle sentait que ce n’était pas vraiment la bonne solution mais quoi faire d’autre, elle n’en avait aucune idée. Enfin si elle avait une idée très précise sur ce qu’elle ferait si jamais on lui redemandait son aide, quitte à passer pour frigide ou mal aimable le prochain ou la prochaine elle l’enverrait paître loin. Elle ne pourrait pas supporter de refaire ce qu’elle avait subis aujourd’hui, surtout qu’il semblait prendre ça comme un jeu. C’était loin d’être un jeu pour Kahoko, ses nerfs à fleur de peau elle était sur le point de hurler ou de le frapper, hésitant encore sur ce qu’elle ferait qui serait suffisamment déstressant pour elle. Mais ça marchait peut être, il venait de retirer une de ses mains de son ventre, elle avait réussi, elle n’y croyait pas. Et elle eut raison car il lui claqua entre les yeux avant de parler, elle porta une de ses mains à son front pour le frotter et soulager la douleur qui se propageait dans sa tête, massant doucement sa peau en se retenant de pleurer les nerfs sur le point de craquer.
Elle ne releva pas ses paroles insultantes, surtout qu’il avait raison ce n’était pas des attitudes très intelligente mais elle ne pensait pas être une si bonne comédienne qu’il le disait, vu qu’il avait vu clair dans sa petite comédie immédiatement. Elle se retint de crier quand il la souleva, posant par réflexe ses mains sur les siennes pour soupirer de soulagement quand il al reposa, voulant de suite faire un pas pour s’éloigner, se sentant vraiment petite encore une fois quand il la regarda de haut, gardant pour quelques instants encore son calme face à lui. Elle tiqua sous ses paroles, elle n’avait pas voulue le séduire, c’était même l’inverse qu’elle avait voulue, l’éloigner pour pouvoir s’enfuir. Elle ne savait que trop bien que la vie n’est pas rose, ni comme une partition, que ce qu’elle pouvait recommencer si elle n’était pas satisfaite de sa prestation ne pouvait pas se reproduire dans la vraie vie. Des larmes de rage et de colère menaçaient à tout moment de s’échapper de ses yeux, elle le regarda s’éloigner en se mordant les lèvres, reprenant son contrôle maintenant qu’il était plus loin, soupirant avant de se rendre compte qu’elle avait toujours la description symphonique dans les mains et reposa le livre à sa place, restant le bras tendu un instant avant de poser sa tête sur l’étagère. Elle devait se reprendre au moins jusqu’à avoir récupéré son violon, elle ne voulait pas le laisser à cet individu qui se croyait tout permis.
Elle redressa la tête, priant pour trouver une idée lumineuse pour retrouver son instrument, ne trouvant rien et retourna l’attendre, bien obligée de le suivre pour le moment. Elle le regarda revenir et l’écouta se demandant justement si c’était vrai ou pas elle-même, elle était douée avec son violon mais les autres matières sa savait très peu à l’aise dedans. Peut-être parce qu’elle considérait que le violon à une âme et pas un livre ou un ordinateur, peut-être tout simplement car elle savait que sa voie était tracée et qu’elle n’aurait pas besoin du reste. Il avait soupiré donc de toute façon cela devait le déranger de lui expliquer voir de perdre son temps avec quelqu’un qui ne savait même pas utiliser une feuille excel sans demander d’aide.
Elle écarquilla quand il lui donna un gage, rougissant de colère, et puis quoi encore, elle n’avait rien fait de mal ni de déplacé, enfin si mais même, de quel droit lui donnait il l’ordre de retrouver sur lui sa clé. Il ne l’avait pas perdu dans une de ses poches, ses yeux rubis lançant des éclairs de nouveau, le regardant avec l’envie de l’étrangler ou bien de l’assassiner, sur le coup elle ne savait pas vraiment ce qui serait le plus douloureux pour lui.

Il souriait en plus très satisfait de son petit jeu, elle allait vite lui apprendre à vivre ou pas, elle ne savait pas quoi faire, hésitant avant de croiser son regard qui la défiait et releva les épaules. C’était pour son violon, elle ne devait pas renoncer pour si peu et surtout fuir encore une fois, elle l’avait abandonné c’était donc sa punition pour ne pas avoir su le protéger. Elle observa ses vêtements pour déjà déterminer les endroits dans lesquels elle devait chercher, se retenant de partir en détalant, trouvant deux poches sur son haut et n’en voyant que deux de face sur son pantalon. Il devait en avoir deux également dans le dos du jean. Elle devait imaginer ce qu’elle aurait fait elle pour se mettre à la place du garçon et toucher le moins possible son corps. Elle mordilla sa lèvre avec gêne, elle aurait mis la clé elle dans sa poche de pantalon, rangeant la sienne dans son étuis elle était coincée de toute façon.
Mais quoi faire, si elle s’approchait de lui ainsi et qu’on la voyait fouiller quelqu’un que pourrait-elle dire. Tant de personnes peuvent se faire de fausses idées et surtout se rapprocher encore une fois cela lui donnait encore une fois la possibilité de la retenir. Pour son violon, elle devait au moins essayer pour sauver son violon. Elle s’approcha de lui son visage exprimant bien son envie de faire l’inverse, bien trop gênée pour essayer le pantalon elle posa une main hésitante sur l’emplacement de la poche de gauche, appuyant juste la main pour sentir si l’objet métallique était dedans, répétant la même chose de l’autre côté.
Elle maudit le jeune homme, au moins en pensée une centaine de fois à cause de l’endroit dans lequel il avait dû déposer sa clef. Prenant ce qui restait de son courage à deux mains elle baissa la tête déjà qu’il ne voit pas ses joues colorées de pivoine et répéta l’opération dans le même ordre mais sur les poches du pantalon, rougissant de plus en plus palpant ‘emplacement de sa main hésitante et finit par déterminer l’endroit où se trouvait l’objet. Elle avait presque épuisée toutes ses réserves en une seule fois, déglutissant difficilement avant de laisser tomber sa main le long de son corps en murmurant très bas.

