Asahina
Yui

_{Une si petite étoile dans un si} vaste ciel.

ABOUT MYSELF ••• Dossier d'inscription ••• à la Pension Kohime Photo d'identité © Nom du perso de votre avatar • Nom : Yui. • Prénoms : Asahina. • Âge & Date de Naissance : Le 11 avril, 17 ans. • Nationalité : Japonaise. • Orientation sexuelle : Hétéro. • Profession : Etudiante. WATASHI WA KAWAI ?... Lorsque l'on croise des gens, dans la rue,il est rare que l'on s'attarde trop sur leurs visages ou leurs vêtements, mais on a toujours une petite pensée qui nous traverse l'esprit. Genre " Oh elle est grosse." Ou " Mais quelle poitrine !" ou encore " Qu'il est mignon." lorsque l'on regarde la petite Asahina passé par là, on se dit qu'elle ne devrait pas avoir honte, et cacher son visage, ou cacher son corps. On lui attribue rapidement des mots du genre, mais qu'elle est mignonne, ou alors elle est adorable ou fragile même ou encore coincée.Pour ne pas vous le cacher. La petite Asahina, oui, petite, après tout elle ne dépasse pas les un mètre cinquante huit. C'est ça les japonaises. Petite mignonne et à croqué, non ? Et si on analysait ce petit corps, du bas montant progressivement vers le haut ? D'accord ? Commençons. Des pieds plats. ce qui lui cause un léger problème avec les chaussures. Etant plus jeune, elle devait mettre ses chaussures a l'envers histoire de pouvoir s'habituer aux chaussures. D'ailleurs, aujourd'hui elle ne mets que des mocassins a cuire. De qualité je précise. Ses jambes, sont douce, elle ne s'épile pas, vue qu'elle n'en a pas tant que ça, et les poils qu'elle a son presque invisible, ils sont blond... Donc, des jambes longues et fines, montons jusqu'à ses délicieuses cuisses. Jusqu'ici, elle mets des chaussettes, pour cacher ses jambes, elle n'aime pas trop qu'on la traite de baguette -elle n'est quand même pas si maigre- comme au collège, Et donc, des chaussettes, la plupart du temps a rayures noir et blanche. Si notre délicieuse Asahina soulevait sa jupe, oh tiens avant de regarder sous sa jupe, regardons, ses jupes ! Elle en a tellement. Une jupe courte avec volant bouclé au fond, multicouches en tissus différents, petite ceinture à la taille, des jupes courtes avec volants ou encore des jupes a motifs avec de jolis nœuds papillon noir en ornement, accompagné avec de la dentelles noires et blancs autour de la jupe, en polyester donc la jupe est douce, fluide, légère! M'enfin, vous en avez assez entendus parler de ses jupes non ? Et bien voici le moment que vous attendez tous mes très chers amis. Lorsque notre Asahina se penche vers l'avant, ou s'accroupit, ou encore soulève sa jupe, qu'est que l'on retrouve ? Je ne mentirais pas elle porte assez souvent de petites culottes a rayures, soit rouge et blanc, rose et blanc, noir et blanc, bleu et blanc, ou a petit point, avec de la dentelles, quelque chose qu'elle adore spécialement, aussi, elle ne met que du cent pour cent coton, elle a la peau assez fragile nous dirons, bien... Je ne voudrais pas passer pour une perverse mais j'avouerais qu'elle a de petites fesses, bien ronde, assez bien, sous sa jupe. ♥. M'enfin, arrêtons de parler de ça ainsi, remontons un peu plus vers sa taille, elle n'a pas de ventre - si elle en a un mais pas dans ce sens là -, sans pour autant dire que c'est un mannequin mais de coté, on ne voit rien qui sort de trop. C'est toujours aussi doux en tout cas...Remontons un peu plus vers la poitrine... Et bien, là. C'est tout le complexe de cette dernière, habillée, on ne voit rien, elle est quasiment plate. Mais je dirais que ça tiens dans notre paume de main. Si vous voulez touchez bien entendus. ♥. Et j'ajouterais que le bout est tout rosie. # Mur.# Bref, assez rigoler, je dirais que pour ses soutifs ils sont tout simplement assortis a ses petites culottes, que c'est mignon ! M'enfin, parlons un peu de ce qu'elle porte ici... Pendant ses jours en dehors de l'école elle porte une chemise blanche a volants noirs avec un nœud papillon au col, noir aussi, avec des manches ballons, de la dentelles noires à la base de la chemise, ou encore sa chemise Cat favori, c'est une chemise blanche à petit pois noir et manches courtes. Avec une capuche avec oreilles de chat. Et une broderie de chat dans le dos et sur sur la poitrine a droite. Laçage avec ruban de satin rouge. Vous l'avez devinez ? Que la petite Asahina était une amoureuse du style gothique lolita ? D'ailleurs elle met très bien ce genre de robes noires avec tulles, rubans et passementeries blanches. Laçage au ruban de satin noir au dos. Ça lui va parfaitement ce style là. ♥. Sinon a l'école, elle porte son uniforme, comprenant une marinière manches longues, zip sur le devant et agrafes au col. Le plus est la dentelle à la place des bandes de satin habituelles. en blanc et noir. Et une jupe couleur bleu marine, courte plissée avec élastique. C'est mignon non ? Bref continuons de regarder cette petite et délicieuse Asahina, après avoir parler de tout ça, nous allons, regarder ce dernier petit cou, qui donne si envie... Ailleurs qu'a l'école, elle porte un collier au ras du cou noir a dentelle, en tissus bien entendus, avec une serrure comme pendentif, mais comme vous l'aurez devinez cette serrure est en argent. Son visage, ah oui, je n'en ai pas encore parlé...Je dirais, qu'elle a un menton normal, pas du tout pointus, comme celui des affreux manga comme sailor moon ! Non...Puis au dessus de son menton, il y a de délicieuse lèvres rosies, elles le sont naturellement sans aucun gloss ou rouge à lèvres. D'ailleurs elle s'amuse a les mordiller presque tout le temps, son nez est normal, et elle a de grand yeux bleu, naturellement, d'un air blazer. Ses yeux sont d'un bleu, violacé, ou, violet bleu, je ne sais pas, les deux, c'est un magnifique dégradé qui rend ses yeux si attirant. On pourrait se perdre dans cet océan sublime... ♥. Puis, ses joues, sont normale aussi et rosie, de temps en temps, après elle rougit beaucoup Asahina, jusqu'aux oreilles même. Elle n'a pas le front large de cette idiote de Sakura dans naruto, non un front tout a fait normal juste comme il faut. D'ailleurs n'oublions pas l'essentiel. Ses cheveux. D'un blond éclatant, même s'ils ne gardent pas tout le temps la même couleur, après tout les cheveux reflète notre humeur. Donc, au soleil ou a l'ombre ils sont différent, soit blond claire, soit châtain, voir même orangé des fois. J'ajouterais aussi qu'elle adore mettre une barrette sur le coté droit de sa frange, une barrette en forme de fleure rose, ou de trèfle noir. D'ailleurs, comment se coiffe cette petite Asahina ? Et bien la plupart du temps elle se met des couettes de chaque cotés de sa tête. Les ornant avec des rubans en satin noir, a nœud papillon. ♥ D'ailleurs, ses cheveux sont très très long, ils lui arrive jusqu'au genoux une fois lâché et ils sont très lisse. Voilà, j'espère que quand vous la verrez vous aussi dans la rue vous direz, mais quelle mignonne créature de Dieu. Après tout, elle est totalement adorable, douce, et elle a l'air tout a fait appétissante, oui, je vous donne envie mais n'est ce pas normal entre nous ? C'est bien le but que mon personnage vous donne envie, tout aussi bien qu'il vous plaise. Je tiens a préciser quelque chose que j'ai oublié. La petite Asahina en plus de ses chaussettes hautes, ne se sépare jamais d'une sacoche noir avec un un porte clef en forme de petit lapin gothique noir avec un coeur brisé sur son torse en rouge. Si elle n'est pas une ravissante demoiselle si pure, qui est-elle ? Pas une horreur en tout cas, non. Elle est belle, ce n'est pas la plus magnifique, malgré tout, elle est quand même ravissante. Mais on peut dire qu'elle est le contraire de la petite fillette que tout le monde imagine lorsqu'on dit "Asahina". Ah, j'ai l'impression d'avoir oublié de vous parlez de ses gouts...Flûte. Sa couleur favoris, le violet et le noir. Elle aime les rayures et les tâches de vaches. D'ailleurs son pyjama d'hiver composé de deux pièce, une chemise et un pantalon son taché a la vache. Ou au Dalmatien, a vous de voir. Pas besoin de vous re-décrire l'original, vous n'avez qu'à lever les yeux. Passons à la suite mes chéris.♥. CARACTERE Bien, bien, bien. D'après vous, je vais sans doute faire comme tout le monde, et commencer par dire, Asahina est gentille et tout ça ? Non, j'veux de l'originalité, alors je vais essayé d'éviter de la décrire comme sur toutes les autres présentations.Tout le monde sait que les parents répètent toujours, qu'il ne faut pas se fier aux apparences non ? Est ce que vous les écoutez ? Quand ils disent aussi qu'il ne faut pas parler aux inconnus, est ce que vous les écoutez ? Bien entendus, lorsque l'on a reçus une éducation stricte on devient, comme un robot programmé par ses parents. C'est triste n'est ce pas ? Et bien, c'est le cas de la jeune Asahina. Elle a grandit cernée, par les dires de sa mère, elle croyait tout ce qu'elle lui disait. Si elle lui demandait quelque chose comme par exemple une maison de poupées. Sa mère trouvait rapidement une excuse pour lui dire que c'était pour les grandes filles et que quand elle sera plus grande elle en aura une. Ou alors qu'elle ne doit pas parler aux autres. Qu'elle ne devait pas parler aux messieurs plus âgée qu'elle. Limite si elle avait le droit de jouer. En gros, elle lui disait que le plus important était ses études. Asahina naïve. Oui. Mais le caractère de cette dernière a été décidé par sa mère. Il faut l'avouer. Pour sa mère, Asahina devait se comporter comme une vrai lady.Ravissante et calme. Elle se devait de se comporter ainsi. Depuis son enfance, Asahina est une personne réservée. Petite fille, lorsqu'elle fit son entrée en primaire, elle n’osait pas aborder ses camarades de classe et préférait rester dans son coin. De nature très timide,elle rougissait furieusement pour peu et demeurait seule tant en classe qu’ailleurs. Ses camarades la persécutèrent, alors que la petite fille qu'elle était, à cette époque, était sans défense, frêle et fragile, ignorant comment se protéger. Toutes ces insanités et ces rires moqueurs qu'elle devait à subir la hantèrent même jusque dans ses nuits. Terrorisé par ces années d’éducation, elle parlait si peu que certains pensaient d'elle qu'elle était muette.Elle entra bientôt dans sa période de puberté, et son corps féminin qui se développait l'effrayait quelque peu. Son père eut tôt fait de la rassurer, alors qu'elle devenait une jeune fille et pouvait susciter le désir chez les hommes. Pourtant, en apparence physique, elle avait l'impression de demeurer une petite fille. Malgré cela,elle parvint tout de même à séduire quelqu'un. Et ce qui devait arriver arriva...