••• Dossier d'inscription
••• à la Pension Kohime

Akiyama Mio & Katsura Kotonoha

• Nom : Lavigne • Prénoms : Marine • Âge & Date de Naissance : Je suis née le 4 Novembre 1990 et j'ai 20 ans. • Nationalité : Française/Anglaise • Orientation sexuelle : Hétéro • Profession : Soit vous travaillez / Soit vous êtes Etudiant.

• Raisons pour lesquelles vous venez habiter à la pension :Un endroit... Où personne ne me connaît... Où j'oublie..

• Description Physique : [ En 08 Lignes Minimum ]
Je ne me trouve pas plus belle qu'une autre. Je ne vais pas dire que je suis moche, il y en aura toujours un pour me dire le contraire. Mais je suis d'une banalité... Une châtain brune aux yeux marron. C'est tout ce qu'il y a de plus normale avouer le. Ma mère était une blonde aux yeux bleus vert. J'ai toujours adoré ses yeux. Surtout cette espèce de vert pomme. Ils étaient magnifiques. Mon père lui un brun aux yeux noisette. Je dois à coup sur plus tenir de mon père que de ma mère. Mais bon de toute façon belle ou non, je m'en fiche royalement.

Mes yeux, plus ou moins noisette en fonction de la lumière fascinent souvent les autres. Pourquoi? Parce qu'ils reflètent ma grande solitude apparemment, qu'ils reflètent chacun de mes sentiments les plus profonds, du moins ceux que je crois pouvoir cacher. Moi, je dis bien entendu le contraire, j'ignore. Certes, on aura beau mentir nos yeux refléteront toujours la vérité, moi je fais en sorte de leur prouver le contraire et cela marche plutôt bien. Je leur dis que mes yeux sont simplement banaux et qu'ils ne reflètent rien, qu'ils se font des films et tout le tralala. Je ne veux pas qu'on me comprenne. Je veux juste qu'on me laisse en paix vivre comme je le souhaite avec les sentiments que je souhaite. Et je souhaite que l'on comprenne que mes yeux noisette sont des yeux normaux qui ne reflètent rien. Mais je dois avouer que ceux que j'ai connus toute petite, qui ont vu ses yeux pétiller de malice, de joie, de gaieté quand j'étais jeune, quand je n'étaient pas seule il y a encore quelque temps, ont du mal à me croire. Mais de toute façon, ils sont qui? Hormis des personnes qui sont rester près de moi par simple pitié?
Mes cheveux sont longs. Ils doivent se stopper au-dessus de mes fesses. Lisse comme jamais, on pourrait poser une balle dessus elle roulerait sans problèmes. Ils sont brun châtain, cela varie aussi en fonction du soleil. J'ai aussi une frange, que j'ose égalisé quand elle est vraiment trop longue, et encore je ne la coupe que peu, elle cache toujours un peu mes yeux. Oui j'aime bien les cacher, surtout en hiver avec mon écharpe qui me montre jusqu'au bout du nez, on voit peu mon visage. Je l'aime bien cette petite frange. Ils sont eux aussi tout banaux, mes cheveux. Je suis banale...
Mon sourire et bien c'est un sourire. On dit que je suis plus jolie quand je souris. On dit ça à tout le monde. Et si je ne veux pas sourire? Si je n'ai pas de raison de sourire? Mes sourires seront des sourires de politesse. Je ne souris plus vraiment. On m'a montré que sourire ne sert à rien. Alors je ne souris plus. Sauf quand on m'aborde et que je daigne ne pas ignorer cette personne. Par politesse, je lui rendrais un sourire mais rien de plus. Mes sourires ne veulent rien dire, ils ne montrent rien.
Ma peau est pâle, pas aussi pâle qu'un fantôme, mais je n'ai pas vraiment de couleur. Du moins pour moi. Peut-être qu'en été j'en aurais un peu plus, peut-être pas. Je suis "grande" ou non à vous de voir. Je suis au-dessus de la taille moyenne d'une femme qui est un mètre soixante-cinq. Moi je fais un mètre soixante douze. Peut-être que certains me trouveront trop grande, d'autres d'une taille normale. Moi, ma taille je l'aime ainsi. En faites je me fiche royalement de comment me trouvent les autres. Ils ont leurs avis, j'ai le mien, rien de plus.
Je suis plus ou moins fine. Je ne suis pas grosse, mais je ne suis pas anorexique non plus. Pourtant je mange peu, mais je reste à un poids normal pour ma taille. Du moins je crois. Je n'ai pas la peau sur les os alors je suppose étant donné que je ne me pèse jamais. Je ne fais jamais un bilan de moi. Je ne m'amuse pas à savoir si je dois manger plus ou si je dois faire un régime. Je me sens bien telle que je suis et ça restera ainsi. J'ai des formes normale pour une femme, ça suffit.

