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 Baudelaire, tendre amant.

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Baudelaire, tendre amant. Vide
MessageSujet: Baudelaire, tendre amant.   Baudelaire, tendre amant. Icon_minitimeSam 12 Nov - 4:22

    ••• Dossier d'inscription
    ••• à la Pension Kohime

    © Nom du perso de votre avatar
      • Nom :
      • Prénoms : Riley Lena
      • Âge & Date de Naissance : 11 Novembre, tiens.
      • Nationalité : Britannique
      • Orientation sexuelle : HOMO
      • Profession : Étudiante.

• Raisons pour lesquelles vous venez habiter à la pension : J'ai accompli ma mission.

• Description Physique :

Je suis belle, ô mortels! comme un rêve de pierre,
Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour,
Est fait pour inspirer au poète un amour
Eternel et muet ainsi que la matière.


Ton visage se relève d’une lenteur alanguie et tes iris cramoisis s’apposent sur l’étendu du reflet de ce que tu représentes. Belle ? Te trouves-tu belle, jolie sylphide ? Est-ce vraiment l’éclat qui réside en ces traits embrasés qui façonne ce faciès d'allure si austère ? Ta beauté réside t’elle en ces yeux dénudés de la moindre émotion qui attire le spasme chez le plus éprouvé des pithécanthropes de part leur mésentente imperturbable. Oui, jolie sylphide, tes iris captent l’effroi, de part leur impétuosité et l’évidence d’une folie qui ne se cache nullement de prôner aux tréfonds de ce regard terrifiant. De plus, cette couleur cramoisie que tu dois a un génome à demi achromique, ne diminue en rien la peur que tu octroies en apposant tes orbes sur la moindre des choses. Tu réduis ce que tu effleures de ton regard à l’état d’insignifiant tant l’impétuosité et la froideur qui se lit dans tes yeux est grande. Alors, oui, jolie sylphide, tu es froidement belle, et cette beauté effrayante qui te caractérise attire autant qu’elle ne fait fuir ton entourage.


Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris;
J'unis un coeur de neige à la blancheur des cygnes;
Je hais le mouvement qui déplace les lignes,
Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.


Parlons de ce faciès qui ne semble jamais se parer de la moindre des émotions, jolie sylphide. Serais-t’ il façonné dans de la pierre, tout aussi immuable et froid qu’une statue sempiternelle ? Ton visage est surprenant de permanence, jamais il ne se meut, jamais il ne s’habille d’une quelconque agitation. Immobile et silencieux. Gracieux et fin. Glaciale et austère. Belle et fière. Voilà ce que tu es jolie sylphide. Et pourtant… ce nez qui prône droit au centre de ce faciès n’ajoute qu’a la grâce de ta personne. Et ces lippes ! Ô ces lèvres, véritables ourlets de chair charnus sont une clameur effrénée à la tentation la plus ignominieuse envers ce que tu représentes. Jolie sylphide, passe donc une dextre fine et gracile entre les mèches de ténèbres de ta chevelure interminable. Ô contraste mystique entre la peau translucide de ta main et l’ébène soyeux de cette cascade de cheveux. Quel magnifique oxymore de voir l’apposition de ton derme gibbeux contre ce noir échevelé. Cette crinière qui semble t’entourer d’un halo protecteur est constamment laissée lâche autour de ta silhouette gracile et le vent, amoureux de cette tignasse soyeuse jamais de se lasse de la faire danser autour de toi de ses valses éoliennes.

Les poètes, devant mes grandes attitudes,
Que j'ai l'air d'emprunter aux plus fiers monuments,
Consumeront leurs jours en d'austères études;


La lune se glisse par l’interstice d’une fenêtre, jolie sylphide et fait briller ta peau gibbeuse d’une lueur translucide révélant sous ce derme si fin et immaculé les dessins bleutés que forment tes veines. Tu as fière allure, Riley. Ce corps svelte et gracile au maintien droit et altier ne font qu’ajouter a un charisme qui transpire de ta personne tout entière. Et cette dépouille aux formes plantureuses n’est que grâce et fluidité dans ses mouvements, attirant par delà les âges les regards d’érudits qui ne peuvent détacher leur circonspection de ta démarche sensuelle et sauvage. Tel un félin, létal et indompté, tu sembles continuellement sur tes gardes, près à rebiffer contre la moindre des attaques. Ces hanches charnues, les galbes plantureux de ton buste, le creux de ta nuque qui porte fièrement ton faciès, et la droiture de tes épaules sont des atouts dont tu ne cilles pas à tirer complaisance. Tu déstabilise de part ta beauté grandiloquente mais glaciale. Et cette sauvagerie dont tu fais preuves fait de toi une sylphide des plus effroyables, Riley.