( Voir histoire. ) Une jeune fille fragile, muette et sans défense, rien de plus attachant. Asahina s'était forgé comme une carapace autour d'elle, depuis son entrée au collège, et elle ne donna aucune chance aux garçons qui tentaient, inlassablement, de la séduire.Du coup on l'appelait Miss baguettes ou Miss coincée.Personne n'avait pensé que c'était malgré elle, personne. A l'école comme à la maison, Asahina restait seule. Soit dans sa chambre, soit sur le toit de chez elle. Avant un certain évènement, la jeune fille parlait normalement. M'enfin, maintenant, sa langue elle la tient, bien a l'intérieure de sa bouche. Un ange ? Oui totalement. Ce que nous avons là est plutôt l'ange parfait. Tout d'abord, Asahina n'est pas si compliquée, ou pas ! Il est parfois difficile de savoir à quoi elle pense, tandis qu'à certains moment, on lit clairement sur son visage. Souvent trahis par ses émotions, on peut donc la qualifier d'émotive. Quand elle est gênée, elle rougit, quand elle a mal, elle pleure, quand elle est heureuse, elle sourit et quand elle est en colère, vous en payez le prix. Ces changement d'humeur presque incessant font l'une des particularités de la jeune fille. Il n'y a pas d'explication très concrète à cela, certains se contenterait de dire qu'elle ne sait pas ce qu'elle veut, d'autres diraient qu'elle se cherche encore (ça c'est un coup des psychologues pour enfant à deux balles). Impossible de trancher, les deux pourraient avoir l'air vrai, mais la tête de la demoiselle est labyrinthique, on s'y perd dès qu'on tente d'ouvrir les portes de son jardin secret. Ne voyez-vous pas qu'elle est si belle ? Peut-être avez-vous craqué. La mignonnette possède une beauté pure et innocente, tel son regard d'enfant, elle vous charme avec tendresse, vous regarde avec douceur, elle rit de sa voix fluette. Asahina, charmante demoiselle comparable à un ange. Voyez-vous maintenant ? Elle est innocente, incapable de faire du mal, voyons... Dans son petit uniforme scolaire, se tortillant de chaque côté, n'est-elle pas à croquer ? Ne désirez-vous pas l'enlevez ? Peut-être, mais la voir souffrir serait trop dure à supporter, une fillette si douce, si gentille, c'est impossible. Asahina est un ange, un vrai. Ces petites manies que nous avons tous, Asahina aussi en a. Elle est certes discrète, mais savez vous pourquoi ? Oui ? Bien sûr que non. La jeune fille se cache tout simplement des liens, pourquoi ? Elle n'y croit pas. Sûre d'elle, sûr de ces propos et bornée, elle ne croit que ce qu'elle veut. C'est impossible de lui faire changé d'idée, elle pourrait sourire pour dire que c'est ok, qu'elle a compris, mais au fond, elle reste profondément persuadé de ce qu'elle pense. Têtue comme une mule, mais certes très intelligente. Parfois on dit qu'elle a un petit pois a la place du cerveau. Mais qu'est ce que vous en savez exactement ? Rien. La jeune fille est facile a vexée a blessée. Et quand c'est le cas sa réaction reste soit normal, soit elle commence a pleuré ou tout simplement a dire tout genre de méchanceté... Tout en restant polis, Asahina est très poli. On dit qu'elle est gentille, adorable... Mais ce ne sont que les dires des garçons. On se demande parfois si c'est bien de leur faire confiance. A cette espèce humaine masculine. Après tout, les filles doivent s'entendre entre elles. Mais Asahina éprouve une grande peur envers elles. Elle ne les détestent pas. Elle en a juste peur. Elle les trouvent compliquées, elles les trouvent stupide de la trouver différente. Mais elle l'avoue elle même. 「 Je suis différente... 」 Donc, elle, elle et toujours elle, Asahina. La jeune fille calme et innocente. Qui reste loin des autres pour soit disant se protéger des sentiments des autres. Cette petite ne comprends pas que les filles a leur age commence a changé, donc si elles remarquent qu'une fille est différente d'elles, elles lui montrent qu'elles la haïssent. Pour la détruire, et la faire changé de camps. Asa connait ça. Asahina connait tout ça. Mais elle n'en a rien a faire. Têtue comme elle est, la jeune fille ne fait attention qu'a elle. Mais quand elle a finalement une amie, elle fait de son mieux pour qu'elle se sente bien en sa compagnie. Mais regrette rapidement lorsqu'elle se rend compte que sa soit disant amie, se fout d'elle. Sans rage sans haine, sans rancune. Asahina s'éloigne encore et redeviens toujours la fille seule et renfermée qu'elle est. Il ne faut pas lui en vouloir, ce n'est pas sa faute. 「 On ne me comprends pas... 」 La petite ne fait jamais attention a ses sentiments lorsqu'elle est avec quelqu'un, elle fait attention aux sentiments de celui a qui elle s'adresse, elle ne veut pas qu'on le blesse, qu'on le vexe, ou que l'on se moque de lui. Elle est comme ça. Et personne ne lui fournis de l'attention en retour. Mais elle n'en veut a personne. A chaque fois qu'elle a un problème avec quelqu'un, elle s'en veut d'abord a elle même et seulement elle. Pourquoi ? C'est simple, elle se reproche d'avoir existé elle souhaite disparaitre ainsi, ce dernier ce sentira mieux... Aimer. Oui, elle est déjà tombé amoureuse. Mais a quoi ça sert ? A être toute heureuse rien que quand la personne que l'on aime nous souris nous parle ? Lorsque l'on ne regarde que lui...Et que notre cœur se mets a battre rien que quand il passe a coté. Et pour finalement l'aimer silencieusement, être jalouse des filles qui l'approche, être jalouse de tout ceux qui on le droit de le voir sourire... D'être a ses cotés, de le toucher et de l'appeler par son prénom. C'est quelque chose qui lui est interdit. Après tout, ce qui compte dans la vie c'est les études ! Ni plus ni moins. C'est que sa mère lui a fait comprendre. Et d'ailleurs des fois elle l'avoue qu'elle a envie d'aimer et d'être aimer...Mais elle a trop peur que tout s'arrête d'un coup. Sa plus grande qualité la gentillesse. Asahina est naïve, elle est gentille, même trop gentille. Ne sachant pas du tout être possessive ou encore agressive, ou même hypocrite. Le pire c'est qu'elle ne sait pas détester les personnes qui lui font du mal. Alors on dirait que son plus grand défaut est sa plus grande qualité, sa gentillesse excessive. Ce qui devient aussi son point faible. N'est ce pas triste ? De devoir se faire avoir a chaque fois ? Mais d'après ce qu'on lui dit cela l'aidera a devenir plus forte après. Bien qu'elle ne fait que se sentir encore plus faible et déprimée. L'un de ses amis, ce qui est rare qu'elle en a lui répétait qu'elle devait avoir confiance en elle, or elle n'a pas confiance en elle. Ce qui la rends la proie de plusieurs personnes qui ne cherchent qu'a s'amuser. Elle est convaincu qu'elle deviendra plus forte après tout ça.Et elle le deviendra. Tics/Particularités J'avouerais que la douce et ravissante créature sous le nom d'Asahina, est assez spéciale. Non, ne riez pas. C'est vrai. D'après ce qu'on voit, on se dira surement qu'elle est normale et que je me fous de vous, mais ce n'est nettement pas le cas. La jeune blondinette a décidé de se faire muette. Ou il n'a pas perdus la parole, mais elle ne parle plus. C'est que c'est assez compliqué. Mais je n'en dirais pas plus, comme ça vous allez pouvoir découvrir ça dans son histoire. Et d'ailleurs je préciserais que quand elle n'a pas de bonbons ou de sucettes, et se mordille les lèvres ou s'arrache la peaux des lèvres... C'est bête, mais c'est comme ça, d'ailleurs, sa mère lui répétait tout le temps d'éviter de faire ça. Aime: Je commencerais par les friandises, elle adore ça, elle en raffole, le chocolat blanc et noir, caramel, les pommes d'amour caramélisé ou au chocolat, les pockys, les bonbons fruitées mais surtout, les sucettes, au citron et a la fraise et même au coca. Ensuite, question routine, elle aime beaucoup le calme et la sérénité. Regarder les nuages traversé le ciel lentement. Se balader en compagnie de son lapin blanc sous le nom de S-kun. Rester seule. Nager dans la piscine quand il n y a personne. Qu'on lui caresse les cheveux. La dentelle aussi. ♥. Tout ce qui est mignon et qui a un rapport avec les lapins. Les rayures aussi. Regarder l'eau couler tranquillement. Et elle a une attirance non expliqué pour les insectes. Les fourmis surtout, elle s'amuse a cherché des fourmilières pour compter les fourmis. C'est idiot certes. Mais elle est comme ça. J'ai oublié de dire qu'elle adore les barrettes et les truc en forme d'étoiles...Euh Truc ? Genre des barrettes et des badges. Aime pas: Ce qu'elle n'aime pas. Je dirais les mensonges et les menteurs surtout. Les endroits trop bondé de gens, n'aimant pas se retrouver seule avec quelqu'un d'autre dans un endroit clos. Elle n'aime pas l'orage et il faut avouer qu'elle a peur des tempêtes. Aussi je dirais que la chaleur elle ne la supporte pas, il lui arrive même de rester dans sa salle de bain dans sa baignoire, pour éviter de sentir la chaleur. Coté vêtement elle n'aime pas les pantalon et les jupes longue, trouvant ça trop gênant pour marcher. Bah oui, ça se met entre les jambes et les cuisses et c'est embarrassant...

