La Pension Kohime ❤ - Bienvenue !
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T'as besoin d'un logement pour tes études ou ton travail ? Tu t'es fait virer de chez toi ? T'as juste envie de changer d'air et de te relaxer ? Kohime Pension °w° ! Dans le même genre que la Pension Hinata, on t'attend !
 
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 Sleeping away and away and away... ♪♫

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Sleeping away and away and away... ♪♫ Vide
MessageSujet: Sleeping away and away and away... ♪♫   Sleeping away and away and away... ♪♫ Icon_minitimeLun 28 Fév - 13:58

    ••• Dossier d'inscription
    ••• à la Pension Kohime

    Photo d'identité
    Sleeping away and away and away... ♪♫ Maddoxcopie
    © hrd ORIGINAL
    Sumishuu ORIGINAL

      • Nom : Vega
      • Prénoms : Maddyson ; Blue
      • Surnoms : Maddox ; Maddie ; Blue Bird ; BB ; Smiling Maddie
      • Âge & Date de Naissance : 20 ; 15/03
      • Nationalité : Française ♥ - Mais a vécu à Londres ~
      • Orientation sexuelle : Hétéro, don't u ?
      • Profession : Etudiante en médecine et accessoirement fait ses propres vêtements, mais c'est pas un métier ça.

• Raisons pour lesquelles vous venez habiter à la pension : Parce que c'est pas cher, ducon. Puis dormir dans la rue, ça va cinq minutes, mais c'est pas mon trip.

• Description Physique : [ En 08 Lignes Minimum ]

- Pourquoi tu souris ?! Tu me dégoutes ! -

Tes dents blanches lui offraient un sourire que tu pensais sincère, transformé en folie hypocrite par ces marques sur ton cou blanc. Ton être tout entier la dégoûtait, tes cheveux noirs comme le vide dans lequel elle s'est jetée, auxquels s'ajoutaient des reflets d'un bleu nuit parfait sous la lumière de la lune la faisaient frissonner, lui donnaient des haut-le-coeur tellement prononcés. Oui, ta beauté, ta parfaite silhouette lui faisaient peur. Tes doigts effilés, tes longues jambes, tes lèvres pulpeuses, ton sourire éclatant, aussi grand que le monde, ton cou mince, ta peau blanche qui contrastait parfaitement avec tes cheveux. Tout ça, ça lui faisait peur. Tu bougeait avec une telle fluidité, toi, le sac d'os, alors qu'elle n'était qu'un tas de graisse hideux, disproportionné. Ça la faisait baver de jalousie. Ton visage fin, régulier lui donnait envie de vomir et ton petit nez, légèrement en trompette la faisait rigoler à n'en plus pouvoir respirer. Tu baissais la tête, cachant ton magnifique visage, t'excusant de la dépasser, t'excusant d'être belle, ayant peur que ses coups n'abiment ton merveilleux corps.
Au sortir de ta cage, sauvage, ton parfum se liguait contre sa puanteur, embaumant toute la pièce d'une senteur aphrodisiaque, animale, tant agréable, qu'elle ne supportait pas. Ton odeur était trop pure, trop égoïste, tu ne méritais pas de l'avoir. Alors elle t'infligeait des blessures, te coupait la respiration, t'empêchait de manger. Tu n'étais pas digne. Elle ne comprenait pas. Elle ne voulait pas comprendre, l'envie qui se propageait dans son ventre l'en empêchait. Tes pommettes rosées la faisait fondre d'horreur, tes bras fins lui donnaient la tremblotte. Ton ventre plat, tes hanches, tes yeux d'un bleu nuit profond la faisaient enrager, tellement qu'elle en devenait parfois malade. Tu te disais que si le Prince était à bout, tu serais Princesse prête à tout, tu te disais que tu serais plus bête qu'elle, tu te disais qu'elle le méritait. Tu faisais profil bas, obéissait. Tu l'aimais, elle l'affreux contraste.