Car j'ai, pour fasciner ces dociles amants,
De purs miroirs qui font toutes choses plus belles:
Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles!


Tu ne revêts que des vêtements tout aussi ébènes que ta chevelure, galvanisant ainsi cette aura froide et terrifiante qui t’enclose. Tes doigts, tes oreilles sont parés de mains anneaux d’argent qui brillent sous le moindre éclat de luminosité. In extenso, quel est donc cette rosace ébène qui se dessine aux creux de ta gorge a l’orée de ton cou ? Es-ce là le tatouage d’une étoile cardinale dénudé d’orientation qui prône en maitre au dessus de ton sternum ? Serais-tu ainsi la boussole de ta propre destinée qui ne se guide qu’aux endroit de sa propre volonté cardinal… ?

• Description Morale : [ En 08 Lignes Minimum ]

Témoignage de Dr Alice Coopers, psychiatre spécialiste des troubles comportementaux dangereux à l’hôpital psychiatrique Johensan Salvatory House.

Le patient 26BW58, répondant à l’appellation de Riley Lena Templemore, âgée de dix-sept ans fut suivie par ma personne durant une période d’exactement 58 heures et trente-deux minutes. Elle fut pour la première fois accueillie par les services de la Johansen Salvatory House afin que j’étudie personnellement son cas. Le patient 26BW58 fait preuve de violents troubles du comportement que je définirais plus particulièrement par de la Sociopathie de niveau Z démontant un manque extrême d’émotion. Après des tests poussés afin de déterminé son seuil de capabilité a « ressentir », il fut convenu par mon équipe et moi-même que le patient 23BW58 ne ressentait ni la peur, ni la tristesse, ni la colère, ni la joie, ni l’euphorie. Elle fut mise a l’épreuve de maintes fois et sembla monter un intérêt tout particulier pour la violence et la cruauté.

Le patient 26BW58 possède un comportement que je qualifierais de létal et sadique. Elle est parvenue de mainte fois à effrayer mon équipe en usant de son corps mais aussi de part l’utilisation d’un langage cru, direct et insidieux, comme si elle parvenait a lire dans les pensées de mes employés afin de briser leur barrières mentales.

Après quelques analyses afin d’évaluer son QI, il a été découvert que le patient 26BW58 fait preuve d’une intelligente au dessus de la moyenne et de la capabilité de lire avec une extrême précision son entourage lui permettant de s’insinuer dans la moindre des failles qu’elle découvre de part ce talent. Elle est même parvenue a m’effrayer plus d’une fois en devinant certaines choses que je n’avais nullement partagé avec elle.

Lorsque isolé, le patient 26BW58 ne s’active a aucune tâche particulière, elle se contente de contempler le ciel dès qu’elle le peut en chantonnant un hymne sempiternelle démontrant un psychose interne sans doute lié à un passé que je devine traumatisant et tumultueux.

En résumé, le patient 26BW58 est un individu dangereux de part son manque apparent de toute sorte d’émotion et de son incapacité a différencier le mal du bien. Elle se sert de son intelligence et sa capacité a lire les gens a des fins controversés et je ne doute pas qu’en plus de sa personnalité de sociopathe, elle est prône a jouir de la douleur des autres. Je ne conseille pas son relâchement dans la société mais le patient 26BW58 s’est enfuie le 19 Octobre à vingt trois heure cinquante huit et cela fait six mois qu’aucune nouvelle d’elle nous a été données.