ZOMG A-CHAN !
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ♥

Asahina
Yui

_{Chacun porte en lui un lourd} secret.

CHAPTER 1 Son Histoire ? Et bien. Je vous avouerais qu'elle est assez longue. Me lirez vous quand même ? Si oui, je vous demanderez de ne pas la raconter a d'autre ( Me plagier pas. è_é) Bien. Emiko femme ravissante et délicieuse, vivant dans les quartiers chic de Tokyo. Depuis sa plus tendre enfance, elle était mal vue pas ses camarades de classe. Qui la traitait de Barbie. Après tout les japonais ne pouvait être blond, et les garçons devaient bien montrer leur affection de différentes manières.D'ailleurs, Emiko, était complexé par sa couleur de cheveux. Et avait tendance a se cacher ses dernier sous un béret. Mais bien entendus on ne la laissait pas tranquille. Le surnom de boucle d'or la suivit jusqu'au lycée. Mais Bien entendus, les filles jalouse de sa beauté essayèrent de se rapprocher d'elle. Emiko tendre et gentille accepta leur amitié. Et les suivit a la réserve ou elles allaient lui coupé sa ravissante chevelure. Elle en avaient conscience de ce qu'elles allaient faire, mais ne montra point de résistance quand soudainement on ouvrit la porte. C'était Akira. Un très beau jeune homme. D'ailleurs il était parmi les plus beau délinquants du lycée. Il arriva ce jour là les cheveux teint en blond. Emiko, les joues rosies le regardait sans trop comprendre, ce garçon a qui elle n'avait jamais adressé la parole, qui venait l'aider là, maintenant... Il avait l'air énervé et tellement sexy tout en sueur sous son uniforme d'été. Il hurla comme un malade sur les trois chipies qui ne pouvaient rien dire, apeuré elle laissèrent tombé la paire de ciseau a terre et sortir de la réserve en courant. Emiko se retrouva alors seule en face de ce jeune homme. Elle se sentait toute bizarre le regardant de son air surprise. Ce dernier croisant son regard rougit violemment et s'approcha pour lui hurlé a la figure. « E-EMIKO-San !! Ne fais pas attention aux fausses paroles des autres ! Tu as une très belle chevelure et tu es jolie comme ça ! » Lorsque ce dernier se rendit compte de ce qu'il avait dit, il ressortit rapidement de la pièce la laissant seule assise par terre. Avec une envie de fondre en larme. C'était la première fois qu'on lui disait qu'elle avait de beaux cheveux. Et ça la rendit assez heureuse. Cette dernière, se redressa regardant les ciseaux a terre puis quitta la réserve. A la fin des cours, elle vit Akira, devant l'entrée du lycée qui la regardait l'air furieux il semblait l'attendre, non il attendait surement une autre personne, impossible que ce soit Emiko. Elle passa juste devant le coeur battant a tout rompre, lorsqu'il la rattrapa par son sac la regardant de son air tout timide. Faut dire qu'un délinquant qui rougissait c'était pas tout les jours qu'on voit ça. Il se proposa pour la raccompagner et timidement, elle accepta sa proposition. Tout le long de la route, ils n'osèrent pas vraiment se parler, lorsque finalement Emiko dit. « Je suis arrivée. » Akira fut grandement surprit de voir sa demeure, ça ne ressemblait pas a une maison mais a un château ! Toussotant il regarda Emiko et lui dit sur son ton fier et sûr de lui. « Je te raccompagnerais tout les jours, comme ça elles éviteront de t'embêter. » Il esquissa un léger sourire et s'en alla rapidement, pour pas qu'elle refuse sa proposition. Ce jour là. Ils étaient tombé amoureux l'un de l'autre. N'était ce pas mignon ? Les jours d'après, la rumeur comme quoi Akira était devenus l'esclave d'Emiko retentit dans tout le lycée. Ce qui l'énerva. Et ce qui gêna Emiko. Elle était source de problèmes là non ? Triste elle alla le voir, pour finalement lui demander de ne plus lui parler parce qu'elle était source de problèmes. Il refusa simplement et continua a la suivre partout. Jusqu'au jour ou il découvrit qui était la personne qui racontait ce genre de sottises. C'était son meilleure ami, Saito. Enervé il le plaqua contre un mur et lui hurla dessus, voulant a tout pris comprendre pourquoi il faisait ça. Sa réponse fut simple et brève. « J'n'veux pas vous voir ensemble, je suis amoureux d'Emiko. » Les deux amis, étaient tout deux amoureux de la même personne. Akira se sentait perdus devant la bêtise de Saito et son amour caché pour Emiko. Il le poussa et s'en alla errant toute la nuit dans les bars. Revint saoul devant la demeure d'Emiko avec une guitare. Jouant maladroitement et chantant une stupide sérénade. « Emikoooo, ma douceuuuh roseuuh de la nuit. ♥. Je t'aime vraiment très foreuuuh. Mais je sais pas quoi faire pour devenir le prince de tes rêves. EMIKOOOO EMIKOOO ! » C'est soudainement qu'il reçois l'oreiller d'Emiko sur la tronche, les joues rouges, elle le regardait depuis le balcon, ce dernier croisa son regard et lui fit une révérence lorsqu'un voisin se mit a hurler. « Y EN A QUI DORMENT MERDE ! JE VAIS APPELER LA POLICE. » Le paysan s'échappa envois un baisé dans les airs a la jeune fille qui l'attrapa et le colla a son cœur souriante. Les joues toujours tomate elle revint dans sa chambres en tournoyant sur elle même et finit sur son lit l'air tout amoureuse, serrant son ours en peluche contre elle, elle souriait, semblait paisiblement heureuse. D'ailleurs a cause de ce charmant paysan, cette douce princesse ne pu s'endormir cette nuit là. Mais le lendemain matin, elle était radieuse, même avec des cernes sous les yeux. Elle était belle quand même. Et elle n'osait pas regarder Akira qui d'ailleurs, lui avait un mal de chien a la tête. Fallait s'y attendre ! Ce n'est que pendant la récréation qu'il alla la rejoindre sur un banc s'allongeant et déposant sa tête sur ses cuisses pour réclamer amour et tendresse. Et d'ailleurs Emiko lui en offrais. Au loin Saito les regardait, l'air mécontent de ne pas avoir droit a ce genre de gestes et décida d'avoir Emiko avant son meilleure ami. C'était dégueulasse nous dirons.Il alla en classe pour prendre un cahier et un stylo et se mit a écrire, une lettre. « Emiko...Ma tendre. Rejoins moi dans la réserve après les cours. Je t'y attendrais Emiko...Je t'aime tellement. Avec tout mon amour Akira. » Cette lettre il la déposa sur le bureau d'Emiko qui après avoir lu ce petit mot, passa ses heures de cours a se demander ce que lui préparait Akira. Mais c'était quand même louche qu'il lui demande de le rejoindre là bas. Mais bon, idiote comme elle est. Elle ne se doutait de rien. Et après les cours alla rejoindre celui qu'elle croyait être Akira dans la réserve. Dans la réserve il faisait noir et la lumière ne marchait pas, elle pénétra timidement, hésitante quand même lorsque soudainement elle sentit des bras autour d'elle ne pouvant hurler croyant que C'était Akira. Saito la plaqua contre le mur l'empêchant de voir son visage. Lorsque soudainement, Akira apparus comme un héros assommant Saito il attira Emiko loin de lui et sortit de la réserve énervé, il l'a conduit rapidement jusqu'à chez elle. Cette dernière pour remercier ce valeureux chevalier déposa un baisé contre ses lèvres et s'échappa rapidement allant ouvrir la porte puis la referme rapidement, laissant Akira là, les joues rouges ne comprenant pas vraiment ce qui s'était passé a l'instant. Cela faisait, genre cinq minutes, qu'il était là aussi troublé, Emiko ouvrit la porte et revint lui dire a l'oreille deux mots que l'on connait tous. « Je t'aime... » Sur ces mots elle revint a nouveau a l'entrée refermant lentement la porte ne le quittant pas du regard.Ce dernier baissa la tête mis ses mains dans ses poches et se retourna pour marcher un peu plus loin, elle fut triste de ne pas le voir répondre a ses sentiments, lorsqu'elle l'entendis hurler du bout de la rue qu'il l'aimait aussi. Elle se sentit embarrassé. Et préféra retourner dans sa chambre silencieusement, pour finalement se jeter sur le lit et s'enrouler dans la couette répétant qu'elle l'aimait. Vous allez me dire qu'on dirait une histoire a l'eau de rose ? Et bien c'est le cas. Mais bien entendus les parents d'Emiko n'étaient pas d'accord sur le fait qu'elle sortait avec un délinquant comme Akira. Et donc, son père, alla parler a ce dernier. Lui demandant de ne plus toucher a sa fille sur un ton plutôt menaçant, mais c'est alors qu'Akira fit preuve d'élégance et refusa simplement répétant qu'il aimait Emiko et qu'il voulait être a ses cotés. Le père d'Emiko pensait que c'était ça la jeunesse, mais en fait non... Au vacances d'été, Akira arriva habillé en costume de pingouin et demanda la main d'Emiko. Il était même accompagné de sa mère, qui était vraiment charmant, se mettant a genoux devant Emiko il répéta. « Oh princesse de mes, rêves accepteriez vous un simple paysan comme moi en tant que maris ? » C'est a dire qu'a ce moment là, les parents de la jeune fille prirent conscience de leur erreur ils avaient mal traité le jeune homme sans le connaitre, comme quoi il ne faut jamais se fier aux apparences. Et c'est là, l'histoire d'Emiko et Akira ma petite Asahina... Dis en déposant un baisé sur le front de notre bébé. Oui, comme je passais mes nuits a l'hôpital avec elle, je racontais chaque nuit, la même histoire, pour lui montrer a quel point ses parents s'aimaient et s'aime toujours. Dis-je en adressant un sourire a Akira qui déposa un baisé sur mon front. Puis celui de notre petite fille, et comme vous l'aurez devinez, nous nous sommes marier et