• Description Morale : [ En 08 Lignes Minimum ]

- Mes zygomatiques me font mal... -

Maddox. Maddie. Maddyson. Blue Bird. Double B. Des surnoms sans importance, qu'on m'attribue. Je me contente de sourire. J'ai peur, je crisse, je souffre, sans crier. Je suis une peureuse. Je hais la violence, je hais la douleur et dans mon abstinence continue, le vide qui me sépare de la réalité s'agrandit, me perdant dans l'abîme d'un état d'âme peu commun : celui qui te fait fermer les yeux sur tout ce qu'on te fait endurer, qui te fait garder le sourire. Les pages s'arrachent, j'oublie; les cahiers brûlent et le monde crie. Je falsifie mes souvenirs, j'ai peur quand on m'observe, je me persuade. Je suis un mensonge. Je sursaute au moindre silence, je tressaillis à la moindre petite chose, mais je ne hurle pas. Le bruit raviverait sa colère et ma détresse s'amplifierait. J'évite ton regard, j'évite tes yeux, j'évite ton sourire en répondant par le mien, si peu sincère. Mon équilibre instable me donne envie de vomir et mes larmes me brulent les joues quand elles s'adressent à toi. Je me penche sensiblement sur toi, mal à l'aise, te murmure, te demande, t'implore de m'expliquer, m'expliquer pourquoi je suis tellement mal à côté de ta personne, pourquoi est-ce que je suis si frêle quand tu m'effleures du bout de tes doigts. Pourquoi je me liquéfie quand tu passes tes bras autour de ma taille, quand mon faible cœur transperce violemment ma poitrine, s'accélérant brusquement, sans vergogne pour mes côtes. Je tremble rien qu'en imaginant ta silhouette harmonieuse et tes lèvres.
Et je ne comprend pas. Moi qui suis toujours si forte d'habitude. Mon sourire si agréable normalement s'enflamme d'hypocrisie, mes joues rougissent, mon élan se brise et je tombe. L'incompréhension, ou quelque chose de si peu agréable. Ça me torture, me fais me tourner, me retourner dans mon lit, tandis que ma glace me renvoi ce que tu me fais devenir. Je constate que je suis folle. Tu m'as rendue folle. Folle de toi et de ta personne. Puis, vexée, je me relève et brise la vitre, éclatant l'image, ensanglantant mon poing, meurtrissant mon ventre, mon corps, parallèle à cette chose translucide qui me blesse de ses doux éclats. Je perds patience, trépigne, pleure. Pleure tout mon saoul, pleure jusqu'à être déshydratée, jusqu'à ce que mes yeux se dessèchent. Puis mon sourire réapparait. Naturel. Alors qu'il est purement hypocrite. Je ramasse les bouts de verres, m'entaille les doigts, oublie tes lèvres qui embrassent mon cou, tes doigts qui me caressent et tout ton vulgaire être, être qui a osé m'insulter. J'oublie tes innocentes caresses, les délicieux naufrages que tu m'as fait découvrir.
Je redeviens la Maddox d'antan, l'Intox pure et dure.
Je suis un cercle vicieux.



• Selon vous, quel groupe vous conviendrait le mieux ? :
[ Fuck off ] [ So Mysterious ] [ Smile & Nyappy ] [ Like a Prince ] [ Shy & Innocent ] [ Hey ! You're Crazy !? ] [ I don't care ] [ Princess Glamour ] [ Musical's Victim ] [ So Stupid ] [ Be Famous ] [ Dangerous Sweety Girl ] [ Sport ! Run ! Run ! ]

• Code du réglement o/ :


Dernière édition par Maddox B. Vega le Mar 1 Mar - 8:55, édité 10 fois
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Sleeping away and away and away... ♪♫ Vide
MessageSujet: Re: Sleeping away and away and away... ♪♫   Sleeping away and away and away... ♪♫ Icon_minitimeLun 28 Fév - 14:14

• Votre histoire : [ En 15 Lignes Minimum ]

