••• Dossier d'inscription
••• à la Pension Kohime

Photo d'identité © inconnu [j'utiliserais parfois Okumura Yukio]

• Nom : Boldwin • Prénoms : Theodore • Âge & Date de Naissance : 18 ans, 17 février • Nationalité : Canadien, Toronto • Orientation sexuelle : Homo à moitié refoulé • Profession : Première année à l'université de psycho

• Raisons pour lesquelles vous venez habiter à la pension : « J't'en pose des questions sur tes raisons d'être ici ? T'sais, c'est pas trop tes affaires. Mais comme faut faire presque comme tout l'monde dans l'monde, j'vais t'le dire. Mes parents ont décidé de m'envoyer un an ici pour me faire réfléchir sur la façon de communiquer aimablement avec les gens. Ils m'en d'mandent vraiment un peu trop, mais j'me plains pas, j'aime bien le Japon. Y a des endroits supers sympathiques ici, et peut être qu'en me détendant j'arriverais à m'faire des amis. Sauf que j'mords et les gens aiment pas forcément ça. J'ai quand même un peu de mal à communiquer avec les gens, j'connais pas trop le japonais. Et je vois pas trop pourquoi mes parents m'ont envoyés jusque là-bas. La barrière de la langue m'empêche de m'faire comprendre par toute cette population. D'ailleurs, à tiens, je crois voir passer un européen. Y a p't'être moyen qu'il comprenne l'anglais c'lui là. »

• Description Physique :

« J'suis pas spécialement un beau charmeur... Mais j'manque pas de charisme, ça c'est certain. » Le problème avec son physique, c'est qu'il n'y fait pas réellement attention. Notre bien aimable minet est plus le genre de personnage à arriver en cours sans s'être coiffer les cheveux. Il ne connaît pas le gel pour remettre des cheveux en ordre, et connaît qu'à peine monsieur le peigne. Il ne s'étale pas des crèmes douceurs sur la gueule parce qu'il n'est pas de ce genre de gente masculine. Ses vêtements, c'est loin d'être tout droit sortie de la grotte d'Ali Baba. Il met c'qu'il a sans vraiment réfléchir, il manque de goût vestimentaire, c'est un fait incontournable. Pourtant, ses cheveux noirs-gris qui tombent devant des yeux gris-bleus lui donnent un de ces charmes qui peuvent attirer les regards. « J'ai pas des lunettes pour faire beau et parce que ça me va bien, j'vois que dalle. » C'est une vraie taupe, mais les lunettes lui rajoutent quelques points en charisme. Est-ce que vous le niez ? « C'est pas parce que tu fais deux têtes de plus que moi que j'suis forcément moins fort. » Pas très grand pour un canadien, il ne mesure qu'un mètre soixante et onze. Quoique, au Japon, il se sent tout à coup très grand. Theodore ressemble à l'un de ces frêles bibliothécaires qui passent leur vie dans les ouvrages en tout genre, mais c'est loin d'être le cas. Pourtant, il ne pratique aucun sport, alors, d'où vient cette fine musculature ? Un beau cadeau du tout puissant ou le fruit de nombreux combats de rues ?

• Description Morale :

« T'connais l'ouragan Katrina ? On m'dit souvent qu'il a des airs de ressemblances avec moi. » Et c'est seulement parce les gens ne le comprennent pas, un peu trop virulent à votre goût, il ne fait aucun doute que vous pourriez tout faire pour éviter de le croiser au détour d'un charmant couloir. Notre canadien a l'air bien sage et calme lorsque vos yeux l'observent de loin, la tête haute, le dos droit, on ne peut que deviner qu'il est doté d'un bien fort caractère. Qui donc aurait cru qu'un si charmant être comme lui pourrait avoir un si mauvais caractère ? « Ta gueule l'unijambiste, j'suis aussi agréable qu'l'oiseau qui vient d'se faire bouffer par un chat. Ouais t'as tout compris, j'suis pas l'pauvre oiseau. J'suis plutôt l'chat. » Le vocabulaire de notre canadien n'a pas l'air extrêmement développer, il connaît gros mot sur gros mot, ses métaphores ne font pas toujours sourires, elles dégoûtent parfois cette charmante population. Toujours à râler, il déteste qu'on lui arrache le dernier mot. « Un jour, j'dominerais la planète. J'baisserais le prix des cigarettes juste pour ma gueule. P't'être que j'serais gentil et que j'baisserais les prix pour toi. Si tu m'emmerdes pas trop. » Un peu mégalomane sur les bords, il n'hésitera pas à se prendre pour le roi du monde lorsqu'il sera dans ses meilleurs jours. Que préférez-vous charmants lecteurs et charmantes lectrices, le mec qui gueule sur le premier qui tourne son regard dans sa direction, ou celui qui se prend pour le roi du supermarché ? Theodore, vous l'aviez compris, est loin d'être agréable. Lui qui ressemble comme deux gouttes d'eau au rat de bibliothèque qui passe sa vie et ses journées entières dans les ouvrages poussiéreux est bien loin de ce stéréotype. Ses parents ne sont jamais parvenu à le gérer, ses commentaires ne valent jamais deux sous, ils sont toujours constructifs. Même si la plupart du temps, des mots odieux sortent de sa gorge, c'est seulement pour faire fuir les impétueux qui chercheraient à le connaître. Seul les gentils minets et les princesses qui rêvent d'un pays magique sont susceptibles de le supporter, généralement, votre poing vous démange en sa compagnie. Il ne parle jamais trop, parfois il est même incroyablement silencieux. Mais un rien peu le faire exploser. L'eau chez lui ne dort jamais, car le verre a été brisé, et il ne sait pas contenir chacune de ses émotions. Il ne gère rien du tout. « C'n'est pas parce que je gère rien que j'vais forcément d'exploser la tronche. » Bien que notre jeune homme a l'air d'être quelqu'un de naturellement violent, il a plus tendance à hausser la voix et à péter son câble que de taper sur tout ce qu'il bouge.