nous avons aujourd'hui notre premier enfant ensemble. Bien que j'étais persuadé d'avoir deux enfants en moi. Alors a ma grande surprise après que je me sois réveillé dans ma chambre d'hôpital, on ne m'annonça que je n'avais qu'une jolie petite fille. Vous me direz et l'échographie ? On en a pas fais, histoire d'avoir la surprise de découvrir si c'était une fille ou un garçon... Je n'en ai pas parlé a Akira, pensant qu'il me traitera de folle. J'ai juste remercier Dieu de m'avoir offert cette charmante enfant, si petite et si frêle dans mes bras et qui souriait tel un ange quand je la berçais. Après quelques jours nous avons pu revenir a la maison, mes parents étaient heureux de voir ma petite fille, maman la trouvé ravissante et mon père ne cessait de répéter qu'il était grand père, j'en avais les larmes aux yeux restant dans les bras d'Akira qui semblait aussi si heureux. Ajoutant que les deux princesses de la maison devaient se reposer, il me souleva dans ses bras pour me conduire, a notre chambre suivit de mes parents qui ne cessaient d'embrasser Asahina. Akira me déposa sur le lit puis mes parents me laissèrent la petite que j'ai déposé prêt de moi, elle était sage et ne pleurait presque pas, a part quand elle avait faim. Et la nuit, elle arrivait a dormir entre nous deux, sans se faire écraser, et heureusement, parce que Akira au début, n'était pas du tout habitué et marmonnait toute la nuit. Il ne savait même pas de quel coté dormir qu'il finissait par dormir sur une chaise et gueulait le matin qu'il a mal aux os. Puis un jour, l'idée de revenir a l'hôpital demander me revint a l'esprit, et j'y suis aller demandant au docteur qui m'a fait accouché si j'avais vraiment qu'un enfant. Elle m'affirma que oui. Et en sortant une infirmière m'attira dans un couloir, elle était en larmes, le visage rouge les mains tremblante elle m'affirma que j'avais donné naissance a deux enfants. A des jumeaux, un garçon et une fille. Et que le docteur avait vendus, son autre enfant a une autre famille ou la femme ne pouvait donner naissance. Je ne savais plus quoi pensé serrant mon enfant contre moi, mes larmes commencèrent a s'échapper pour finalement être partager entre un sentiment de colère et de tristesse que je ne savais plus comment agir...Je ne pouvais pas continuer a vivre sans savoir ou était mon autre enfant. En le lui demandant elle refusa de me dire ou il était et je suis revenus dans le bureau de ce docteur pour lui toucher deux mots. « VOUS ! Salopard fumier ! Comment avez vous osez me prendre mon enfant !! Comment vous êtes vous permis un tel acte ! POUR qui vous prenez vous ? » Ce dernier me regardait furieux d'avoir su que je l'avais découvert, mais il me lança un simple sourire en disant que je n'avais aucune preuve de ce que je disais et il avait raison...On m'a chasser de l'hôpital et je suis rentrée en voiture. Je n'étais pas en état de conduire. J'avais un mal de tête insupportable, l'envie de pleurer, d'hurler. En arrivant devant chez moi, je ne savais pas comment j'allais dire ça a tout le monde...Je devais garder le secret et faire comme si de rien n'était ? Peut être que mon enfant vivra mieux Avec l'autre famille ? Je ne savais plus du tout comment réagir. J'étais perdus, c'est alors qu'Akira arriva en donnant quelques coups faible a la vitre de la portière, il me fit sursauté. Et me voir ainsi a fais disparaitre le sourire qu'il avait sur le visage.Il ouvrit la portière et s'approcha de moi inquiet, je n'ai pu retenir mes larmes, et je me suis jeté a son cou, il n'avait rien compris, il m'aida a me sortir de la voiture fermant la porte derrière moi, me serra fort contre lui ne comprenant pas ce qu'il m'arrivait il me demanda de rentrer, s'occupant de chercher Asahina. Et me suivit a l'intérieure, en rentrant je n'ai adressé aucun regard a mes parents pas même un bonjour, je suis monté rapidement dans la chambre et je me suis diriger vers la salle de bain ouvrant le robinet me mettant directement sous l'eau, avec mes vêtements. Akira qui venait de rentrer a du expliquer a mon père ce qui n'allait pas, mais il ne savait même pas. Il laissa Asahina a ses grand parents et monta me voir, remarquant que je n'avais pas pris la peine de me déshabiller pour me mettre sous la douche, Il m'a suivit et ma serrer aussi fort qu'il le pouvait dans ses bras. Me demandant de me calmer et de me dire ce qui n'allait pas. J'hésitais et c'est là que je lui ai tout dis... Akira était choqué, partager entre la colère, la peine. Je pouvais le lire sur ses yeux, et ses bras qui me serrait contre lui. Je ne me rappelle plus trop après, j'ai juste sentis ses lèvres sur les miennes et je me suis endormis... Il m'avait même porté jusqu'au lit. ♥. Et quitta la chambre, puis la maison. A minuit, il était rentré, l'eau coulait dans la salle de bain, j'avais mal a la tête.Me redressant en regardant dans le berceau a coté Asahina dormir, me passant les deux mains dans les cheveux. Me dirigeant maladroitement vers la salle de bain, lorsque ce que j'ai vue me fis frissonner, Akira avais les mains en sang. « Akira ...? Qu'est ce que tu as, qu'est ce qui s'est passé ? » Akira ne répondait pas, il reniflait, les joues sales il avait pleuré, j'ai tout de suite compris ce qui s'était passé, je me suis rapprocher l'enlaçant par derrière. Il se mit a trembler puis se retourna pour me serrer a son tout sanglotant il n'arrivait plus a dire un seul mot, il était tellement perdus et dans ses bras je chialais. Au final, nous avons dormis dans la baignoire. Et le matin c'était Ma mère qui nous avait réveillé. Puis au petit déjeuner on leur a tout expliqué, et Akira avait dit qu'il était allé lui défoncé sa gueule, et c'était bien fait pour ce médecin qui a osé faire ça. Grand père en l'aillant appris avait faillis avoir une crise, heureusement que j'étais médecin aussi. Et je m'occupais principalement de mon père. Akira était sur son fauteuil énervé il monta ensuite dans la chambre nous laissant. Après m'être occupé d'eux, je suis monté le rejoindre il s'amusait avec un air innocent avec Asahina...Nous ne pouvions rien faire pour récupérer notre enfant,et on en étaient conscient mieux vos avoir Asahina, que les perdre tout les deux. On avaient certes compris, mes pas mes parents. Ils n'avaient pas hésité a prendre la voiture cette nuit là.Et d'ailleurs ils ne revinrent jamais. Shizuna Mizuhashi et Ryusuke Thôru étaient mort dans un accident de voiture. Shizuna morte d'une hémorragie interne et Ryusuke d'un arrêt cardiaque immédiat. Une semaine après les funérailles. On étaient devenus trop occupé et on avait personne pour garder Asahina qui grandissait jour après jour. J'ai donc arrêté le travail, laissant Akira s'occuper De la petite compagnie de mon père.Il était devenus occupé; très occupé. On avait même plus de temps pour nous deux.Ce qui me stressais assez. Ma vie fut paisible et calme ainsi, Asahina grandissait petit a petit, et en Avril, le onze de ce mois ci nous avions fêter les deux ans de notre petit ange. A son premier anniversaire, toute la famille réunie, On a découper le gâteau puis Akira est retourner au boulot, nous laissant moi et Asahina. Il lui avait offert une barrette, une barrette en forme de fleure rose. Elle était tellement jolie. « Quelle petite veinarde ma chérie. ♥. » Mais en y repensant, ne pas pouvoir fêter l'anniversaire de mon autre enfant, me rendait légèrement triste.L'heure d'aller au lit arriva prenant Asahina dans mes bras pour la conduire, a sa chambre. Oui, on avait une chambre rien que pour elle. La déposant dans sont lit je l'ai embrassé et je suis retourner ensuite dans le mien, soupirant de ne plus avoir droit a l'amour que me portait Akira. Je me sentais, seule, pour la première fois de ma vie en famille, et sincèrement, j'espérais que ça n'allait pas durer. Une année passa paisiblement, les jours étaient presque identiques, notre ange avait l'aire d'une adorable poupée française avec ses bouclettes. Elle faisait son entré a l'école ce jour là et n'avait pas du tout envie d'y aller, je la trouvais mignonne, c'était la première fois qu'elle boudait. Je suis descendus, et je l'ai fais descendre aussi, elle chialait, je me suis accroupie pour lui dire a l'oreille. « Ca iras ma chérie, ne t'inquiète pas, je reviendrais à midi, je t'aime fort. » A ces mots elle se calma et me suivit vers l'entrée, puis m'attrapa la main me demandant de me pencher, et elle m'embrassa sur le front répondant a mon je t'aime par un autre. N'est elle pas adorable et mignonne ? Elle partie ensuite prenant la main de son professeur qui la conduit en classe. Je ne mentirais pas, j'étais inquiète Akira aussi, il appelait toutes les 10 minutes. Et moi je faisais les cents pas devant l'école je suis allé cherché un café et je suis revenus regardé l'entrée de l'école j'étais vraiment stressé, mon cœur battait tellement vite et fort que ça me faisait mal. Et puis a midi, Asahina sortit en larmes et couru vers moi mais trébucha avant d'arriver et ses petits camarades vinrent se moquer d'elle. Elle ne put que pleurer beaucoup plus fort je me suis précipité vers elle la prenant dans mes bras pour la consoler, grondant les autres garçons. Asahina pleurait dans mes bras comme elle ne l'a jamais fait, alors, énervée je l'ai fait monté dans la voiture essayant de la comprendre, lui demandant de se calmer ses premiers mots