• Votre histoire : [ En 15 Lignes Minimum ]

Le Léthé
Viens sur mon coeur, âme cruelle et sourde,
Tigre adoré, monstre
aux airs indolents;
Je veux longtemps plonger mes doigts
tremblants
Dans l'épaisseur de ta crinière lourde;

[center]Epilogue[/center]

Ma lame glisse sur son derme déchire sa chair cramoisie. Mes yeux brillent. Mes oreilles se repaissent des cris inhumains qu’il pousse. J’en sourirais presque alors que la lame de mon scalpel continue de tailler de profondes estafilades sur sa peau. Le sang coule en de longue trainées noirâtres. C’est magnifique. Il hurle, et se tortille comme un verre de terre.

Continue, ….cri, plus fort, laisse ta voix se briser, laisse ce corps tenter d’échapper à ma lame en ondulant. Convulse sous la douleur. Regarde moi de tes yeux larmoyant. Comme tu es beau. Ton visage mutilé par une myriade de profondes coupures. Tu as vu ? Ça fait mal, hein ? C’est normal…Je n’ai tranché qu’aux endroit de ton visage où tu regorges de nerfs…Ressens-tu les signaux d’extrêmes détresses que tes ligaments envoient a ton cerveau ? Bien entendu que tu t’épouvantes sous les décharge électriques en plus de la douleur. Ton être te supplie de tout faire pour te soustraire a cette douleur incommensurable, alors tu t’agites comme un diable ruisselant de sang, tu convulses et bave comme un enragé et tu hurles avec la voix la plus déchirante qui soit.

Il n’arrive pas a parler tant il a mal. Ces iris se posent sur moi et là, je ne peux empêcher mon visage pourtant continuellement figé de se parer d’un sourire sadique. Ces prunelles inondées d’eau salée me lance une supplication muette sans équivoque.
Uppercut.

Il s’effondre.
Coup de pied dans le ventre. Une fois, puis deux. Et enfin dans les côtes. Je m’enivre du craquement macabre de ses côtes alors que le sang gicle de plus belle et ses cris déchirants taillade la nuit.

Puis. Le silence. Et l’immobilité.

Dis. T’es mort monsieur ? Allez relève toi qu’on s’amuse encore un peu.

Il ne bouge plus. Il ne respire plus.

Je pose mes yeux sur son corps inerte, toute euphorie ayant quitté mon visage. La lune fait briller d’un rouge macabre l’hémoglobine de l’homme au visage défiguré. Je soupire. Il est mort. Après treize ans, ce connard a fini par crever. Et quelle fin. Peinture d’épouvante d’une vengeance orchestrée. Symphonie lugubre de l’exécution d’un meurtrier. Mélodie sépulcrale d’un achèvement sans pitié.

Leonard Templemore est mort. Mon père n’est plus que cadavre. Me voilà vengée.

Dans tes jupons remplis de ton parfum
Ensevelir ma tête
endolorie,
Et respirer, comme une fleur flétrie,
Le doux relent
de mon amour défunt.



• Selon vous, quel groupe vous conviendrait le mieux ? :
[ Hey ! You're Crazy !? ]

• Code du réglement o/ :
Code:
[hide]Sweet home Alabama[/hide]


Dernière édition par Riley L. Templemore le Dim 27 Nov - 20:30, édité 1 fois
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Baudelaire, tendre amant. Vide
MessageSujet: Re: Baudelaire, tendre amant.   Baudelaire, tendre amant. Icon_minitimeSam 12 Nov - 21:33

I. Love. It. All.
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Kotonoha Katsura
Kotonoha Katsura• Baka, serait peut-être temps
|| de demander un rang !

Messages : 178
Date d'inscription : 12/04/2010
Camp dans la Bataille : Come back.

Carte de pensionnaires
Orientation Sexuelle : Hétéro mais ...
Pseudo Internet:
Mes Relations :
Baudelaire, tendre amant. Vide
MessageSujet: Re: Baudelaire, tendre amant.   Baudelaire, tendre amant. Icon_minitimeJeu 29 Mar - 0:04

Comme d'autres par la tendresse,
Sur ta vie et sur ta jeunesse,
Moi, je veux régner par l'effroi.
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Baudelaire, tendre amant. Vide
MessageSujet: Re: Baudelaire, tendre amant.   Baudelaire, tendre amant. Icon_minitime

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Baudelaire, tendre amant.

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