Aujourd'hui, j'avais envie de sortir. Je ne voulais pas rester cloîtrée dans mon lit à ne rien faire. J'ouvrais les yeux. La chambre où j'étais n'étais qu'une chambre temporaire. J'avais fermée tout les volets. Mon colocataire, bien que temporaire lui aussi, était déjà partis. Il devait être à peut près 10h15. Je vérifiais mon petit portable achetée d’occasion. Je n'avais personne encore dans mon répertoire, mais je sais que j'allais vite le remplir. Aujourd'hui, je n'avais pas de travail. Le patron avait décider de fermer aujourd'hui car ça femme venait d'accoucher d'une petite fille.

L'ennuis venait très vite à la Pension Kohime. Même après être partis, j'avais l'habitude de cet façade de la pension. La pension était toujours très calme à ces heures là Et souvent l'ennuis venait ce promenez en quête de proie. Je voulais sortir un peu.

Je prenais mon temps pour m'habiller. Une petite robe blanche à enfiler ? Ou peut-être cette chemise bleu? Je ne savais pas quoi décider. Mes yeux parcourais l’armoire. Je posais mes mains sur le fond de l’armoire et plantais ma tête entre les habits pour attraper ce qui m’intéressais. Une petite robe bleu marine et un collant noir. J'attrapais mes chaussures, après avoir enfilée mes habits et sortais de la chambre. J'allais fermer la porte quand je revenais sur mes pas pour attraper mon mp3, mes écouteurs et ma sacoche pour y mettre toutes mes affaires. J'avais aussi pris mon porte-monnaie au cas où.

Je parcourais la ville, la musique dans les oreilles. Des morceaux, originaux, de piano jouais dans mes oreilles. Je re-parcourais la ville que j'avais déjà visitée tant de fois. Certaines rue m'étais encore inconnus. Je re-visitais certains endroit, certains magasins, certaines rues, je revoyais tout ces restaurant où j'y ait travaillée ou encore passer mes journées a y boire des jus de pommes avec mes amies. Je passais devant le parc d’attraction fermée ce jour là pour construction. Mais cela n’empêchais pas au fait que les clients du parc venait se poster à la queue pour qu'ont leurs ouvrent.

J'avais marché des heures et des heures en errants dans la ville. Ce n'était pas l'ennuis, cette fois, mais la solitude qui me prenais dans ces bras. Après quelques minutes de marche dans une rue droite et vide, et quelques carrefour pris à l'aveugle j'arrivais dans le quartier branché. Ce quartier était déjà illuminée par les sourires des gens, même si il m'étais encore inconnus. La nuit tombais encore très vite en se temps-ci. Il ne devais être que 16:20 que la nuit commençais déjà à nous couvrir de son voile d'ombre et le soleil, que l'on ne voyait pas très bien caché derrière les immeubles, commençais à se cacher derrière l'horizon.

Mes yeux les nouveaux magasins et les nouveaux restaurants présent quand je heurtais quelqu'un. Je tombais sur mes fesses, laissant quelques secondes, sur le coup du choc, mes jambes écartée laissant la vue , à toutes personne qui avait le regard virées vers moi,de ma culotte. Je relevais les yeux éblouit par les lanternes de la rue. Je plissais les yeux pour pouvoir voir qui était celui qui m'avais pousser, tout en m'excusant.

- A-ah ! Pardon !

Je levais la tête et voyais l'ombre d'une personne que je reconnaissais.

Ça voix familière, ce rire. Sur le coup, mon cerveau essayais de reconnaître cette voix " déjà-vue ".
La lumière éblouissait toujours mes yeux, mais une main fût tendus vers moi, comme si Dieu venais de me tendre la main pour me dire de me relever. (Non, j'exagère, je sais. 8D.) Je prenais timidement la main. A son contact, tout de suite je me rappelais à qui appartenait cette voix. Mukuro. Mukuro Estraneo. Cousin éloignés de mes parent adoptifs.

Je me relevais avec son aide. Je rougissais en le rencontrant encore une fois. C'étais la deuxième fois que l'ont se rencontrais. Je n'osais pas placer un mot. Je baissais les yeux par timidité et me souvenais enfin qu'il était mannequin. Ça taille et ces formes était toujours parfaite. Cela m'étonnais toujours autant. Je voulais le complimenter sur sa façon d'être, mais aucun mot ne sortais.

J'étais tétaniser sur place, comme une statue de pierre. Je tremblais dans mes petites ballerines noir. Je n'osais même pas le regarder dans les yeux. Je tripotais mes mains, mes doigts. Que faire? Je devais le remercier! Mais comment? Ça fait plutôt longtemps que l'ont ne c'est pas vus, mais ce n'étais qu'une seule fois, pensais-je.

Les pensées passaient ici et là dans ma tête, j'avais l'impression que mon cerveau allait exploser ou que j'allais attraper une très grosse migraine. Puis je me réveillais enfin de mes pensée. Et pris mon courage à deux mains.
-Me..Merci de m'avoir relevée, commençais-je, ça... Ça faisait longtemps, non ? Tu est en sortie? Peut-être que je te dérange?