Côté style vestimentaire, je met ce qu'il me plaît. Je ne suis pas du genre à m'habiller à la mode. Si vous pensez que je m'habille de façon " sac poubelle " je m'en fiche, pensez ce que vous voulez. Moi j'aime ma mode, ma façon de m'habiller. Moi j'aime mettre ce genre de chose. Moins au moins je ne m'habille pas de façon à ressembler à tout le monde. Je ne m'habille pas de façon à montrer les partie interdites de mon corps. Moi je me couvre, je me couvre de tissus que j'aime.

J'aime bien les hauts à rayures. D'une part, on m'a toujours dit que ça m'allait bien, que ça faisait ressortir mes valeurs de femme. Je me suis toujours demandé quelles valeurs. J'ai des valeurs moi? Allez savoir. Bref J'aime bien les rayures, mais dans les couleurs noir/blanc, noir/gris etc. Les rayures de couleurs ce n'est pas vraiment mon truc. Les rayures horizontales par contre. Les verticales me donnent une drôle d'impression, une impression assez étrange.
Sinon j'ai une préférence pour les hauts simples, parfois avec un petit dessin ou une petite écriture, mais le plus souvent il reste que d'une couleur. Rare quand un vêtement plein de strass me plaît. Je ne dis pas que ça n'arrive pas, mais c'est rare. Couleurs unique me va très bien et cela va facilement mieux avec tout.
Tee-shirt à manches courtes ou à bretelles, je privilégie les à bretelles mais je ne sais pas vraiment pourquoi. J'ai toujours préféré. J'aime bien les longs qui se " croisent " dans le dos, enfin qui forment une sorte de Y. Toute les couleurs du moment que le tee-shirt à bretelles soit de couleur unique ça me convient. Pour les tee-shirts à manches courtes j'aime quand il y un petit quelque chose dessus tout de même. Un tee-shirt de ce genre vierge, pour moi ça ne le fait pas tellement.
Robes, jupes pas réellement mon truc mais j'en mets quand cela me prend. Enfin robes se sont plutôt des tee-shirts longs avec ou sans manches que l'on met en général avec un jean ou un collant. J'en mets rarement ou pendant une période, rien de plus à dire pour cela.
Moi je suis jean, ou plutôt, si on va chercher plus loin je suis slim. J'aime beaucoup la découpe de ce genre de jean. Je ne porte pratiquement que ça et n'hésite pas à en acheter un quand il me plaît. Il s'accorde avec tout ainsi qu'en général tout les style de chaussure que l'on peut trouver. Je les prends en général dans les tons foncés. Les slims stylent rouge, vert ou rose, moi qui déteste le rose c'est franchement pas mon truc.
Les chaussures... Je dirais vive les bottes hum? Je mets beaucoup de bottes à talons. Et en particulier, celle qui monte jusqu'aux genoux. Elles sont tout noires pour le principe que j'aime cette couleur et que le noir comme le blanc va avec tout. D'ailleurs voilà un point pour le fait que j'aime les slims. Grâce à leurs découpes on peut mettre des bottes facilement sans avoir l'impression d'avoir un jean patte d'eléphant que l'ont à rentrer tant bien que mal dans ses bottes. J'aime bien aussi les bottines, même style que les bottes un peu certes mais pas pareil. Souvent dans les tons marron je les prends elle.
Niveaux chapeaux, j'aime bien. Je suis dans le genre de file qui a une tête à chapeau et pourtant je n'en mets que peu. Et oui, au pire un bonnet pour l'hiver et une casquette pour l'été. Je n'aurais aucune honte à me balader avec un bonnet avec des oreilles de chat par exemple. J'en ai un d'ailleurs! C'est un ensemble bonnet, guêtres, mitaines. Et oui je ne suis pas gants mais mitaines. Mitaines rayées, mitaines simples, mitaines coupées, mitaine longue, j'aime toutes les sortes de mitaines qui peuvent exister du moment que ça reste dans le sobre.
Une chose que j'adore, c'est les écharpes. Surement l'accessoire que je n'hésite pas à mettre quand je peux. Je les aime pour la simple et bonne raison qu'elle m'aide à cacher mon visage. Étonnant non? Se servir de ça simplement pour cacher son visage... Itamashii...
• Description Morale : [ En 08 Lignes Minimum ]
« J'ai eu deux caractères tout deux vraiment opposé. Quoi que trois en faites. Celui de maintenant est celui qui me colle surement le mieux... Faut dire on l'a cherché... »