furent. « Mama, ils sont méchant avec moi, je ne veux pas revenir ! » J'avais l'air encore plus triste qu'elle, je l'ai serré contre moi lui caressant les cheveux répétant pas tout bas que c'était la vie et que c'était comme ça que l'on grandissait je lui ai fais comprendre qu'après ça elle deviendra plus forte comme son père. « C-comme papa ? » « Oui, ma chérie, comme papa et encore plus forte encore. ♥. » Elle esquissa un simple sourire alla s'assoir derrière en me disant qu'elle continuera a venir à l'école toute sa vie, si elle va grandir et devenir comme son père. Cela m'a fait rire, j'ai mis ma ceinture de sécurité et j'ai fais démarré pour conduire et revenir chez nous. Cet après midi là on s'est amusée a joué a la princesse et Asahina s'était tellement amusée qu'elle n'a même pas attendus le retour d'Akira pour s'endormir. Je l'ai porté a son lit et je me suis assoupit a ses cotés. Vers Minuit, j'ai sentis des lèvres contre mon cou puis ma joue, Akira était rentré, il m'embrassa et me souleva pour me déposer au lit s'allongeant a mes cotés, me murmurant qu'il m'aimait, je me sentais heureuse...Passant mes bras autour de son cou, j'ai déposé mes lèvres sur les siennes, les pressant chaudement, alors qu'il me caressais le dos. Laissant chance a nos langues de se toucher a plusieurs reprises, je l'avoues, qu'il m'avait tellement manqué, je n'avais droit qu'a de simple baisé...Mais là. ♥. Ma patience sera récompensé. Je ne raconterais surement pas comment ma nuit s'était passé, douce au miel, plein d'amour et de tendresse, a chacun de ses vas et vient je me sentais comme rassasié, je l'aimais cet homme au dessus de moi, je l'aimais cet homme en moi. Akira était absolument tout pour moi après Asahina. Lorsqu'il jouit enfin, et me fit jouir aussi, nous sommes resté l'un contre l'autre, la main dans la main. J'arrivais a sentir son cœur battre fort contre ma poitrine, ça faisait battre le mien aussi a la même cadence, son corps chaud sur le mien, ses lèvres sur ma peau. Un pur délice a ne savourez que moi toute seule. ♥. Le lendemain, Akira n'était plus là. Ce qui m'avait légèrement déçus. Je suis aller voir dans la chambre d'Asahina qui n'était pas ans son lit, en fermant la porte de sa chambre j'ai remarqué le mot accroché à la porte. Akira l'avait emmené a L'école... Elle devait être toute contente. Et ce fut le cas l'après midi en rentrant elle avait l'air plutôt souriante, mais réticente, elle n'avait pas faim ce qui d'ailleurs m'intrigua. Après quelques mois, elle se comportait toujours, plus calmement, ne souriait plus, ne jouer plus, je lui faisais tellement comprendre que l'école c'est important, qu'elle ne faisait que m'écouter et faire ce que je lui disais, personnellement, je trouvais Asahina, la parfaite enfant modèle. Ma femme, Emiko, avait laissé son travail pour s'occuper d'Asahina, et j'admirais vraiment cet action, j'avouerais que ma joie n'était pas vraiment complète, je n'avais pas retrouvé notre second enfant.J'avouerais que ça m'a vraiment déstabilisé ce qui s'est produit. *se passe une main dans les cheveux.M'enfin, Les trois années qui suivirent furent les dernières que nous allions passé entant que famille. Pourquoi ? Et bien...Ce n'est pas ma faute, ni celle d'Asahina. A ses trois Asahina passait déjà ses journées d'été assise devant la piscine de notre jardin, n'osant jamais se mettre en maillot de bain et y nager, d'ailleurs en tant que popa, j'essayais de lui apprendre mais elle n'aimait pas trop ça. Elle avait trop peur de la profondeur. M'enfin, même quand je la portais sur mes épaules, elle n'aimait pas ça, alors bon. Elle restait au bord, et je venais l'embêter histoire de la voir rire, mais rien, Asahina semblait tellement loin de nous, qui étions ses parents. Puis vint la fois ou nous sommes aller a la plage, on était sous notre parasol, la surveillant elle qui jouait au bord de l'eau et sauté sur les petite vague. En tournant la tête un court instant elle avait disparut. Effrayer en s'était mis a la cherché partout, a demander aux autres gens, mais rien, personne ne l'avait vue, Emiko pleurait et ça me mettait la pression j'étais énervé et peiné de perdre ma fille comme ça, de plus jamais la revoir ? Ce n'est qu'après que tout le monde soit partit que l'on découvrit Asahina dans le parking entrain de nous attendre en pleurant, en s'approchant d'elle en la serrer fort contre nous lui demandant ou elle était passé, sa réplique fut : « Je-je vous trouvais plus et...Et j'ai pensé que vous m'avez oubliez...Et je suis venue ici... » Bien sûr jamais on ne fera ça, Emiko la serrait fort contre elle sanglotant, montant a l'arrière de la voiture avec elle, ne la quittant plus, je peux dire. Que ce jour là, c'était la première fois que je voyais Emiko agir ainsi. Une fois chez nous, on avait pris un bain tous ensemble, bien sûr que j'avais mon caleçon, je pouvais pas laisser ma fille voir, mon hum hum. *toussote.* M'enfin, nous avons même dormis dans le même lit, un bisous chacun, Un pour maman, un pour Asa, et un pour moi, un pour Asahina, et deux pour moi et deux pour maman, adorable notre enfant. ♥. A son anniversaire de cette année, elle avait reçus un ours en peluche de la part d'Emiko et de ma part un jolie petit lapin blanc,et elle n'arrivait pas du tout a se décidé pour son nom, chaque minute, il en avait un nouveau, tant qu'elle s'amusait, je pense que tout allait pour le mieux. Et c'était tant mieux. Les annèes qui suivirent furent assez rudes, on arrivaient plus a s'entendre entre nous, moi et Emiko, elle fatiguait et moi aussi. Savez vous ce qu'est "la chance" ?Beaucoup de gens disent que c'est une chose qui n'arrive qu'aux autres.D'autres disent que si ça leur arrivent c'est grâce aux prières ou à un porte bonheur...Et puis il y a aussi ceux qui disent que c'est parce qu'il sont né comme ça! Mais moi je vais vous dire ce que c'est "La chance" réellement !!C'est un sentiment inventé par l'Homme pour se faire croire qu'il est heureux. Car si on observe bien la chance est différente pour tout le monde;Il y a ceux qui trouvent un billet par terre, ceux qui ont un amoureux pour la vie, ceux qui réussissent leur carrière...Bref la Chance est une chose bien relative!Si ma chance devait se limiter à trouver un billet par terre je ne serais pas contre... Pourquoi? Parce que ma vie n'est qu'une accumulation de malchance, enfin, jusqu'à ce jour où je devint libre.Mais ne dévions pas le sujet, avant de vous parler de ce qui est arrivé a ses cinq ans. « Ce n'est pas vrai ma femme ne peut pas me faire ça, elle ne peut pas me laisser. » Ce fut les mots qui résonnèrent dans notre demeure.Dans un coin je pleurai, Pourquoi ? Pour qui ? Asahina devait s'en poser des questions en venant me rejoindre avec son ours en peluche a la main. Ça n'a fait que me rendre encore plus triste. Mais comme tout les parents ils n'aimaient pas qu'on les voit juste au moment ou ils se sentant faible. Au début je lui ai demandé de revenir dans sa chambre sur un ton assez blessant puis finalement je l'ai attiré vers moi et je l'ai serrer fort, aussi fort que je le pouvais.C'est a ce moment qu'elle a du deviner que je n'allais pas bien, me caressa les cheveux de sa petite main répétant que je ne devais pas pleurer sinon les garçons vont se moquer de moi, je me suis sentis vraiment faible. Deux jours plus tard, nous nous sommes rendus au cimetière. C'était les funérailles de ma femme, Asahina a cet age ne comprenait pas ce qui arrivait là. serrant ma main, moi qui pleurait comme une femme elle me consolait; mais n'arrêtait pas de me demander si elle allait revenir Emiko. Les jours qui suivirent j'ai sombré dans la drogue et l'alcool, je ne rentrais presque plus a la maison « Elle est partit... » CHAPTER 2 De bar en bar après le boulot, je rentrai jusqu'au petit matin déposer de l'argent sur la table pour ressortir ensuite aussi rapidement que je suis rentré.Vous vous demandez surement ce que ressentais Asahina aussi ? A cet âge on ne comprends pas tout, mais la seule chose que je faisais c'était l'embrasser en rentrant et en sortant. Je jugeais ça utile, mais l'odeur de la bière qui émanait de moi devait lui être très détestable. A six ans, elle s'occupait déjà de la maison, et parlait très rarement, elle allait a l'école et revenais s'occuper de son animal favoris, Monsieur Blanc. Le lapin que je lui avais offert. En revenant un soir, saoul, j'ai remarqué une ambulance devant chez moi et une foule, je me suis garé et je suis descendus de la voiture. Pour m'incruster dans la foule et découvrir Asahina qui pleurait assise dans une marre de sang avec son lapin dans ses bras. J'ai eu le choque de ma vie à ce moment là...Et ça m'appris qu'Asahina avait besoin de moi, pas d'animaux stupide qui court dans la rue sans raison. Pour se faire écraser... La suite...Asahina la contera... Savez vous ce qu'est "la chance" ?Beaucoup de gens disent que c'est une chose qui n'arrive qu'aux autres.D'autres disent que si ça leur arrivent c'est grâce aux prières ou à un porte bonheur...Et puis il y a aussi ceux qui disent que c'est parce qu'il sont né comme ça! Mais moi je vais vous dire ce que c'est "La chance" réellement !!C'est un sentiment inventé par l'Homme pour se faire croire qu'il est heureux.Car si on observe bien la chance est différente pour tout le monde; Il y a ceux qui trouvent un billet par terre, ceux qui