~ Erika-chan ~

Invité

••• Dossier d'inscription
••• à la Pension Kohime

Photo d'identité

© Inconnu
• Nom : Hanawa.
• Prénoms : Erika.
• Âge & Date de Naissance : Dix-sept ans, le 26 Avril 1993. (comme moi 8D).
• Nationalité : Japonaise et Anglaise.
• Orientation sexuelle : 100% Hétérosexuelle x).
• Profession : Etudiante.

• Raisons pour lesquelles vous venez habiter à la pension : Indépendance.

• Description Physique :
Ma mère est anglaise, donc forcément, j'allais hériter de ses traits, comme de son caractère d'ailleurs. J'ai les cheveux longs et lisses naturels, pas besoin de lisseur donc. Ils sont de couleur châtain clair descendant jusqu'à mes hanches, attention, je me fâche très vite si on me sort que je suis blonde. Donc donc ... Ou en étions-nous ... Oui. J'ai de grands et beaux yeux noisettes, si pétillants que, en un regard qui séduit plus d'un, ils sont si profonds que vous aimeriez y plonger. Passons maintenant au reste du corps, je ne suis pas plate, j'ai des belles formes, là où il faut. Je ne suis ni petite ni vraiment grande, 1m68 pour 55 kilos, un peu entre les deux je pense. Ma peau est blanche tel la neige, qui, au contact du froid, prend un teint rose. Je rougis facilement, rien qu'en me faisant un compliment, vous pouvez voir à la couleur de mon visage quand je suis gênée. Mes lèvres sont si rouges que vous n'avez qu'une seule envie, les toucher, les embrasser, enfin, si vous êtes un garçon, ou non.
Passons maintenant aux vêtements, c'est très important. Les personnes ayant la mauvaise habitude de toujours se vêtir de vêtements de couleurs neutres, telles le gris, le noir ou même le beige, je n'éprouve aucune difficulté à sortir du lot, même sans mes cheveux châtain clair. J'ai une préférence très marquée pour les couleurs chaudes et vives, s'associant d'ailleurs très bien à mon teint. Rouge, vert et bleu sont les trois couleurs que je favorise tout particulièrement, ayant banni toute couleur sombre de ma garde robe. Je trouve que m'habiller avec des couleurs sombres, me fait paraître triste, je ne supporte pas cela.
• Description Morale :
Après ma description physique, on peut juger immédiatement que je ne suis pas une fille très bavarde. Vu comme ça, on pourrait me prendre pour une fille insociable, ce n’est pas tout à fait cela cependant ça s’en rapproche. Alors ceux qui tenteront de créer des liens avec moi, devront faire très attention à leur attitude. Rassurez-vous, si certains arrivent à être dans mon petit cercle d’amis vous aurez le droit à la Erika qui discute et qui se comporte à peu près comme une fille amicale. Si bien sur, on ne compte pas les amis et le reste, lorsque je suis obligée de côtoyer un groupe de personne comme mes professeurs ou une assemblée d’élèves, je m’exprime avec une aisance très impressionnante. Ce qui a tendance à surprendre les gens qui, ont la chance de m’entendre. Malheureusement peu de gens ont eu cette occasion puisque que je n’ai pas tendance à dialoguer avec autrui et à beaucoup participer en classe. Car la plupart de mon temps, je rêvasse sur toute sorte de chose et regarde fixement les choses qui m’entourent sans bouger. Sinon ma timidité est mon plus grand défaut. Je suis une fille très persuasive qui arrive facilement à convaincre les gens. J'ai du mal à parler en temps normal, ma timidité l'emporte toujours, les gens me qualifient de fille coincée, mais ce n'est pas vraiment cela. J'ai beaucoup de mal à faire confiance, d'ailleurs, je n'ai confiance en personne à part ma famille et mon meilleur ami. Tout ça fait donc que mon cercle d’amis est restreint. On peut alors penser que je n’ai aucune qualité mais heureusement chaque être humain en possède au moins une même moi. Je suis gentille, un peu trop même, et je me fais d'ailleurs à cause de ça berner plusieurs fois. Ça devient de plus en plus difficile pour moi mais je ne peux malheureusement pas changer cela, je ne le veux pas non plus. Car on m'a toujours appris à rester moi-même quoi qu'il arrive. Et puis, si quelqu'un venait à m'aimer, ce serait comme je suis.