Renfermée:
Peut-être que le mot renfermé est un peu fort, ou non. On va dire que je ne parle jamais de moi, que je ne dis rien sur moi. Je ne vais pas vers les autres, sauf quand il m'intrigue, mais ce n'est pas pour cela que je vais parler de moi. J'aime mon monde, celui où je m'enferme pour faire la lecture de mon livre ou écouter de la musique. Je ne veux pas que quelqu'un y rentre. Je ne veux pas qu'on sache qui je suis vraiment et qu'on me brise de nouveau. C'est fini tout ça. Alors oui je peux paraître froide ou renfermer, il est vrai que jamais je ne parlerais de moi.

Mystérieuse :
et oui je le suis, mystérieuse. Après tout, j'ai un bien drôle de caractère et de bien drôle expression. Je n'ai pas de caractère fixe en réalité, c'est peut-être pourquoi je vous dirais simplement ce qui revient le plus souvent. Dans mes airs, dans mes mots, je suis une pure mystérieuse. Mes manières vous seront étranges, ma façon de parler vous bloquera dans une impasse. Chaque chose de moi vous sera un mystère pourtant facile à comprendre. Mais vous vous compliquerez la vie et moi je rirais. Je suis une mystérieuse.

Rebelle & Insoumise:
Il faut bien le dire, je déteste me plier au ordres. Certes, je respecte le règlement imposer dans une académie ou autre, mais qu'on me donne des ordres parce qu'on ce croit meilleur, ça vous pouvez vous faire mettre. Parfois, il m'arrive même de transgresser le règlement, et alors? J'ai un minimum de dignité. Et c'est pas vous qui allez me l'enlever avec vos ordre à la noix.
Que les choses soit clair, on ne me soumet pas comme ça. Alors les hommes qui souhaite jouer leurs gros dure et vouloir faire de moi leurs soumise toute gentille et obéissante, sa vous pouvez rêver mais bien. Je décide si je veux être soumise ou non. Pas vous. C'est moi qui décide, pas vous. Si vous vous mettez à décider ce genre de chose, vous allez pas faire long feu croyez moi...