ont un amoureux pour la vie, ceux qui réussissent leur carrière... Bref la Chance est une chose bien relative! Si ma chance devait se limiter à trouver un billet par terre je ne serais pas contre... Pourquoi? Parce que ma vie n'est qu'une accumulation de malchance, enfin, jusqu'à ce jour où je devint libre. Mais ne dévions pas le sujet, avant de vous parler de mon aventure, je dois tout vous expliquez depuis le début; Sinon vous ne comprendrez rien du tout! J'ai pleins de choses à raconter sur dix huit ans...Bien que jusqu'à mes cinq et six ans c'est plutôt flou, comme tout le monde en fait! « Elle est partit... » Mon père le répétait tellement de fois, il semblait vraiment bouleverser par ce terrible évènement. Vous vous demandez surement ce que je ressentais aussi ? A cet âge on ne comprends pas tout, mais la seule chose que je faisais c'était consoler mon père.Il a sombré dans l'alcool mais a sut refaire surface et j'admire particulièrement ça chez lui. Depuis mon père est devenus mon univers, avec lui je m'amusais, j'étais vraiment heureuse, et les années passèrent, j'avais quinze ans quand j'ai été accepté a un bon lycée.Et pour fêter ça, mon père a voulu m'emmener déjeuner dehors, j'étais vraiment contente. Au restaurant j'hésitais vraiment, je ne savais pas quoi choisir à manger et finalement je n'ai demandé que des pâtes et une boisson gazeuse. Pendant que je mangeais mon père n'a pas arrêter de me dire a quel point je ressemblais à maman. Ca le rendait triste même s'il souriait je ressentais le poids de la tristesse qui pesait sur son coeur. Et ça me faisait de la peine parce que quand je voulais pensé a maman et que je fermais les yeux en y pensant très fort je n'arrivais pas a avoir d'image d'elle. Rien. Une fois fini je suis allée aux toilettes en disant a mon père de m'attendre au parking. Alors que je me lavais les mains j'ai entendus mon père m'appeler, je me suis dépêcher de sortir quand je me suis subitement arrêté surprise, mon cœur avait fait un bond dans ma poitrine. Ma gorge se nouait, et j'avais l'impression qu'elle s'enflammait, mon corps était comme pétrifier.Mais yeux devenaient de plus en plus humide, plus je regardais la scène devant moi, plus je me sentais encore plus mal. Il y avait...Papa. A terre, sous la roue d'un camion, son corps déchiqueté, il y avait ses organes qui sortait et une énorme marre de sang, son visage regardais vers moi, il était pâle et couvert de sang. J'ai hurlé, j'ai crié j'ai pleuré, aussi fort que j'ai pu. J'ai accourus a ce dernier m'étalant juste devant, pour me redresser et m'approcher a quatre pattes lui tenant la tête entre mes mains, l'appelant mais il ne répondait pas. Le blanc de ses yeux était devenus rouge, ses dents blanche l'étaient devenus aussi, son torse était coincé sous la roue, je regardais ses organes. Sans vraiment réfléchir je me suis mise a ramasser son corps essayant de tout réunir pour finalement me couvrir de sang. « P-papa...N-non, ne me laisse pas... Je t'en supplie... Papa... » J'avais beau lui parlé il était mort, aucune réponse. Quelques minutes plus tard les policiers, et l'ambulance arriva on m'a demandé si j'allais bien, aucune réaction, je regardais mon père, qui était mort,jeune, mort sans avoir connus la fierté de voir sa fille grandir.On me fit monté dans l'ambulance nettoyant la plaie que j'avais au genoux et au menton, je regardai les autres ramasser le corps de mon père sans pitié brutalement et j'étais là, sans aucun signe de la part de mon cerveau. J'avais perdus, l'envie de vivre devant une telle scène, j'avais perdus toutes envies. Les journées passèrent, cela faisait une semaine après l'incident, on m'avait emprisonné chez moi pour cause, choque mental et refus de parole. L'avocat de la famille venait me rendre visite de temps en temps et il me parlait je l'écoutais simplement mon esprit loin.Mais ce qui attira mon attention c'était les envies de mes parents si jamais ils leur arrivaient malheur ou qu'ils meurt. C'est alors que j'appris l'existence de mon frère jumeaux et que je ne pourrais touché la fortune de mes parents que si je le retrouvais. Comment j'allais faire ? C'était impossible ça ?! L'avocat ajouta que je n'avais aussi plus le droit de vivre ici vue que la maison a été utilisé pour payer le procès qu'on a gagner contre le chauffeur du camion. Et j'ai du donc faire mes valises ce jours là et mes pensées disaient. « Ce monde est mauvais. Les gens sont mauvais. Les paroles sont mauvaises. » Je n'avais plus ou partir ni ou dormir, et j'ai du loger chez l'avocat, genre trois jours, il avait ensuite prévenus la sœur de ma mère qui par pitié a bien voulu me recevoir chez elle. L'avocat m'adressa un énorme sourire et me proposa de m'y conduire.En voiture il me répéta que je devais absolument l'appeler si ça n'allait pas mais quand il me déposa il ne m'a même pas laissé sa carte, il a sonné a saluer ma tante et il est repartit aussi vite arrivé. A la porte d'entrée je la regardais, ma tante, elle n'étais pas blonde, et elle me regardait avec un certain dégout puis finalement me sourit. Valise a la main je suis arrivée devant ce qui semblait d'après elle une maison, moi je voyais plutôt ça comme un château. C'était grand. Avant d'entrer elle m'a sourit et m'a prise la main pour dire qu'elle allait faire de son mieux pour me rendre heureuse.Ma réaction fut simple, j'ai juste acquiescé d'un signe de la tête puis je l'ai suivis a l'intérieure. J'étais parfaitement consciente que personne ne pourra jamais me rendre heureuse.D'ailleurs elle s'appelait Hana et elle me présenta mon cousin, Kamui et son père Takahiro.Hana était fleuriste et traiteur, elle organisait les soirées des stars de New York d'après ce qu'elle m'a raconté. Son fils était plus âgé que moi, un ans de plus. Takahiro lui était un homme d'affaire, et le regard de son fils était simplement simple à comprendre. « Approche moi pour voir petite merde ! » Excellent non ?Après une visite guidée et rapide, avec Kamui, il me conduit enfin a ma chambre me faisant expliqué les règles de la maison, j'ai acquiescé et je suis rentré dans ma nouvelle chambre.Je regrettais déjà la mienne.La première chose que j'ai fait c'était de déposer l'ours que m'avait offerte maman sur le lit.Je ne me sentais pas a l'aise. C'était un sentiment bizarre, se retrouver dans un endroit ou personne ne veut de vous.Ou personne ne me connaissais aussi. « Quand je suis dans une boite toute seule, il y a tout de moi. Quand on est deux dans la boite, il n y a plus que la moitié de moi. Quand il y a du monde dans la boite, il n 'y a plus rien de moi. » Je suis arrivée a la fin des vacances d'été, des vacances qui on été vraiment horrible pour moi.Ou je n'ai connus que la vue du sang. Ce que je ressentais ? J'vais vous dire ce que je ressentais. Mon cœur me faisait mal, ma gorge se nouait, j'avais l'impression de me faire aspirer de l'intérieure...J'avais du mal a dormir dans, ma nouvelle chambre, je restais là, assise sur une chaise regardant par la fenêtre les étoiles jusqu'à m'assoupir. Lundi arriva. Le jour de la rentrée. Je me sentais mal a l'aise et mon cœur battait a la chamade.Ma tante m'appela , prenant mes affaires je suis sortie de ma chambre pour aller la rejoindre, elle me présenta Kamui et me dit qu'il que tout allait bien se passer, avec son air grincheux. Et c'est alors que ma tante nous a conduis au lycée. Mes jambes tremblaient puis finalement je suis descendus de la voiture arrangeant mon uniforme j'ai suivis Kamui, qui me présenta a la directrice et cette dernier en savait des choses sur moi. Cette dernière me conduit à ma nouvelle classe. Et a première vue on ne m'aimait déjà pas, on critiquaient, mes cheveux, mes yeux bleu, mon uniformes, mes chaussettes rayés. Même les lettres de mon nom. Après les présentation, on m'a désigné une place au fond prêt de la fenêtre en y allant, passant entre les élèves qui se moquaient de moi, je me sentais lourde et finalement je me suis assise. Regardant tout le monde de dos. Ma première journée était comme ça.On a jeter des papier toilette dans mes cheveux, on a fait tombé mon plateau au déjeuner, Kamui m'a chassé de sa table. Et finalement, on m'a enfermée aux toilettes. « Hey la muette pourquoi tu t'es encore caché ici ? » Et finalement, ce n'était que lui, qui venait me voir, quand, comme a chaque jours je séchais les cours pour venir m'enfermer ici.C'est difficile quand tout le monde se moque de vous, c'est difficile quand on ne vous aime pas,c'est difficile quand au moment du déjeuner vous êtes seul et que tout les yeux son rivé sur vous. Au lycée mon regard croisait de temps en temps celui de mon cousin. Je ne sais pas pourquoi mais il regarde toujours dans ma direction d'un air moqueur, comme s'il voulait me faire pleurer. Je ne lui ai jamais rien fait de mal, pour lui je suis la cousine muette. « Dis pourquoi tu te caches tout le temps ? Tu as peur qu'on te vois ou tu fais des trucs toute seule ? » m'a-t'il demandé en rigolant avant de sortir du lycée. Il attendait sérieusement une réponse...J'ai pris mon stylo et j'ai écris sur ma main pour lui montrer ensuite continuant de marcher a ses cotés. « Je voulais écouter. » Quand il l'a lu il m'a regarder dans les yeux puis a éclater de rire une nouvelle fois puis m'a demandé. « Écouter quoi ? De la musique ? » J'ai alors soupirer puis j'ai écris. « Mon