- "Elle est là……Je dois la prendre c’est ça ? "

Elle se sentait mal, si mal qu’elle avait presque envie de pleurer et de se lamenter sur son sort, il la faisait se sentir si bête et manipulable, c’en était presque désolant de voir qu’elle était en fait vraiment incapable de se débrouiller seule, et surtout de ne pas se laisser manipuler. Elle sentit ses épaules s’affaisser un peu et avant d’avoir perdu tout courage glissa sa main dans la poche en tirant sur le tissu pour ne pas avoir à y plonger la main entière, détroussant la poche peu à peu pour en sortir l’objet sans avoir à sentir sa peau plus que nécessaire sous ses doigts.
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Kurosaki Usui
Kurosaki Usui• Baka, serait peut-être temps
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeJeu 19 Jan - 12:39

  • Tiens ? Mon délire semble complètement marcher. La voilà qu’elle hésite. Ha tu dois être toute chose d’imaginer un contact de tes mains contre moi hein ? Je suis sûr qu’elle n’a jamais eu de contact physique quel qu’il soit avec un mec, elle est bien trop sur la défensive. Elle semble s’inquiété de ce qui se passe autour, a-t-elle peur que les gens ce fasses des idées ? Dans l’histoire c’est moi qui serais le plus enmerdé à fricoter avec une mineure. Je garde mes bras levé, l’invitant toujours à jouer à mon petit jeux du touché. Va-t-elle oser ? Je me le demande, car là elle hésite pas mal…je suis si répugnant que ça ?....ça me rend triste quand même…un peu… je ne dois pas du tout être son style de mec… Je me demande bien quel genre de type peu bien faire craquer cette nana…mmh peut-être les intello à lunette ? Ou les bosseurs acharnés comme elle semble l’être avec son violon. Tiens, pourquoi je m’inquiète de ça moi ?

    Revenons à ce que fait la belle Hino…elle semble ce décidé puisqu’elle commence à fouiller dans ma veste. Vu son regard, elle semble dégouté…bof…dans ses conditions je dirais c’est normal...hein ? Rassurez moi je vous en prie !!! Je vais vraiment croire que je suis moche et répugnant. Bon elle semble avoir compris que la clé est ailleurs, elle tâtonne mes poches, je la laisse faire sans expression particulière, attendant de voir si elle va aller plus loin. Ha !!! Je me suis fait avoir…elle n’est pas bête du tout la fillette. Au lieu d’y mettre la main, elle me sort la poche. J’ai vraiment envie de rire, pour cette fois, c’est moi qui suis fait prendre dans mon propre piège. Je ne m’y attendais pas…

    Je la regarde avec la clé en main, lui attrape des mains d’un coup sec avant qu’elle ne décide de partir avec, on ne sait jamais ce qui peut passer par la tête d’une jeune fille en stresse.

    - Ok, ta gagné, on retourne à ma chambre, je te rends ton violon.

    J’avoue que là j’étais à court d’idées pour la faire marcher… Mais si je continu je suis sûr qu’elle va vraiment exploser la pauvre et moi j’aurais surement des ennuis. Alors Kurosaki, on se calme, le jeu est terminé.

    - Suis moi…

    Je reprends le chemin des couloirs qu’on a emprunté plus tôt, me rappelant relativement facilement du trajet. En général, j’imprime vite, donc pas besoin de me montrer plusieurs fois les choses pour que je comprenne. Il nous fallut pas moins de cinq minutes pour enfin arriver devant ma piaule. J’ouvre la porte et la laisse entre-ouverte pour laisser entrer Hino.

    - Vas-y, prend ton instrument…Et merci pour la visite, je me suis bien amuser pour mon premier jour ici.