Franche & Directe:
Je suis franche, si on me pose une question , si on me demande quelque chose, je ne tourne pas autour du pot. J'y vais franchement que ça blesse ou non. Pourquoi? Parce que mentir blesse encore plus. Certes la vérité peut faire mal, mais il faut l'accepter. Qui plus ai, si quelqu'un m'embête ou autre, je n'hésite pas lui sortir vérité. On me fait chier sur ma tenu? Et toi alors? Tu t'es regarder comment tu es? Ouai en mode pétasse couche toi là. Moi au moins, je suis digne de ne pas montrer mes seins en publique pour faire bander le premier venu et me le taper. Quoi? Trop franche? Ça te gêne? Tant mieux~

Méfiante:
Je me méfie de tout, je ne fais confiance à rien ni personne, même pas à moi. Et oui, je n'ai même pas confiance en moi, et pour avoir ma confiance, croyez moi, vous avez intérêt à me montrer que vous le méritez, et pas comme ça. Il m'en faut beaucoup pour la donner, parce qu'en on la brise, on me brise et ça fait mal. Quel est l'intérêt de donner sa confiance pour ensuite avoir mal? Expliquez-moi. Aucun. Alors, vous, vous êtes capable de gagner ma confiance? J'en doute.

Naïve:
Je vous présente mon grand mais grand défaut. Je suis une grande naïve, pas au point de croire quelqu'un quand il me dit qu'il a vu un extraterrestre déguisé en pomme de terre, mais assez pour croire les belles paroles telle que « Je t'aime. » Et oui, la preuve en est que je suis marié et je ne peux divorcer maintenant. J'ai trop cru, j'ai fait bien trop confiance. Je suis une naïve et ceux-ci me jouent beaucoup de tour. J'aimerais changer, j'aimerais moins croire, mais mon cœur et mon cerveau veulent que je reste comme ça, que je souffre. La vie veut me voir souffrir ainsi.

• Votre histoire : [ En 15 Lignes Minimum ]
« Je m'appelle Marine, Marine N. Lavigne. Je ne donnerais pas la signification du N, et je n'ai pas toujours été une Lavigne. Non, au départ j'étais une Connor. Marine Alice Connor. Aujourd'hui, je ne suis plus grand chose... »

Nous sommes le quatre novembre mille neuf cent quatre-vingt dix. Il a déjà commencé à neiger. A croire que la planète est vraiment déréglé bien que pour certains, cela sera peu étonnant. Ma mère lit tranquillement, assise sur le rebord de la fenêtre. Vous savez les genres de banc qu'il y a de temps en temps. Et bien maman aime bien lire ici en jetant à coups d'oeil par la fenêtre. Elle n'a plus le droit de sortir, enfin si mais papa ne veut pas. Sa grossesse est censée bientôt s'achever et il ne veut pas qu'il lui arrive quelque chose. Alors il refuse de la laisser sortir, lui ayant pris un mois de congé pour être sur d'être là au moment venu. Quant à moi, je suis tout formé, bien au chaud dans le ventre de ma mère. J'ai eu du mal à me décider, mais je finis par arriver, ce jour-là. A quatorze heures un, je commençai à faire souffrir ma mère, mais je n'avais pas le choix, je devais lui faire mal pour sortir. Le travail commença et dura jusqu'à vingt-trois heures quarante-six. Papa me racontait souvent qu'il a bien cru y perdre sa main, mais que quand il me vit, toute douleur disparut. Mes parents comme ils étaient en désaccord sur le prénom à me donner, avaient décidé que si c'était un garçon alors ma mère choisirait le premier prénom, et que si c'était une fille, mon père choisirait le prénom. C'est donc ainsi que je me nommai Marine Alice Connor.