coeur. » Après ça il n'a plus rien tout le long du chemin vers la maison et au dîner non plus juste au moment ou je pensais qu'il avait bien fait il regarda ma tante et lui demanda la permission de sortir et de m'emmener avec lui, elle fut enchanter par l'idée mais pas moi, j'ai secoué la tête mais ils ne voulaient rien savoir c'était décidé. Alors après dîner je suis sortis avec mon cousin Kamui. Il faisait tellement sombre dehors et Kamui marchait vite c'était a peine si j'arrivais a le suivre ce dernier me conduit au cimetière je l'ai rattrapé par le bras pour l'inciter a s'arrêter puis j'ai essayer de le convaincre du regard d'abandonner cette idée. Mais non Kamui têtue et entêté m'obligea a le suivre. J'avais un mauvais pressentiment en le suivant, ce dernier s'arrêta et me demanda de regarder l'une des tombes qui était vide,il se mit a rire et me poussa dedans. j'ai eu la peur de ma vis en me retrouvant nez à nez avec un squelette.Je me suis relever et a ce moment là j'ai découvert que Kamui s'était foutus de moi...Il s'est enfuis et m'a laisser ici, je ne savais même pas comment sortir et je n'y voyais rien...J'ai alors passé ma nuit là dans le trou en compagnie d'un mort. Et a petit matin je suis arrivé a revenir à la maison, mes vêtements tout sale et je sentais le chien mort, ma tante ne m'a pas gronder, on dirait même que personne ne s'est aperçus de ma disparition.Triste non ? « Oh salut Muette, t'es arrivée a revenir chapeau. » a dit mon cousin avant de sortir. « Dépêche toi de te changer et d'aller au lycée Asahina. » Ajouta ma tante en fronçant les sourcils. [...] C'est la moitié de l'année scolaire,et comme d'habitude a la pause déjeuner j'étais seule du moins jusqu'à ce que Kamui vienne s'assoir a coté de moi pour me chuchoter a l'oreille des mots qui m'on assez surprise.Il disait vouloir se venger de son père parce qu'il le traitait comme un moins que rien...Que pouvais-je dire moi que l'on traitait toujours de cette façon. Mon cousin m'a sourit puis s'est levé de table et avant de partir il s'est penché pour me dire a nouveau a l'oreille. « Au fait on dirait que tu plais beaucoup a mon père, ferme bien la porte de ta chambre la nuit. » Le regardant partir j'ai sentis un picotement au niveau de ma poitrine, son père ? Il en était conscient et n'a pas prévenus sa mère ? Juste moi ?Mon dieu, pourquoi suis-je ici...? Je me suis levé de table sans même touché a mon déjeuner allant me cacher dans les toilettes, sauf que a peine j'allais fermer la porte Kamui m'a rejoint. A ce moment là j'ai eu vraiment peur quand je l'ai regardé dans les yeux, il s'approcha de moi et me plaqua contre le mur pour mordiller le lobe de mon oreille ce qui me fit frissonné en rougissant et dire ensuite. « Je ne sais pas comment tu fais,j'adore ton visage qui n'affiche jamais ce que tu ressens, ta façon de faire les choses, tu es si silencieuse que ça m'excite tellement, ca me donne des idées et j'ai envie d'essayer... » Refermant la porte derrière lui il se mit a faire balader ses doigt sur mon cou, puis ma poitrine et passa lentement sa main sous mon haut, je ne pouvais riposté il tenait mes deux mains par les poignets et les avaient bloquer contre le mur. Il déposa multiples baisers, par ici et par là. Audacieux, il me déshabilla petit à petit...Puis profita de mon corps autant qu'il le désirait. A ce moment là, je ne pouvais que rester silencieuse, je sentais même tête se vider, mon corps lourd et mon cœur battre a tout rompre.C'est ainsi que je perdis ma première fois. Dans les toilettes public du lycée.Sans amour, sans être consentante. Ca n'a pu que me faire pleurer. Ce soir là je suis restée au lycée, je pleurais, je n'arrivais pas a croire ce qui s'était passé.Avec Kamui on a fait une chose que je ne pensais pas exister. Je...Je suis perdus...Et...Cette fois là sans m'en rendre compte j'ai parlé. Sous tant d'émotion, j'ai explosé. « Merde... » Je ne savais pas qu'il était encore là.De l'autre coté Kamui m'avait entendus mais a fait semblant de ne rien avoir écouter, il est arrivé et m'a dis en sortant une clope de sa poche sur un ton assez énervé. « Allez on rentre la muette. » Dit il. Je n'ai rien dis, je n'ai pas manger, j'arrivais a peine à m'assoir comme il faut et ça Takahiro l'avait remarquer et après dîner il demanda à me voir dans son bureau. Je l'ai suivis, il m'a fait assoir sur une chaise et il tendis sa main vers moi et a commencé a caresser mes cheveux de manière successive puis ma joue et sa main descendis vers mon menton me relevant le visage.... « Dis moi tu as un petit ami Asahina ? » demanda-t'il avec un sourire mesquin accroché a ses lèvres. J'ai secoué a tête de droite a gauche en regardant paisiblement par la fenêtre histoire d'éviter son regard, il profita de cet instant pour fermer a clef et revint vers moi lentement. Soudainement il s'approcha de moi pour m'enlacer il essayait a son tour de me toucher, Kamui avait raison, il avait vraiment des vues sur moi. Sans m'en rendre compte je l'ai giflé aussi fort que j'ai pu. Et a cause de ça c'est sauvagement et sadiquement qu'il a abusé de mon corps, je ne me rappelle pas des détails et je pense que c'est tant mieux...Je m'étais évanouis, donc, après, je me suis réveillée dans mon lit, j'étais malade, fièvre. « Si tu en parles a ma femme ou a n'importe qui d'autre tu le regrettas. » M'avais-t'il susurré en s'inclinant pour m'embrasser le front. Avec dégout j'ai incliné mon visage sur le coté. Pour essayer de m'endormir, vers minuit, Il arriva a ma porte enfin, il...Mon cousin, Kamui me regardait d'un air absent et s'approcha de moi et m'enlaça me susurrant a l'oreille qu'il allait me sortir d'ici pour de bon. Mon coeur fit un bon dans ma poitrine, il me demanda de me relever et sortis ma valise me demandant d'écrire une lettre ou j'avouais que son père avait commis un adultère, le regardant tristement j'ai acquiescé et je me suis mise a écrire tandis qu'il rangeait mes affaires dans la valise. Une fois finie j'ai mis la lettre dans l'enveloppe et je l'ai donné a Kamui qui ajouta une autre lettre et me demanda d'y aller. Je l'ai suivis trainant ma valise pas vraiment lourde je n'avais pas beaucoup de vêtements, juste le stricte nécessaire. Kamui avait un sac à dos et de l'argent. Je ne savais pas trop ou on allait partir comme ça. Mais je l'ai suivis, calmement, j'étais essoufflée , ma fièvre m'obligeait a m'arrêter de temps a autre. Et après un heure de marche, nous sommes arrivé a la gare il me donna un ticket et me demanda d'aller en ville et que j'étais inscrite a ce lycée et a une pension. Tout était dans le carnet il m'a enlacé a nouveau et me poussa dans le train, je le regardais calmement puis d'un signe de la main je l'ai salué. Ce n'est qu'un au revoir mon cousin. Le son du train...Ce son que j'écoutais encore et encore m'ensorcela et a force je me suis endormis... [...] Une main s'était posé sur mon épaule et me secouait une voix me demandait d'ouvrir les yeux. En le faisant j'aperçus un homme demandant mon ticket pour vérification. Je le lui ai donné. Il hocha sa tête et s'en alla en m'annonçant que c'était le prochain arrêt. Ma vie allait commencé ici là et maintenant. CHAPTER 3 Et voilà, me voilà loin de ce passé tout fou, ce passé ou je n'ai connus que tristesse et malheur. Mais malgré tout, mon visage n'avait pas changer, tirant ma lourde valise, je me suis arrêter a l'entrée de mon nouveau pensionnat, ma première année ici. Mon coeur battait fort, a travers la porte en fer je voyais les étudiants dans l'allée, et mon regard s'arrêta sur un jeune homme assez agée qui ne semblait pas vraiment être étudiant, professeur peut être ? Je ne savais pas il m'adressa un sourire charmeur et me promis que l'on se reverra bientôt. J'ai grimacer en pensant que les gens avait vraiment des gouts bizarre. Je n'ai pas eu beaucoup de difficulté a m'installer, en effet. Je n'ai eu qu'a prendre le couloirs qui conduisait a ma chambre vider ma valise et glander dans ma chambre, bien entendus, je comptais faire le tour de la ville et du pensionnat pour me familiariser avec ce lieux. Le regard perdus je me suis allongé sur le sol en repensant un peu a tout ça. Comment allais-je vivre ? Je dois travailler ? N'est ce pas beaucoup trop de responsabilités tout à coup ? Je me suis rapidement redresser évitant de fondre en larme, bien qu'il était trop tard, l'une de mes larmes s'écrasa au sol, suivit d'une autre, puis une autre encore, je n'avais pas pleuré j'avais subis silencieusement. Le son de ma voix je l'avais même oublié tellement je ne l'utilise plus. S'effacera-t'elle pour de bon ? Je ne veux pas, mais j'ai peur de la confier a n'importe qui et de me retrouver encore plus blesser que je ne le suis. Là maintenant. Cela fait maintenant quelques jours que je suis arrivée ici, Kamui - le cousin-, je ne l'ai plus revus depuis ce jour et de toute façon, je m'en moque pas mal. Pour moi, tout ce qui compte maintenant c'est de finir mes études et d'avoir une vie ailleurs,seule s'il le faut, ça m'arrangeai.Après tout, personne ne fera attention a une personne aussi silencieuse... «Ce monde est mauvais. Les gens sont mauvais. Les paroles sont mauvaises.» Je me répète souvent ces même paroles pour ne pas oublier la raison pour laquelle je veux me faire passer pour une muette. Des fois je regrette. Oui, mais bon ce n'est pas vraiment important, après