Comme pour toute personne normale, j'affectionne des activités mais vous remarquerez sûrement la mienne si vous me rencontrez. Même si mes parents m’ont freiné dans mon rêve, je vivais mon rêve un peu dans leur dos sachant que mon père n’était pas là il y avait de quoi en profiter. Je suis le genre de fille à passer mon temps devant un pupitre, pinceau à la main où devant une feuille de papier, crayon bien tenu à chercher une quelconque inspiration pour me distraire. La moindre petite chose peut être un élément acceptable dans une peinture et dans un dessin de plus j'aime les choses raffinées, belles et originales. Sinon l’autre passion que j'ai est la photographie, vous ne me verrez jamais sans mon appareil photo, comme pour la peinture et le dessins la moindre petite chose peut être source d’inspiration. Même si je suis loin d’être amoureuse du peuple, je n’hésite pas à photographier pour mon propre plaisir les quelques personnes que je croiserais dans les rues. Et donc vous me verrez très souvent dehors à me balader à la recherche de la prochaine source de ma photo. Cependant, je ne suis pas du genre à faire part de mon travail aux autres préférant garder mes œuvres pour moi. Pour le reste, je n’ai pas tellement de loisirs spéciaux si ce n’est de sortir en ville pour mon art ou bien faire du footing le matin très tôt.
• Votre histoire :
Enfance : Le 26 d'un Avril tranquille, il y a de cela dix-sept ans, je naquis à Londres, en Angleterre. D'un père japonais et d'une mère Anglaise, j'avais eu une enfance bien agitée. Je n'étais pas voulue, mes parents m'avaient avoué à l'âge de dix ans que ma naissance n'était qu'un accident. Quoi de plus pour vous perturber sérieusement ? Vous avouer une telle chose à cet âge, ils n'avaient fait qu'empirer les choses. Ils avaient quand même tout fait pour que je sois heureuse. Malgré beaucoup d'actes maladroits de leur part, quand je faisais des bêtises, en même temps, quel enfant de dix ans ne ferait pas cela ? J'avais eu droit à des mots blessants comme "Tu n'aurais pas dû naître, tu ne sers à rien." Ces paroles allaient rester à jamais gravés dans ma mémoire, j'étais trop jeune pour me défendre, je ne pouvais que pleurer. Le vingt-six Avril, jour de mon anniversaire, j'avais maintenant onze ans, ils s'étaient violemment disputés à table, devant moi, et avaient donc décidé de divorcer. J'en en avais assez, ils avaient même pas pensé à ce que je pouvais ressentir, à cause d'eux, chaque année, le même jour. Je n'allais plus fêter mon anniversaire, mais je ne ferais que me remémorer ce qui s'était passé, cela me dépassait d'avoir des parents aussi égoïstes. Je n'allais pas leur pardonner, certainement pas, je n'allais plus les considérer comme des adultes. Leur divorce s'était fait un mois après, mon père décida donc de m'emmener au Japon en le cachant à ma mère. Je m'en fichais de qui allait me prendre, puisque je n'avais pas été désirée, pourquoi ne me laisseraient-ils pas tranquille et partiraient loin de moi ? J'allais me débrouiller toute seule, je n'avais pas besoin d'eux.

Adolescence : J'avais maintenant quatorze ans, cela fait trois ans que j'étais au Japon, je me suis beaucoup attachée à ce pays. J'avais appris à parler cette langue, qui me plaisait énormément, je m'étais beaucoup rapprochée de mon père pendant tout ce temps. Il s'était excusé en m'avouant qu'il ne voulait que mon bonheur, et qu'il m'avait toujours considéré comme sa fille. J'avais décidé de lui faire confiance, oui, j'avais pris ce risque. Je m'étais fait des amis, tout allait bien à Tokyo. Jusqu'au jour ou ma mère avait débarqué au Japon pour me ramener avec elle, là, c'était un combat judiciaire entre elle et mon père. Le juge m'avait demandé avec qui je voulais être, je lui avais répliqué que je voulais rester au Japon, avec mon père. Heureusement, nous avions gagné cette bataille, ma mère était retournée en Angleterre, mais avant son départ. Elle m'avait avoué qu'elle m'enverrait régulièrement beaucoup d'argent pour que je ne manque de rien, et m'avait dit qu'elle m'aimait. Je la serrais fort dans mes bras en lui disant que c'était réciproque, qu'elle allait beaucoup me manquer, et qu'elle pouvait revenir quand elle voulait pour me voir.

Etudes : J'avais maintenant dix-sept ans, j'avais donc demandé à mon père de m'envoyer dans un Lycée connu au Japon pour mes études. Et donc, pour ne pas le gêner, je lui avais demandé de me donner de l'argent pour m'installer dans une pension, il ne revenait que le soir du travail, et je ne faisais que de l'embêter en lui racontant ma journée alors qu'il n'avait qu'une seule envie, c'était de se reposer. Il avait accepté, et m'avait promis qu'il allait venir me voir au moins une fois chaque mois. Il m'inscrit donc à Kohime, plusieurs jours plus tard, j'étais devant cette pension, valises en main, je décidais de prendre un nouveau départ.
• Selon vous, quel groupe vous conviendrait le mieux ? : [ Smile & Nyappy ]

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