J'ai une enfance plutôt simple. Mon père me pourrit gâté, et à vrai dire c'est un peu agaçant bien que je ne sois qu'un bébé. Du moins, il paraît que cela se lisait dans mon regard. Il paraît que je détestais les câlins, que je repoussais les gens même ceux qui me connaissaient. Les seuls qui pouvaient avoir le privilège d'un de mes fameux câlins, c'était mon père et mon grand-père. Je ne pensais pas cela de moi. Moi qui ai été pendant mon adolescence, malgré ma distance avec les autres, une grande invétérée des câlins, mais nous verrons cela un peu plus tard.
Bref, que dire de ma petite enfance entre ma naissance et mes six ans? Oh pas grand-chose. Je suis une simple petite fille qui vit avec ses deux parents. J'ai un chat. C'est mon animal préféré. Il s'appelle Kawako. Il est tout noir avec deux petites taches blanches sur le dos. Il paraît que je n'arrivais pas à m'endormir sans lui, ni sans ma poupée de chiffon. Une poupée que j'ai eue à ma naissance. Son odeur sa douceur... Je ne pouvais pas m'en passer. J'avais même peur que maman me la lave, peur qu'elle l'abime et qu'elle perde cette douce odeur. En faites, il y avait deux choses d'ont je ne pouvais pas me passer. Ma poupée de chiffon et ma boite à musique. Cette boite à musique si douce... Je l'ai eu pour mon un an de la part d'une amie à ma mère. Cette boite à musique me permettait de m'endormir, de ne pas faire de cauchemar, de me calmer quand je pleurais. Elle me permettait beaucoup de choses. Je l'ai encore aujourd'hui, ce sont les deux choses que j'ai conservées de mon enfance.
Les cookies, parlons-en. Et bien oui, dès ma plus tendre enfance, ce fut ma drogue, accompagner du chocolat. J'adore ça, infiniment. Les cookies sont les meilleurs biscuits du monde et le resterons à jamais. A partir du jour où j'y ai gouté je n'ai plus jamais lâché cette merveilleuse chose. Ma mère en préparait souvent quand j'étais petite, et qu'est-ce qu'ils étaient bons. Je m'en souviendrais toujours, de leurs aspects qui faisaient briller mes yeux, de leur odeur alléchante quand ils sortaient tout juste du four, de leurs goûts... Oui je m'en souviens et je m'en souviendrais encore, et ce dois être la seule chose que je regrette chez ma mère. Maintenant je dois les acheter en boite. Ils sont bons, mais moins. Je devrai peut-être essayer d'en faire. Qui sait, ils seraient peut-être aussi bons. Des cookies tout chocolat, j'en ai déjà l'eau à la bouche. Enfin tout cela pour dire que les cookies ont marqué mon enfance, mes trois ans je crois. Quand mes parents ne voulaient pas m'en donner un, je piquais une grosse colère,ils finissaient toujours par craquer.
Je me souviens du ménage et moi. Dès que j'entrai en deuxième section de maternelle, ma mère voulue tout de suite m'apprendre l'art du ménage et le rangement de chambre, sauf que moi à mon âge, je m'en fichais pas mal. Quand je m'étais ma chambre dans une pagaille pas possible, je faisais en sorte que ce sois elle ou papa qui la range. Moi ranger ma chambre? Il ne fallait pas trop rêver. C'est vrai, on pourrait me qualifier de peste à cause de cela. Mais vous, à votre âge, vous vous imaginez ranger votre chambre voir passer l'aspirateur et faire les poussières? Moi non, jamais. D'ailleurs je mis très tard avant de faire le ménage moi-même. Je rangeai, mais le ménage... Passer l'aspirateur encore cela allait, mais faire les poussières, vider la poubelle et tout le reste, ça me dégoutait. J'avais l'impression des rares fois où je le faisais que jamais toute la poussière que j'ai accumulée sur moi ne partirait. Maintenant, je suis plus ou moins maniaque. Pas temps que cela, mais j'aime que ce sois propre et bien ranger, et cela permet de m'occuper.
J'étais là sur un banc de la cour, seule attendant qu'on me dise de retourner en classe. Je regardais les autres enfants jouer, rire, sourire, être heureux. Moi je devais être la seule qui ne semblait pas heureuse, et pourtant je l'étais mais je ne le montrais pas. Alors il s'assit là, à côté de moi. Je ne fis pas attention à lui pour le coup. Nous étions en troisième année de maternelle, l'année prochaine c'était le CP. Je ne jouais qu'avec des garçons, et à vrai dire les filles jouaient avec moi pour m'utiliser. En trois ans j'étais resté qu'avec des garçons, m'amusant à ramener des escargots plein les poches à ma mère. Mais ce jour-là, ce garçon me parla vraiment comme vous parleriez votre confident de toujours. C'était assez étrange, cela m'avait fait bizarre. Il me regardait en souriant, les yeux pétillant.