tout, je préfère rester comme ça. Et personne n'arrivera a me convaincre du contraire.Enfin cette personne n'est pas encore née. Cet endroit est grand, tellement grand qu'il ne fait que me faire sentir encore plus seule. Ma chambre je la partage avec quelqu'un, c'est tant mieux, je n'ai pas encore rencontré cette personne, en espérant qu'elle ne me déteste pas aussi. Pourquoi est ce que j'espère ça...Je m'ennuyais tellement dans ma chambre, il n y avait rien a faire. Et puis j'avais tellement envie de sucrerie. Je me suis levé et j'ai commencer a faire des aller et retour dans la chambre.Puis j'ai soupiré pour ensuite m'approcher de la porte et sortir. Les couloirs étaient vide, ça m'a rassuré. Mais plus je marchais plus je découvrais d'autres personnes, je commençais a me sentir mal a l'aise. Et puis je ne savais même pas ou se trouvait l'endroit ou on étaient censé manger. Et le demander a quelqu'un m'était impossible. J'ai de nouveau soupiré comme je le fais assez souvent et j'ai repris ma marche comme ça sans but précis vue que je ne savais toujours pas ou aller. Plein de fois je me suis perdus, et j'ai toujours finis par trouver le bon chemin. Un deux trois. Je me suis arrêter dans les couloirs, mon regard chercher désespérément, cet endroit ou je pourrais trouver ces délicieuse friandises qui fondent sur ma langue. Hum qu'est ce que j'adore les friandises. J'ai repris donc la marche pour enfin arriver au dans la salle ou je pourrais mangé. J'ai lentement poussé la porte pour entrer a l'intérieure. Je me suis arrêter, il y avait déjà pas mal de personne ici. Mon coeur commençait a battre si rapidement. Je ne savais pas pourquoi je me sentais si mal a l'aise avec plein de gens autour de moi. Du calme, personne ne me regarde, ce n'est qu'une impression.Je me suis arrêté devant le distributeur de bonbons, mais ce dernier semblait ne pas vouloir marcher je me suis grattée l'arrière de la tête sans le quitter des yeux. J'avais vraiment envie d'avoir des sucreries, cela fait un bon moment que je n'en ai pas pris.Je me suis retourner pour regarder les personnes autour de moi. Ils avaient tous l'air de bien se connaitre, et comme toujours je suis seule.Je me suis dis que je pourrais attendre que quelqu'un vienne en prendre comme ça je verrais comment il fera pour s'en occuper, et je ferais ensuite la même chose que lui. Patience. Mais bon mon attente ne fut point longue bien au contraire, on m'aida rapidement a me procurer cette drogue si délicieuse, tellement délicieuse que je n'arrivais pas a m'en passé une fois a la bouche. Armé de mes douces et délicieuses confiseries j'ai décidé de m'isoler, comme ça je pouvais être seule.Et puis, ce n'était pas comme si cela aller changé quelque chose a mes habitues. D'abord je suis allé au WC mais trop occupée par ces filles qui ne pensent qu'à leur physique. Moi, et bien, je me fichais vraiment de mon physique, Ca ne sert a rien d'être attirante enfin, a part a avoir des problèmes... Me rappeler de mes souvenirs lorsque je vivais chez ma tante...Rah, non,non, non, je ne devrais pas y pensé.J'ai alors soupiré puis je suis sortis. J'ai commencé a marché si lentement que le temps paraissait suivre mes pas. Le ciel bleu que je regardais de temps en temps paraissait si vaste. « Aie ! » Mon front ...J'ai vraiment mal, très mal. Je suis rentré en plein dans un tronc d'arbre...Oh la la ce que je peux passé pour une idiote comme ça...Je me suis accroupis contre le tronc d'arbre me massant le front assez rapidement et successivement. Beuh, et si y avait du sang ? J'avais la larme a l'oeil tellement j'avais mal. Nan mais qu'est ce qui m'a pris ? Je me suis redressé et ma main sur le front. Puis je me suis assis réalisant que je m'étais perdus. HA???! Pas vrai. La douleur commençait a m'empêcher de réfléchir a autre chose qu'a cette putain de bosse. C'est rouge ? Bleu ? Ah la la comment le saurais-je ? Et comment je peux revenir déjà ? >< Je regardais les larmes aux yeux autour de moi. Je ne pouvais pas appeler a l'aide je suis censé être muette... Mon front me faisait tellement mal. Que je n'arrivais même pas a me redresser pour voir si j'étais toujours seule ou pas. Quand soudainement une voix me fit sursauter, ce n'est pas quelque chose a quoi je m'attendais, non, vue que j'étais sensé être perdus. Lentement je me suis redresser enlevant ma main de mon front. Ce n'est que a ce moment que le jeune homme que j'avais rencontré avant, à mon arrivée apparut a la recherche de la source du bruit me demandant si ça allait. J'ai regarder le jeune homme en face de moi en lui montrant mon front ce n'était pas dans mes habitudes de demander de l'aide mais j'étais perdus et puis, je n'arrivais pas a me faire comprendre facilement, alors j'ai pris un baton et au sol j'ai essayé d'écrire d'une façon assez lisible. « Je suis perdus aidez moi, je suis blessé aussi... » Terminant de lire la phrase il déposa un genou à terre en défaisant sa cravate. Il la retira d'autour de son col de chemise et la plaça sur la plaie béante, d'abord pour l'éponger, puis il fît le tour de sa tête avec et la serra suffisamment pour empêcher le sang de s'écouler davantage. Ce geste là me fit rougir, je n'avais pas du tout l'habitude de ce genre de comportement aussi, on va dire gentil envers ma personne, peut être était-ce parce qu'il était plus agé ? Ou alors juste parce qu'il a de mauvaises attention ? Je n'en savais absolument rien. Ce dernier prit l'initiative de me porter dans ses bras j'avais l'air d'une princesse, on dit porter, comme une princesse, c'est comme ça que j'étais. Il se présenta ensuite, et puis son prénom... Satoshi,Satoshi,Satoshi,Satoshi,Satoshi,Satoshi,Satoshi,Satoshi,Satoshi,Satoshi... Kyah, son prénom était si doux j'aimais déjà le dire, oui mais je me le répétais silencieusement. Intérieurement, sans un seul bruit bien sûr. A l'infirmerie, il prit soin de ma plaie et me raccompagna ensuite à ma chambre. Ce fut notre première vrai rencontre. Depuis, on s'est pas mal revus, et puis petit a petit quelque chose était née. Un lien entre nous. Et finalement il a été le premier homme que j'ai vraiment aimé, mon premier amour. J'y crois dur comme fer. A ses mots et ses paroles. On s'étaient partager, des tonnes et des tonnes de baisers, sans pour autant aller plus loin. Mais malheureusement, j'étais tombé dans un piège tout bonnement bien réfléchis. Ce n'était qu'un amour a sens unique. Et cela m'avait permis de rencontrer quelqu'un d'autre... Un jeune homme dont la réputation de coureur de jupon et briseur de coeur mais aussi salaud de première lui collait aux fesses. Il y avait un truc chez lui qui me rappelais mon passée, d'abord son prénom, Kamui est aussi le prénom de mon cousin, donc quand au début on parlait de lui, je pensais a mon cousin et je l'évitais. Mais ce soir là. Le soir ou j'avais tout découvert sur le jeu de Satoshi je suis monté me réfugier dans mon endroit favoris, le toit. Et il était là, Kamui Shawn Akatsuki. J'ai alors rapidement essuyer mes larmes. Et je me suis diriger vers ce dernier, m'asseyant a sa droite. Il avait l'air tout aussi mal que moi, alors par pure compassion je lui ai passé une sucette à la fraise. Qu'il ne refusa pas. On est resté là a soit disant parler grâce a ma super technique du bloc-note. Et a une certaine brise j'ai eu froid, il me proposa se m'installer entre ses jambes pour m'envelopper de la chaleur de son corps. Petit a petit ses mains devinrent baladeuse, et je ne sais plus trop comment c'est arrivée, mais on s'est embrasser. Et ce n'était pas un seul baisé un bon long baisé ! Lorsqu'il commença a tourner aux choses sérieuse, j'ai eu rapidement peur de ce qu'il allait se passer si je me donne à lui maintenant. Je me suis rapidement enfuie, les larmes aux yeux allant me réfugier dans mon lit et pleurer sur mon triste sort...? Depuis ce jour là, Kamui m'a couru après pendant assez longtemps, je ne savais pas s'il était sincère et je doutais encore, mais surtout et avant tout j'avais peur de revivre la même chose avec lui. J'ai préféré le grand classique du « Mieux vaux sortir avec celui qui nous aime, que celui que l'on aime. Celui qui nous aime, ne nous trahira pas. Mais celui que l'on aime en aime peut être une autre. » Et je me suis retrouvé dans les bras de Tsukasa pour le fuir. Je l'ai blessé ? Peut être ? Non c'était sûr. Et cela me pesait sur la conscience. Finalement. J'ai été sincére avec Tsukasa et ça s'est terminé en bon terme. Je suis revenus vers Kamui qui était là ou je le pensais sur le toit pour répondre à ses sentiments. Après ? Et bien, on a vécu des moments inoubliable, des petites querelles amoureuse, une crise de jalousie. deux mois d'abstinence récompensé ensuite. Jusqu'au jour ou vint son frère au pensionnat. Kamui changea. Je le voyais de moins en moins...Puis finalement plus du tout. Il était partit aussi. M'abandonnant. Chaque jours sans m'en rendre compte je me retrouvais a attendre qu'il rentre devant chez lui. Même quand il pleuvait. Son frère a eu pitié de moi, m'offra un parapluie et des biscuits, me demandant de tourner la page comme l'avait fait Kamui. [...] Ma seconde année, j'ai changé de pension, et j'avais décidé de me reprendre en main essayant d'être plus amicale ? Et éviter d'être froide avec les inconnus pour avoir plus de chance d'avoir plus d'amis que d'ennemis. Me voilà donc à Kohime.