- Maman, j'ai peur du monstre sous mon lit. -


Elle se mettait à rire, si innocente, me caressant les cheveux, doucereuse, l'aura tellement blanche, tellement grande. Si elle riait, ce n'était pas parce qu'elle se moquait de moi, mais bien parce que je l'amusais, j'étais son petit monstre. Un petit monstre bien beau, néanmoins. Elle caressait mes cheveux, me serrait contre elle en me rassurant, me donnait une petite tape sur le nez; elle savait que je n'aimais pas ça. Dans toute sa douceur angélique et ses traits souriants, nets, elle ne pouvait malheureusement pas prévoir le futur. Elle avait tout fait pour ma petite pomme, m'avais sourit un bon nombre de fois quand ça n'allait pas, des détails sans grande importance, ma foi. J'avais eu une bonne mère. Une mère que, en me levant à une heure inhabituelle, lorsque le soleil entrait pleinement par la grande fenêtre de ma chambre, j'ai trouvée couverte de sang, des clous dans les bras, le ventre ouvert et un œil arraché, sur son lit, à elle.
Je n'ai pas tout de suite compris. En somme, je ne voulais pas comprendre. Toute personne qui voit sa mère mutilée comme elle l'avait été n'aurait jamais voulu se souvenir, ni même voir ce spectacle déplorable au possible. Mais je crois qu'en fait, je n'ai jamais compris. Ou alors je m'en fiche, très certainement. Me rappeler l'odeur du sang qui empestait dans sa chambre me donne bien sur mal au ventre, et revoir les tripes de ma génitrice ne me donne pas spécialement faim, mais, je crois que ça ne me dérange absolument pas. Je dois être barge.
Bref, en gros, ma mère à crevé.


- Je pourrais en avoir, s'il te plaît, tante Shiro ? -


Elle mangeait, déjà qu'elle était grosse, comme un porc, sur le canapé. Elle s'empiffrait de MES sucreries. Elle les avait achetées pour moi. Pour moi et moi seule, elle l'avait dit. POUR MOI SEULE !! J'aurais voulu appeler Maman au secours, qu'elle était méchante, qu'elle me faisait peur, qu'elle me faisait pleurer et qu'elle me frappait ! J'étais seule, devant cette boule de graisse, l'implorant de ne pas tout manger, tremblante sur mes deux petites jambes, le visage déformé par les larmes. Sous mes yeux, des cernes importantes se creusaient, j'étais mal nourrie, mal aimée, mais je me taisais. Je ne voulais pas qu'elle porte à nouveau la main sur moi. Cet être abject était né dans la jalousie, l'horreur et la graisse, dépressive, grosse. Grosse. Après le meurtre de ma mère, elle m'avait recueillie, mais seulement pour l'argent, vous pensez bien. J'étais devenue son nouveau jouet. Elle ne me répondit pas. De toutes façons, elle ne me répondait jamais. Elle ne me donnait même pas à manger, j'étais obligée de me démerder toute seule. J'étais indignée.
C'était bien la sœur de ma mère, tout comme elle me l'avait décrite. Elle ne pouvait pas me supporter. J'étais trop belle, trop intelligente. Elle faisait un beau complexe d'infériorité vis a vis d'une gamine de huit ans. Et dire que j'ai grandis comme ça. Je ne la détestais pas, mais je ne l'aimais pas non plus. Le seul truc de bien qu'elle a fait, je crois, c'est de m'envoyer à l'école. J'ai sauté une classe. Ça a été le drame.
Elle m'a sorti la même réplique que Scar dans le Roi Lion.
« Pars ! Et ne reviens jamais ! »


- De toutes façons, t'es grosse ! TAS DE GRAISSE !! -


Je ne me suis pas retournée, mes membres meurtris par ses griffes et ses poings me faisaient souffrir. Elle m'envoyait au Japon, elle ne me gardait pas en France. J'avais eu la chance d'apprendre plusieurs langues. Mais j'étais de nouveau un poids pour une autre personne, moins méchante, mais stricte. Je ne sortais jamais, j'étais recluse dans ma chambre, sauf pour aller au lycée. J'étais entrée en médecine, même si ça ne m'intéressait pas du tout. La personne qui m'hébergeait était sans intérêt, nonchalante. Elle me répétait toujours les même choses, n'agissait pas comme une mère.
En fait, c'est ça le problème. Quand on a une mère, au début de sa vie, pense toujours à nous, qui nous aide et qu'elle disparait, on a un putain de manque affectif. C'est lourd, ça pèse dans le ventre, ça fait mal. Ca donne envie de vomir. On a l'impression de disparaitre, on se sent pas spécialement à sa place. Quelque chose manque, quelque chose nous manque. Et on patauge dans le gruyère, le ventre ouvert et les tripes à l'air. On rampe sur du parquet, on s'accroche comme on peut, on enfonce nos ongles dans le sol. Puis ça dépend de ce qui se passe. Soit on lâche, soit on se hisse difficilement. Ou pas.

Puis j'ai vu l'affiche. Et on va dire que j'ai été sauvée de ce monde de malade pour entrer dans une autre dimension, pire encore. Kohime Pension.

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Sleeping away and away and away... ♪♫

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