-Salut, moi c'est Nathan et toi?

-... Marine.

-Alors prête pour ton futur?

Prête pour mon futur ... Une phrase, des mots qui m'ont marqué. C'est d'ailleurs tout ce dont je me souviens de cette conversation, mais c'est à partir de ce jour que Nathan fût l'homme surement le plus important pour moi, en tant que frère, ami, puis en tant que mari. Peut-être que je devrais regretter ce jour ou je l'ai rencontré.

« A partir d'ici, je ne fut plus la petite fille que j'ai été, les choses ont fait que j'ai changer, peut être trop pour certain, pour moi ce changement fut radical, et pourtant je changea de nouveau pour le comprendre. »

-Nathan!

-Ouch! Marine doucement!

-Sale râleur!

-Grosse bourrine va!
C'était souvent comme ça. Quand je l'apercevais et non lui, je sautais sur son dos sans me retenir ou, parfois, quand je faisais semblant de ne pas apprécier quelque chose venant de lui, j'arrivais et lui donner une petite tape derrière la tête en le traitant de crétin. C'était un jeu, une façon de lui montrer que je l'adorais et il prenait part à ce jeu. Un jeu que les autres trouvaient étrange et sympathique. Pourtant on avait beau jouer à ce jeu ensemble devant les autres, ce n'était pas le même quand nous étions que tous les deux sans personne pour nous voir. On avait une fille perdue dans la vie, une fille que n'avait plus l'envie de vivre, une fille qui ne voyait que le mauvais côté de la vie et un jeune homme amoureux de cette fille, qui voulait l'aider, un jeune homme qui se battait pour que toutes les tortures qu'elle s'affligeaient cesse qu'elle ne pleure plus et qu'elle ne soit plus utilisé.
Je passais la plupart de mon temps avec lui en particulier. L'année de mes six ans avait été difficile, et c'est vraiment là que tout a changé. J'ai perdu beaucoup trop de proche, cela ma affecter au point de croire que c'était moi qui leur portais la poisse, au point de faire une tentative de suicide, loupé à cause d'une personne que j'adorais, mais qui est partie aussi, loin de moi.
Mais je crois que... En faites je pense que l'on s'en fiche de tout cela non? Que suis-je au fond? Moi quand je me regarde, je vois une marionnette qui a besoin d'avoir ses fils de tirer pour vivre. Cette marionnette a mal mais au moins elle ne se sens pas seule. Parce que ce jeune homme qui m'aidait est parti. Il a lâché mes fils. En faites. Pourquoi raconter en détail quelque chose dont je n'ai jamais rien dit à personne? Pourquoi je vous raconte mon histoire au mot près que j'ai pu dire dans ma vie? Vous voulez ma vie? Et bien je suis née avec l'étiquette « à remplacer par de la nature », j'ai passé mon enfance seule, mon adolescence dans les pleure et la peur, je me suis marié à celui qui a joué avec moi et m'a abandonné et pour finir il m'a encore une fois abandonné en me laissant marier à lui. Voilà vous l'avez ma vie...
« Finalement, faut croire que je suis pas capable de vous la raconter ma vie... C'est pitoyable... »

• Selon vous, quel groupe vous conviendrait le mieux ? :
[ So Mysterious ]

• Code du réglement o/ :

Et bien faites l'histoire n'est pas fini, simplement j'en ai eu marre, donc j'ai baclé la fin XD Mais je compte la finir un jour :3

Ma Marine validée *O*
Superbe fiche malgré la fin un peu bizarre mais c'est pas grave *O*

Merci ;3