Je remarquais que mon mp3 et que toutes mes autres affaires étaient toujours au sol, je profitais de ce moment, où peut-être il allait me répondre, pour ramasser mes petites babioles et les ranger dans ma sacoche.

Je vérifiais que rien ne manquais, mon mp3, mon portable, mon porte-monnaie acheter il y a longtemps avec une photo de Mukuro inscrite dessus. Hé oui, je suis très grande fan de mon cousin, je ne sais pas si je suis la première, mais ce serait un honneur si c'étais vrai.

Je relevais ma tête et croisait le regard de mon cousin. Je sursautais, rougissais, touchais mon cache-oeil par habitude quand je suis embrassée puis me remettais à baisser la tête et à tripoter mes mains ou ma robe.

Je relevais la tête pour montrer un petit sourire à Mukuro. Je relevais la tête et re-croisais son regard. Je me retenais de détourner le regard et rougissais un peu plus qu'avant.

Pendant que j'essayais de tenir, une gouttes vient ce glisser sur mon front pour venir pénétrer à travers mon cache-oeil. Oh non! Je ne devais pas le mouiller. Je baissais les yeux puis remarquais que d'autres gouttes tombais. Elle annonçais l'arrivée d'une pluie abondantes.

J’hésitais encore à prendre de force la main de mon cher cousin pour l'emmener à l'abris de la pluie qui s'annonçais. La pluie vint doucement nous tomber dessus. Elle commençais a nous trempée. Puis, sans plus aucune hésitations, j'attrapais ça main et le menais à un hall.

Mon cache-oeil trempée, je décidais de l'enlever. Je me retournais, je détestais que quelqu'un vois mon oeil vide. Il était, a présent, sans vie, une seule couleur. Je touchais cet oeil que je détestais tant. J'en avais presque oublier Mukuro dans ma peine. Puis, je remarquais un petit objet au milieu de la route. Serais ce à Mukuro ? Je décidais d'aller le chercher malgré la pluie.

Je me penchais et ramassais l'objet trouver. Je l'analysais alors que la pluie s'abattais avec force sur moi. Une paire de boucle d'oreilles. Trois grands diamants. Les gouttes coulaient doucement sur ma peau et sur l'objet que je venais de trouver. L'eau se glissais à travers mes habits. Ils me collaient à la peau. C'étais désagréable. Je prenais l'objet et retournais vers Mukuro.

Je m'avançais vers Mukuro, doucement. Mes cheveux collaient sur mon visage. Mes yeux étaient à découverts. Je tendaient à Mukuro une boucle d'oreilles.
- Eu...Euh... C'est à toi ? Je les aient trouvés par terre à l'instant. Lui demandais-je en levant légèrement les yeux vers lui.

Je rebaissais mes yeux en lui présentant les boucles d'oreilles. J'étais trempée, je ne voulais pas qu'il me vois dans cet état. Une goutte d'eau vint se glisser dans mon oeil aveugle. Un reflex de douleur et de surprise vint me faire lâcher la paire de boucles d'oreilles et me faire tenir mon oeil. J'avais eu l'impression qu'un éclair venait de me foudroyer.

Je m'excusais légèrement auprès de mon cousin et ramassais les boucles. Je me sentais comme un boulet. La gêne, l'embarras, me faisait agir comme un véritable boulet. La tête encore plus baisser qu'avant, je m'adossais au mur, après avoir donner les boucles à Mukuro et après avoir poser des mèches mouillées sur mon oeil.

Je tremblais légèrement. Une petite brise vint se soulever sous ma petite robe. L'eau perlait sur ma peau pâle. Je sentais le regard de Mukuro sur moi. C'étais plutôt gênant, mais cela me faisait plaisir. Au moins, il me regardais. Je n'osais pas lui demander où il avait pu acheter ces boucles d'oreilles. J'étais trop gêner pour ça.

Ca voix vint résonner dans mon cerveau. Il venait d'attirer mon attention. Je posais mon regard vers lui. Il venait de me proposer de boire quelque choses de chaud dans un bar qu'il avait côtoyer. Un sourire vint se poser sur mes lèvres. Mon regard s'illuminais. Je me rapprochais légèrement et laissait mon sourire s’agrandir.

- Je...Je veux bien venir avec toi! Disais-je en souriais

C'étais la première fois qu'il me proposait d'aller quelque part avec lui. Je me calmais tout de suite et baissais la tête pour montrer ma honte. Je m'excusais timidement. Puis je relevais la tête. Je prenais doucement un mouchoir dans ma petite sacoche et essuyais le visage de mon cousin.

- La pluie te va bien, mais il est mieux que ton visage reste sec. Tu risquerais d'attraper froid. Je souriais puis me rétractais en rougissant.

Je m'excusais et reculais légèrement. Je ne savais pas comment réagir face à mes actes. Que faire? Que faire? Mon portable sonna. " Einsamkeit ♫ Einsamkeit ♫ ". Je sursautais et me précipitais de répondre. Je soupirais et raccrochais tout de suite.

- Par...Pardon...De dérangé...Ce..ce n'étais rien d'im..d'important.. N-nous pouvons..y aller ? Disais-je en rougissant.

Je relevais la tête et le regardais d'un air plutôt mignon. Sans vraiment le vouloir.