    Je soupir en jetant un coup d’œil par la fenêtre. S’avent-ils que je vis ici ? Je suppose que oui…les flics savent tout, enfin surtout à mon sujet. Je n’ai pas vraiment l’impression d’être libre...mais plutôt comme un chien enchainé à sa niche, pouvant sortir sur un périmètre autorisé par la longueur de sa laisse. Cette journée m’a un peu sortit de mon monde casanier, ça m’a fait du bien, même si c’était au détriment du bien-être de la pauvre Hino. Je m’adosse au mur et fixe Hino prendre son violon, sans un mot, la laissant faire ce qu’elle veut.
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MessageSujet: Re: Une note de trop [Kurosaki Usui ]   Une note de trop [Kurosaki Usui ] Icon_minitimeLun 23 Jan - 1:07

♥ Toi que j’aime tant ♥

Elle avait réussi, elle sentait la clé à portée de main bientôt et la sortit triomphante de la poche brandissant celle-ci avec un grand sourire, regardant le jeune homme avec ses yeux rubis montrant sa satisfaction. Elle avait menée à bien son épreuve sans doute aucuns, puisqu’elle s’était emparée du sésame de la chambre, la clé dans sa main elle sourit victorieusement, n’ayant pas fait ce qu’il attendait en se servant de son cerveau. Elle déchanta dès qu’il saisit ses poignets à nouveau, le foudroyant du regard en l’observant avec attention et rage, s’il venait à reprendre sa parole. Elle soupira de soulagement en lui remettant la clef et en attendant patiemment après qu’il ait accepté sa défaite, elle le suivit dès qu’il commença à partir, heureuse d’être parvenu à se sortir de la situation plus que délicate dans laquelle elle s’était mise et surtout de pouvoir récupérer son instrument. Sans lui elle se sentait nue et vulnérable comme si elle ne pouvait pas vivre sans l’objet de bois et de corde, son âme étant un peu dedans, elle fusionnait avec lui quand elle posait son archer dessus.
Un sourire heureux sur son visage apparaissait dès qu’elle pensait musique, elle ne remarqua pas du tout qu’il la guidait sans se tromper, ayant retenu facilement le chemin contrairement à elle qui avait dans les premiers temps fonctionner avec un plan dans sa poche. Il s’arrêta alors qu’elle n’avait pas vu les minutes passer, attendant avec un calme apparent qu’il ouvre la porte pour aller chercher son violon, le contournant en poussant le battant pour se diriger vers le lit où son étui se trouvait toujours. C’était la plus grande crainte qu’elle avait quand elle ne savait pas qui pouvait accéder à l’endroit où elle déposait son instrument, qu’il disparaisse. Elle se pencha hésitant une seconde avant d’ouvrir l’étui et retrouva intact et entier le violon, passant tendrement une main dessus une larme glissant sur sa joue pour évacuer la peur qu’elle avait eu de ne pas le revoir. C’est un amour bien particulier qui uni un musicien à son instrument, ils sont dépendant l’un de l’autre pour pouvoir jouer et créer une harmonie et le fait de s’en séparer est toujours un déchirement pour l’artiste.
Elle avait complètement oublier l’endroit où elle était de voir son étui et son violon, s’attardant sans s’en rendre compte avant de réaliser l’heure tardive qu’il devait être. Elle referma la boite et saisit la poignée en se retournant se rappelant la présence du jeune homme et s’inclina devant lui. Elle ne savait pas pourquoi il avait dit ça, ni pourquoi il avait voulu la priver de son instrument mais le fait était qu’il lui avait rendu et en cela elle ne pouvait que le remercier même si cela semblait stupide elle ne voulait pas le froisser plus qu’elle n’avait déjà dû le faire. C’était donc un signe de remerciement et de salut qu’elle faisait à la personne adossée au mur, s’apprêtant à quitter la pièce elle allait franchir le seuil avant de se raviser et de se tourner vers lui, ne sachant pas vraiment pourquoi elle le disait ni pourquoi elle parla au jeune homme.

- " Je te présente mes excuse si tu n’as pas pu tout visiter, je ne suis pas très bon guide, merci de m’avoir rendu mon violon, Je n’aurais pas pu aller en cours sans."

Elle resta silencieuse une seconde en se redressant, ne comprenant toujours pas pourquoi elle le fia de ses yeux dorés, avant de se mordiller les lèvres en détournant le regard en prononçant ce qu'elle savait qui serait être une bêtise. Elle prit une courte inspiration avant de le regarder de nouveau droit dans les yeux sans dévier son regard un seul instant, ouvrant la bouche pour prononcer sans doute une énormité qui le ferait peut être rire.

- "Si ta proposition pour l'informatique tiens toujours, je t'apprendrais ce que je sais de la musique si cela t'intéressais vraiment....Tu me déposer un mot à ma chambre c'est la 34 si cela te fais plaisir. Sinon bon courage, bonne adaptation à toi et bonne journée."

Elle s'inclina de nouveau et se dirigea vers la porter déterminée à fuir au plus vite sans lui laisser le temps de lui répondre, posant sa main sur la poignée pour l'ouvrir et quitter cette chambre où elle avait tenue un sous vêtement masculin, des rougeurs réapparaissant aussitôt sur ses joues..
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