• Votre histoire :

« Tu peux pas savoir à quel point la tête du directeur était hilarante quand j'lui ai sortis que grignotait le corps frêle et innocent des p'tites jeunes de ma classe ne plairait pas à sa femme. » Theodore n'a jamais été apprécier par ses camarades de classe et par ses professeurs, souvent à l'écart, on n'a jamais réellement su d'où venait cette soudaine envie de s'isoler. Sa vie n'a jamais été horrible au point que l'humanité toute entière le dégoûte. Ses parents se sont toujours intéressés à son cas et ne l'ont jamais mis de coté à cause de leur boulot. Sa vie aurait pu être un arc-en-ciel s'il n'y avait pas eu cette grand-mère voisine qui lui aurait raconté pleins d'horribles choses chaque fois qu'il passait devant chez elle en allant à l'école. « Quand j'avais sept ans, ma mère n'a pas aimé que je lui dise que j'avais appris qu'elle avait été une prostituée. » Sa mère était rentrée dans une crise qui lui reste encore en travers de la gorge, elle ne l'avait pas frapper, mais ses mots si. Elle avait beau s'être excusé le lendemain de l'avoir menacer de l'étrangler s'il racontait ça à son père, cet évènement avait complètement chamboulé le gamin. Cette grand mère devint la plus fidèle personne, toutes ses conneries, il les confiait à elle. Vol, baston. Même la fois où il était arrivé en sang, elle l'avait accueillis à bras ouvert sans lui demander quoique se soit. Plus les années passés, plus sa santé mentale se dégradait, ses parents le voyaient d'ailleurs assez bien. Mais ne savait pas quoi faire. Ils avaient beau essayé de l'intercepter avant qu'il ne monte dans sa chambre, il ne pipait pas un mot. Seul la grand mère était une dame de confiance. Elle lui disait des choses justes, elle. La vérité, l'unique vérité. Alors que ses parents n'avaient cessé de lui raconter durant toute son enfance que le monde était beau et qu'il fallait vivre avec ses douleurs. Sa mère n'était pas directement la fautive de ce changement, la grand mère pessimiste y était pour beaucoup. « Quand elle a clam'sé la mamie, j'ai pété mon câble et j'ai failli faire flamber notr' p'tain de baraque... Je me suis retrouvé en maison de redressement à l'âge de 16 ans. » On ne pouvait pas dire que cela l'avait beaucoup aidé, les gens étaient encore pires que dans la rue. C'était à quelques points près des gamins désespérés comme lui. Depuis la mort de cette grand mère, ses émotions sont un peu partis dans tous les sens. Même un suivi psychologique ne l'aida pas beaucoup à gérer toutes ces émotions qui le submerger peu importe la situation. Ses notes à l'école n'étaient pas catastrophiques, mais il suffisait qu'il manque une marche pour se retrouver en dessous de la moyenne. « Mes parents ont décidé un jour de me parler du Japon. J'ai pas trop compris pourquoi jusqu'à qu'ils me parlent de m'y envoyer. J'ai même été jusqu'à balancer le couvercle de casserole que j'avais sous la main dans la gueule de ma mère. J'en suis pas fier, faut pas croire... » Le Japon c'est un peu l'autre bout du monde, un univers qu'il n'avait jamais exploité. Les japonais connaissaient paraît-il l'art du respect de l'honneur et toutes ces conneries. Mais n'avait-il pas besoin d'autre chose que ce changement radical ?

• Selon vous, quel groupe vous conviendrait le mieux ? :
[ Fuck off ]

• Bienvenue Theodore e_e ! Bon courage pour ta fiche ! Tu as le droit de m'épouser aussi tu sais D: !

• Bienvenue!!!! \o/ J'espère que tu te plairas ici! ^^ Bonne chance pour ta fiche! (j'adore ton vava!!! Y rooox!!! *//.//*)
  M'enfin! Hâte de lire ta présentation! =3 (j'aime le début xD (Tu sais les japonnais sont très gentils! /PAN!/))
  (si t'as un message à faire passer je suis facteur! #SBARF!!!#)

• Merci beaucoup!ça me fait très plaisir! >//////< *part pleurer!* /PAN!/ xD Il est vrai que la population japonaise y est... trèèèèèès faible xD
  Pour ce qu'il est des colis piégés... Cela ne me dérange pas si je ne le sais pas sinon.... ça pose quelques problème judiciaires! /PAN!/ (je sens que ton caractère va me plaire xD)
  Enfin! Je te souhaite encore bon courage pour ta fiche!! \o/

• °///////° Oh je... tu sais... tu es la première personne qui demande mes services! (ça me touche! /PAN!/ xD) Et puis... pas la peine de me payer! Si je puis t'être utile ça me suffit largement! >.< Tu es fort aimable toi aussi ~
  
  
  (en nature...? °_°' #SBARF!!#)

Validé, Theo, bon rp parminous !